Trente-deux rue des Tables Claudines. C’est là à Lyon, que le groupe Carte de séjour, créé en 1980 dans la banlieue, à Rillieux-la-Pape, trouva un lieu de répétition qu’il louait. Pour payer le loyer, il organisait des fêtes devenues «cultes» dans le souvenir de ceux qui y ont assisté.
Les Algériens établis aux Etats-Unis d’Amérique ne ratent pas les occasions du mois de Ramadhan pour se rencontrer, créer une ambiance du bled et…rendre aussi hommage au plus méritant d’entre eux.
La professeure Yasmine Belkaïd prendra ses fonctions en janvier 2024 en tant que directrice générale de l’Institut Pasteur.
SOS Racisme, qui s’implique chaque année dans les commémorations des dates historiques-clés de la Guerre d’Algérie, à l’instar du 17 Octobre 1961, du 19 Mars et du 5 Juillet 1962, a lancé un appel pour la création d’un office franco-algérien pour la jeunesse à l’occasion du 60e anniversaire de l’indépendance.
Comment les Français ont pris possession de l’Algérie entre l’intrusion militaire de juillet 1830 à 1848. C’est le thème du livre La conquête de Colette Zytnicki. Une œuvre dans laquelle l’universitaire retrace sans concession les fondements tragiques de la sujétion.
Informations tous azimuts pour sauver une orque dans la Seine et silence radio pour 296 réfugiés en détresse. Une fois de plus, le décalage médiatique a pu surprendre…
Le Prix littéraire de la Porte Dorée 2022, décerné par le Musée national de l’histoire de l’immigration (dont l’actuel ministre de l’Education nationale, Pap Ndiaye était jusqu’à récemment le directeur général) a été attribué à l’Algérienne Nedjma Kacimi pour son roman Sensible, paru aux éditions Cambourakis – Paris.
Ce rendez-vous académique de grande envergure se veut comme un espace de débat et d’échanges constructifs pour «s’interroger sur un pays et une société, indépendants comme d’autres, parmi d’autres, et responsables de leur destin»
L’Histoire bégaie : un ancien légionnaire, capitaine lors du putsch de 1961, élevé dans l’Ordre de la légion d’honneur en avril dernier, 61 ans après avoir fomenté contre l’Etat. à Perpignan, les anciens de l’OAS, regroupés au sein de l’Adimad ont honoré leurs criminels de guerre.
Des institutions musulmanes reconnues au plan régional ou national dénoncent un «apartheid bancaire» qui les vise.
Alors que les Français sont appelés aux urnes pour les élections législatives qui renouvelleront, ce dimanche et le dimanche 19 juin, la Chambre des députés, les regards sont braqués sur la Nouvelle Union populaire écologique et sociale (Nupes), portée par Jean-Luc Mélenchon et qui regroupe son parti, La France insoumise, allié au Parti socialiste, au Parti communiste et aux écologistes d’Ecologie-Les-Verts.
Dans le cadre des activités commémorant le 60e anniversaire de l’indépendance algérienne, qui fleurissent un peu partout en France à l’approche du 5 juillet, un collectif citoyen, composé d’une quinzaine d’associations, s’est constitué à Marseille, qui se veut ville miroir d’Alger à cette occasion.
La Cimade n’a pas oublié les circonstances qui ont vu le président Emmanuel Macron reconduit pour un mandat de cinq ans : «L’élection présidentielle s’est caractérisée par un score global important des forces d’extrême-droite, et ont conduit à la réélection du président sortant dont le programme, dans la lignée de son bilan, s’avère porteur de menaces de nouvelles régressions pour les droits des personnes étrangères et migrantes.»
Ce livre paru aux éditions du Croquant est encadré par Tassadit Yacine, directrice d’études à l’EHESS, chercheuse au Laboratoire d’anthropologie sociale (LAS) et directrice de la revue AWAL.
Ce jour-là, Messali Hadj, devant des milliers de personnes, avait fait impression en tenant un discours portant haut l’aspiration nationale algérienne. Un jalon vers la libération.
Aujourd’hui, avec le recul historique, il est temps de retracer les années où l’Algérie a failli basculer. En janvier 1992, le mouvement islamiste, empêché de prendre le pouvoir par les urnes, a déclenché une terrifiante spirale de violence.
Le contexte européen et français est marqué par «une pression migratoire forte, continue et croissante», note un rapport intitulé «Services de l’État et immigration ; retrouver sens et efficacité.»
Alors que l’ouverture du Mémorial de Montluc, situé à Lyon, aux périodes de l’épuration et de la guerre d’Algérie, a créé la polémique, l’historien Marc André a réagi dans une tribune publiée par Le Monde.
L’expulsion le 3 mai de Fettah Malki vers l’Algérie est un des derniers actes pour lequel l’ancien Premier ministre, Jean Castex, a œuvré. Selon le quotidien L’Opinion, il se serait investi : «‘J’en avais fait un sujet personnel’, confiait-il quelques jours avant son départ de Matignon.
La vie reprend son cours presque normal après plus de deux ans de crise sanitaire, le Maghreb des livres aussi. Incontournable depuis trois décennies déjà, ce festival littéraire a repris sa part entière de lumière du rayonnement culturel de la capitale française, le week-end dernier, du 13 au 15 mai, avec la tenue de sa 28e édition à l’Hôtel de Ville de Paris.