En témoignent les grands pas jusque-là franchis ; l'Algérie se classe première en Afrique et deuxième dans le bassin méditerranéen en termes de ventes à l’étranger de ciment et de clinker, d’après Business France Algérie.
Si de nombreux parents ont pris l’habitude de payer des cours particuliers à leurs enfants en espérant voir leurs notes s'améliorer, certains sont parfois déçus de constater que leur niveau ne s’améliore pas. Quelle solution face à cela ? Doivent-ils continuer à «encourager» ces cours en y inscrivant leurs enfants ou doivent-ils, au contraire, contribuer à mettre un terme à ce phénomène ? Explications !
Les cours particuliers sont devenus nécessaires pour de nombreux élèves car leurs parents ne suivent pas leur scolarité et sont trop pris par leur travail ainsi que leurs soucis personnels, notamment dans les grandes villes où le père et la mère travaillent et sont loin de l’établissement scolaire et ne sont pas en mesure de suivre et de surveiller leurs enfants.
Les escapades, le temps d’un week-end, peuvent convenir parfaitement à ceux qui n’ont pas la possibilité de partir en vacances (long séjour), essentiellement à cause de leurs obligations professionnelles. Ils peuvent ainsi faire le plein d’énergie et partager des moments de convivialité en famille.
La SNTF a décidé d’intensifier ses efforts en matière de sensibilisation et de prévention. Des campagnes sont menées périodiquement pour informer le public sur les dangers liés à rester à proximité des voies ferrées et sur l'importance de respecter les règles de sécurité. De plus, des mesures supplémentaires de surveillance et de sécurisation des zones sensibles sont mises en œuvre.
Les arnaques en ligne sont devenues massives ces dernières années, en particulier dans le contexte actuel d’inflation.
Les escrocs du Net rivalisent d’imagination pour tromper la vigilance des internautes et leur voler leurs données personnelles ou obtenir de l’argent illégalement. Quel regard portez-vous sur ce phénomène ?
Les étudiants aux besoins spécifiques sont les personnes les plus marginalisées sur les campus l Vulnérables, elles luttent tous les jours pour mener à bien leur cursus universitaire, affrontant toutes formes de stigmatisation, de discrimination, en sus des obstacles physiques et pédagogiques.
Les politiques gouvernementales de soutien à l’inclusion des personnes en situation de handicap demeurent un chantier ouvert. Les dispositifs législatifs et institutionnels, ainsi que les stratégies nationales visant la promotion et la protection de leurs droits ne sont pas totalement achevés, au vu de ce qui est recondamné par les associations, la commission nationale consultative de promotion et de protection des droits de l’homme et autres ONG.
-Quel état des lieux dressez-vous de la situation des étudiants aux besoins spécifiques dans le milieu universitaire en général ? Les étudiants, à besoins particuliers, se recrutent en fait parmi un large éventail allant des cinq catégories classiques reconnues comme relevant du handicap (handicap visuel, auditif, mental, physique et polyhandicapés) aux personnes en situation économique défavorable, les sportifs de haut niveau, les femmes enceintes, les incarcérés, les hospitalisés ou suivant des traitements lourds, les étrangères,…
Saber, Mohamed, Sara, Brahim, Chaïma, Seïf El Islam, Nour et Houyam sont quelques noms d’une longue liste d’enfants agressés sexuellement durant des mois, pour certains, pendant des jours, pour d’autres. Ils ont l’âge de l’adolescence, préadolescence ou encore d’écoliers et même de bébés, entre 2 et 3 ans. Un phénomène qui prend de plus en plus de l’ampleur. A l’Unité médico-légale (UML) du CHU Mustapha Pacha d’Alger, les enfants représentent 77% des victimes de violences sexuelles prises en charge.
A la tête du service médico-légale du CHU Mustapha Pacha, dont dépend l’Unité médico-légale (UML) qui prend en charge les victimes de violence, le Pr Rachid Belhadj attire l’attention sur la pédophilie qui, selon lui, est en train de prendre des proportions alarmantes. Dans l’entretien qu’il nous a accordé, il met l’accent sur «la nécessité de se doter de moyens scientifiques de diagnostic, mais aussi de prélèvements des traces de l’agression, comme le séquenceur d’ADN et l’anuscopie pour identifier les pédophiles».
Le réveillon du Nouvel An revêt une atmosphère spéciale. Les festivités dans le Sud sont marquées par des danses traditionnelles, de la musique locale et des chants.
En plus des départs à l’international avec la Tunisie, l’Egypte et Dubaï, la destination nationale continue de marquer des points, pour ne pas dire de grignoter de substantielles parts du marché à l’international, d’année en année.
La grande partie des extensions est réalisée de manière improvisée sans aucun accompagnement d’équipements élémentaires. Plus de 1500 milliards de centimes ont été dépensés dans l’aménagement du chef-lieu de wilaya, mais le constat est toujours lamentable.
Dans cet entretien, Mohamed Laiche, docteur (HDR) en économie et doyen de la faculté des sciences économiques, commerciales et des sciences de gestion de l’université Mouloud Mammeri de Tizi Ouzou, souligne que l’insuffisance opérationnelle des plans d’aménagement et d’urbanisme, en l’occurrence les PDAU et POS, est l’une des raisons principales des problèmes et du dysfonctionnement dans lesquels se trouvent les villes algériennes et particulièrement celle de Tizi Ouzou.
Avec l'évolution constante des médias sociaux, les entreprises se tournent de plus en plus vers ces plateformes pour créer des opportunités de vente en ligne.
L'idée de lancer Algérie Market avait germé en moi depuis mon lancement dans le domaine du web en 2004. J'ai toujours été fasciné par les transactions commerciales à distance et j'étais sûr que le potentiel était conséquent.
Le secrétaire général de la Fédération nationale des travailleurs du textile et cuir (FNTTC), Benyoucef Zenati, appelle à l’application des recommandations des assises nationales organisées les 30 et 31 janvier 2023. Selon lui, il est aisé de produire du coton et de la fibre synthétique en Algérie.
Une enquête, réalisée par le Centre d’information et de documentation sur les droits de l’enfant et de la femme (Ciddef) sur les opinions et attitudes des Algériens, vis-à-vis de la valeur d’égalité entre hommes et femmes, a donné des résultats hallucinants.