Après les manifestations de rue du printemps dernier dans plusieurs villes européennes et américaines ainsi que sur les campus d’universités aussi prestigieuses les unes que les autres, au cours desquelles les protestataires ont dénoncé le génocide israélien à Ghaza et en Cisjordanie, c’est au tour des stades de foot européens et de leurs abords immédiats de s’enflammer en signe de solidarité avec les Palestiniens qui subissent des crimes de guerre au quotidien, à travers les bombardements massifs, les massacres de centaines de civils ordonnés par les dirigeants sionistes extrémistes et racistes de Tel-Aviv.
Les débats à l’APN autour du projet de loi de finances pour 2025 ont été marqués par des interventions de chefs de groupes parlementaires plaidant en faveur d’un retour aux fondamentaux, précisément ceux contenus dans la Constitution.
Quelle folie s’est emparée des dirigeants ! D’où sort ce groupe diabolique qui excelle dans l’horreur dans son horrible programme d’extermination du peuple palestinien ? Pourtant, avant la création d’Israël, les juifs étaient appréciés pour leur humanisme. Lorsque le gouvernement de Pétain leur a fait la guerre pour le compte du régime nazi, en algérie, la communauté juive a trouvé secours et solidarité de la part de la communauté musulmane, au point que les imams, du haut de leurs minarets, appelaient les musulmans à ne pas écouter le régime de Vichy et à aider «nos frères juifs».
Donald Trump ne se conformera pas aux résultats du scrutin présidentiel, et cela, il l’a annoncé dès le départ, martelant qu’il ira et restera à la Maison-Blanche coûte que coûte, élu ou pas élu.
Le stress hydrique a largement pris une seconde dimension ces dernières années. Il n’est plus seulement lié à la baisse des ressources en eau et la rupture d’approvisionnement, il recouvre également de nouvelles craintes sur la survenue de phénomènes météorologiques entraînant des inondations dans les zones habitées.
Pour Israël, les Etats-Unis n’hésitent pas à se transformer en pyromanes, à se transformer en ennemis de la paix et de la justice, en violation de leurs obligations internationales en tant que membres du Conseil de sécurité de l’ONU.
Parmi les secteurs qui revêtent un caractère lancinant et névralgique, ceux des transports et des travaux publics apparaissent prioritaires en raison de la persistance du phénomène de saturation chronique des voies de circulation et du fléau encore plus aigu des sinistres sur la route.
Décidément, Emmanuel Macron aime l’anarchie, le désordre. Il vient de le prouver encore une fois lors d’une visite au Maroc. Il a répété ce qu’il a dit dans une lettre adressée au roi Mohammed VI.
Le peuple algérien commémore aujourd’hui le 70e anniversaire du 1er Novembre 1954, apogée d’une longue marche vers l’indépendance, qui a commencé le 14 juin 1830, quand 37 000 traîneurs de sabre ont débarqué sur la plage de la presqu’île de Sidi Fredj pour marcher sur Alger, une ville de 30 000 âmes.
Apocalypse hier au nord de Ghaza, où plus d’une centaine de personnes ont péri sous les bombes israéliennes. Plus d’hôpitaux, pas de nourriture, ni de secours des blessés et des survivants.
L ’Amérique, et avec elle le monde entier, retient son souffle pour le 5 novembre. Le pays a à choisir entre Donald Trump, du parti républicain, qui a déjà occupé la Maison-Blanche entre 2016 et 2021 avant d’en être évincé par Joe Biden, et la vice-présidente Kamala Harris, première femme noire à briguer ce poste.
Il y a 70 ans, presque jour pour jour, des hommes valeureux, nationalistes et désintéressés avaient décidé de passer à l’action en déclenchant une insurrection qui va changer le cours de l’histoire en Algérie et libérer le peuple après 132 ans de colonialisme.
Le secteur du tourisme constitue un facteur majeur de développement et de diversification de l’économie, et c’est à ce titre qu’il figure régulièrement à l’ordre du jour dans les débats au sein du Parlement.
Le 5 novembre prochain, les regards du monde entier seront braqués sur les Etats-Unis. Ceux-ci doivent élire leur 47e Président.
L’Ecole supérieure d’économie d’Oran John F. Kennedy a le mérite d’organiser une intéressante journée scientifique et professionnelle, intitulée «Inclusion financière, fintech et cybersécurité : nouveaux défis et opportunités pour les banques algériennes».
La vie politique est retombée dans la léthargie une fois définitivement clos l’épisode de la présidentielle du 7 septembre 2024. Une des raisons est l’annonce par le président Tebboune que «le dialogue politique national» prévu juste après son élection ne pourra avoir lieu que dans une année.
Le débat relatif à la révision du découpage administratif a été relancé samedi dernier par la secrétaire générale du Parti des travailleurs, Louisa Hanoune, plaidant en faveur de la multiplication du nombre des communes. Le président du MSP, Hassani Cherif, avait préconisé, de son côté, lors de la dernière campagne présidentielle, l’augmentation du nombre de wilayas.
L’Algérie prône une transition énergétique pragmatique. Au-delà de la satisfaction des besoins domestiques de plus en plus grandissants, la stratégie énergétique est axée sur la diversification des ressources et le renforcement de la position du pays en tant que puissant et crédible fournisseur de gaz sur le marché international. Des investissements massifs sont consentis pour atteindre ces objectifs.
Israël est devenu une machine froide à assassiner massivement et détruire tout aussi massivement. Mercredi, l’armée israélienne a rasé purement et simplement un village du Sud-Liban et, le même jour, l’aviation a détruit le siège de la commune de Nabatyeh, tuant tout, le Conseil municipal y compris.
Tel que conçu au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, l’ordre mondial est en train de vaciller et ce ne sont pas les conflits entre les grandes puissances qui en sont la cause.