Face à l’augmentation de la fréquentation, la direction du Parc national du Djurdjura a mis en place, malgré des ressources limitées, des mesures pour gérer des flux de visiteurs.
Notre gîte a été lancé en 2018. Nous offrons un large éventail d’activités pour satisfaire les goûts de tous nos clients.
Comme chaque année, le temps d’une saison estivale, la ville d’Oran se gorge de visiteurs, partagés entre les émigrés et ceux venus de diverses wilayas du pays. Cet été 2024 ne déroge pas à la règle, loin s’en faut.
Alors que le mercure continue de grimper en Algérie, les plages connaissent une affluence importante. Dès les premières lueurs du jour, les citoyens affluent vers les côtes pour échapper à la chaleur étouffante qui sévit dans les villes.
Cela s’explique d’abord par le fait que notre wilaya recèle de belles plages. Nous avons une côte qui s’étend sur 100 kilomètres, ce qui constitue un atout majeur pour le tourisme. La position géographique de la wilaya favorise aussi le flux des vacanciers. On vient de partout, parce que les plages sont bien desservies, notamment après l’ouverture de la route reliant la RN5 à la RN24. Il ne faut pas oublier que notre wilaya compte 12 campings qui assurent des prestations de qualité.
D’Afir à Boudouaou El Bahri en passant par Dellys, Cap Djinet, Zemmouri, Figuier, Corso, les espaces de détente sont très prisés en été. Avec leur sable fin et leurs eaux cristallines, elles sont le lieu idéal pour se détendre, se baigner, ou encore s’adonner à des sports nautiques. Mais Boumerdès, ce n’est pas que les plages.
Le succès que connaît ce segment dans la wilaya de Béjaïa, au vu des centaines de visiteurs qui se ruent vers les bassins thermaux de la région, a amené l’administration locale à répertorier, parmi les priorités dans son plan d’action du secteur du tourisme, la relance des projets de réhabilitation des hammams et la construction de nouveaux établissements.
Les autorités de la wilaya de Béjaïa ont reconsidéré l’important potentiel des vestiges culturels et historiques de la région, notamment, les sites implantés au chef-lieu de wilaya. Des entreprises de restaurations ont engagé une véritable course contre la montre afin de parachever les sites archéologiques et historiques de la ville pour les ouvrir au public avant la saison estivale. Aujourd’hui, les visiteurs ont retrouvé la Casbah de Béjaïa, une citadelle occupant une surface d’environ deux hectares comportant plusieurs bâtiments d’époque berbère ou espagnole, des traces de l’air des Ottomans et enfin de l’époque française.
Plusieurs actifs et biens confisqués dans le cadre de la lutte contre la corruption ont été transférés au Groupe public Hôtellerie, Tourisme et Thermalisme (GHTT) suite aux conclusions de la dernière session de la réunion du Conseil des participations de l’Etat (CPE).
A près 30 ans d’interruption, la ligne ferroviaire reliant l’Algérie à la Tunisie est enfin de retour. La Société nationale des transports ferroviaires (SNTF) a officialisé cette nouvelle, à travers un communiqué rendu public jeudi, marquant ainsi un tournant historique pour les relations entre les deux pays. Le coup d’envoi officiel sera donné le 10 août 2024, date à laquelle cette liaison symbolique sera relancée.
La province autonome du Xinjiang par lequel passait la mythique route de la soie, constitue aujourd’hui un des «poumons» de l’économie chinoise.
Depuis le début de l’année et jusqu’à hier, près de deux millions d’Algériens ont franchi les frontières tunisiennes à travers les différents poste-frontières, notamment celui d’Oum Teboul (El Tarf), le plus important du pays.
En sus des trains déjà programmés afin de faciliter les déplacements des estivants des différentes régions, notamment du Sud et intérieures vers les villes côtières, la Société nationale des transports ferroviaires (SNTF) a procédé à la mise en circulation de trains spéciaux baptisés «Trains bain de mer». «Des lignes de chemin de fer rallieront les wilayas de l’intérieur à celles des côtes», avait annoncé au début de la saison estivale, lors d’une prise de parole médiatique, Farid Halliche, directeur central clientèle à la SNTF.
Sur invitation du gouvernement de la République populaire de Chine, nous avons visité un certain nombre de sociétés et entités économiques, ainsi que des infrastructures publiques implantées dans différents territoires de ce vaste pays de plus de neuf millions de kilomètres carrés.
Cet été 2024, Annaba s’est fait plus belle encore que les précédentes années. Sa corniche totalement a été rénovée en un temps record, ce qui la rend encore plus captivante. Les estivants se baignent en toute sécurité sous l’œil vigilant de la Protection civile. Avec un effort en matière d’organisation, surtout au niveau des plages, la localité pourrait devenir incontournable dans les circuits touristes en Méditerranée. Le challenge est largement à sa portée.
L’allergie au pollen est la maladie allergique la plus courante de notre époque. Le rhume des foins n’est pas inoffensif et s’il n’est pas traité, il peut se transformer en asthme. C’est pourquoi la meilleure façon d’éviter ces allergies est de reconnaître les plantes mais aussi de planter des espèces connues. Explications !
L’allergie est une réponse immunitaire exagérée, disproportionnée dirigée contre un «allergène». Ce dernier peut s’agir de nombreuses choses, comme des acariens, des pollens, des substances en tout genre, des aliments, des médicaments...
De mars à mai, on trouve des pollens issus des arbres, des graminées et des herbes partout dans l’air. Les pollens issus des arbres et des graminées sont des allergènes courants au printemps, car c’est à cette période de l’année qu’ils connaissent leur pic.
L’ambroisie à feuille d’armoise est «une plante de la famille des composées, ou astéracées, qui se développe sur les terrains vagues», explique Mme Tellah.
«Ces types de pollens restent la principale gêne des allergiques avec un risque allergique de niveau moyen à localement élevé», affirme Pr Sihem Tellah, enseignante-chercheur et directrice du laboratoire de recherche Amélioration Intégrative Des Productions Végétales à l’Ecole nationale supérieure agronomique (ENSA) d’El Harrach.