L ’Amérique, et avec elle le monde entier, retient son souffle pour le 5 novembre. Le pays a à choisir entre Donald Trump, du parti républicain, qui a déjà occupé la Maison-Blanche entre 2016 et 2021 avant d’en être évincé par Joe Biden, et la vice-présidente Kamala Harris, première femme noire à briguer ce poste.
Il y a 70 ans, presque jour pour jour, des hommes valeureux, nationalistes et désintéressés avaient décidé de passer à l’action en déclenchant une insurrection qui va changer le cours de l’histoire en Algérie et libérer le peuple après 132 ans de colonialisme.
Le secteur du tourisme constitue un facteur majeur de développement et de diversification de l’économie, et c’est à ce titre qu’il figure régulièrement à l’ordre du jour dans les débats au sein du Parlement.
Le 5 novembre prochain, les regards du monde entier seront braqués sur les Etats-Unis. Ceux-ci doivent élire leur 47e Président.
L’Ecole supérieure d’économie d’Oran John F. Kennedy a le mérite d’organiser une intéressante journée scientifique et professionnelle, intitulée «Inclusion financière, fintech et cybersécurité : nouveaux défis et opportunités pour les banques algériennes».
La vie politique est retombée dans la léthargie une fois définitivement clos l’épisode de la présidentielle du 7 septembre 2024. Une des raisons est l’annonce par le président Tebboune que «le dialogue politique national» prévu juste après son élection ne pourra avoir lieu que dans une année.
Le débat relatif à la révision du découpage administratif a été relancé samedi dernier par la secrétaire générale du Parti des travailleurs, Louisa Hanoune, plaidant en faveur de la multiplication du nombre des communes. Le président du MSP, Hassani Cherif, avait préconisé, de son côté, lors de la dernière campagne présidentielle, l’augmentation du nombre de wilayas.
L’Algérie prône une transition énergétique pragmatique. Au-delà de la satisfaction des besoins domestiques de plus en plus grandissants, la stratégie énergétique est axée sur la diversification des ressources et le renforcement de la position du pays en tant que puissant et crédible fournisseur de gaz sur le marché international. Des investissements massifs sont consentis pour atteindre ces objectifs.
Israël est devenu une machine froide à assassiner massivement et détruire tout aussi massivement. Mercredi, l’armée israélienne a rasé purement et simplement un village du Sud-Liban et, le même jour, l’aviation a détruit le siège de la commune de Nabatyeh, tuant tout, le Conseil municipal y compris.
Tel que conçu au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, l’ordre mondial est en train de vaciller et ce ne sont pas les conflits entre les grandes puissances qui en sont la cause.
Israël est devenu un véritable Etat voyou qui ne respecte ni les lois internationales, ni le droit des Etats à vivre en paix, ni la vie humaine. Il fait preuve d’une barbarie et d’une cruauté qui ont révolté jusqu’aux citoyens israéliens.
Intégrée dans le programme des journées médicales internationales devant se tenir ce week-end à Oran, la question de l’accès aux soins revêt une grande importance dès lors qu’elle demeure posée dans nombre de sociétés.
L’armée israélienne a commis mardi dernier un terrible crime à Ghaza. Elle a totalement détruit une mosquée célèbre, connue sous le nom d’Al Omari. Au départ, c’était une église construite au Ve siècle sur 40 m2, c’est dire son immensité. Au XIIe siècle, elle a été transformée en mosquée. Vu à la télévision mardi dernier, tout était ruine et il ne reste qu’une partie du dôme pour rappeler qu’il y avait là un lieu de culte. Vendredi passé, l’armée israélienne a bombardé et détruit une mosquée et une école mitoyenne.
L’Algérie, qui s’apprête à accueillir la 12e édition du Napec 2024 (Africa & Mediterranean Energy & Hydrogen Exhibition and Conference), prône «un équilibre entre les hydrocarbures et les énergies propres pour un mix énergétique efficace». Cet équilibre permet en tout cas au gaz naturel d’avoir encore un long avenir, d’autant plus que ceci intervient dans un contexte marqué par l’incapacité de l’Europe de se passer à moyen terme du gaz, qui connaît le taux de croissance mondial le plus élevé. L’Algérie tient absolument à la concrétisation dans les plus brefs délais du projet hautement géostratégique du gazoduc transsaharien.
Avec Israël, l’Amérique semble avoir perdu tous ses ressorts. Elle est humiliée, menée par le bout du nez par la bande de criminels de guerre qui sont en train de faire la loi au Proche-Orient. Ghaza, la Cisjordanie, la Syrie et le Liban sont devenus les cibles permanentes des agressions israéliennes avec leur lot de massacre quotidien des innocents, qui se compte désormais par milliers, depuis octobre dernier.
Le Liban et son peuple risquent de sombrer dans l’horreur absolue. C’est Benyamin Netanyahu qui le dit et on ne peut pas en douter parce qu’on a affaire à un psychopathe sanguinaire. «Libérez votre pays du Hezbollah pour que cesse la guerre», a t-il dit à l’adresse des Libanais, «sinon votre pays connaîtra le sort de Ghaza», a-t-il ajouté hier.
Ce 7 octobre en France, les médias mainstream, particulièrement CNES, BFMTV et LCI, ont tordu le cou aux règles les plus élémentaires du journalisme. Elles ont rivalisé en contenus propagandistes en faveur d’Israël, son armée et ses dirigeants par réflexe et sur ordre de leurs propriétaires, des pro-sionistes notoires.
L’annulation de la Fête de la figue à Beni Maouche, prévue ce mois d’octobre, n’est pas un fait anodin. Elle n’est pas due à des écueils administratifs ou d’ordre organisationnel, mais à un manque de production de ce fruit emblématique de la région.
On pensait, naïvement, que l’après-guerre froide était terminée et dès lors on nous annonçait la couleur d’un ciel plus clément et des lendemains sereins, pour ne pas dire chantants.
Staffan de Mistura, l’envoyé personnel du secrétaire général de l’ONU pour le Sahara occidental, vient d’effectuer une troisième visite dans les camps de réfugiés sahraouis, depuis sa nomination à ce poste en 2021. Cela fait 3 ans que M. de Mistura fait des efforts louables dans le but de relancer le processus d’autodétermination du peuple sahraoui, conformément aux résolutions des Nations unies et de l’Union africaine.