Joe Biden fait le grand écart, il se résout vraisemblablement à lâcher Benyamin Netanyahu. Le président américain, en précampagne pour un deuxième mandat à la Maison-Blanche, a choisi le moment d’une rencontre avant-hier avec une assemblée de donateurs, à majorité juive, pour marquer ses distances avec le Premier ministre israélien et son gouvernement, sa façon de mener la guerre à Ghaza et ses projections pour le «Day After» (le jour d’après).
De toutes les guerres que la région du Moyen-Orient a connues depuis la proclamation de l’Etat sioniste sur la terre de la Palestine, il y a plus de 75 ans, celle menée depuis le 7 octobre dernier contre la population de Ghaza est inqualifiable par son atrocité et les sauvageries commises au quotidien. Des crimes qui en rappellent d’autres dans la longue histoire du combat mené par les Palestiniens contre l’occupation sioniste.
La conférence sur le climat (COP28) qu’organise l'ONU à Dubaï, qui a vu un nombre record de 80 000 participants issus de 198 pays, a mis en lumière une guerre énergétique autour du climat. Il y a d’un côté les partisans d’une sortie des énergies fossiles et les opposants à une telle mesure, les deux camps se livrant à une guerre pour des raisons économiques.
La 21e édition du Forum international de Doha, qui s’est ouvert hier dans la capitale qatarie, appelle à un cessez-le-feu immédiat dans la Bande de Ghaza. Des déclarations fortes ont été une nouvelle fois prononcées, qui soulignent à l’unanimité la gravité sans précédent de la situation humanitaire sur place, les crimes commis en masse sur les civils palestiniens, l’impasse dangereuse pour la région du Moyen-Orient et la paix dans le monde qu’induit l’aveuglement meurtrier et sans issue de Tel-Aviv…
A l’issue de la Seconde Guerre mondiale, la bonne idée était de créer une organisation internationale pour contribuer à ramener la paix dans le monde en traitant et en prévenant les conflits. Mais elle a été accompagnée d’une mauvaise idée, la création d’un Conseil de sécurité qui donne la possibilité à cinq grandes puissances, par le biais du fameux droit de veto, de bloquer n’importe quelle prise de position émanant de pays tiers, y compris de l’Assemblée générale onusienne, en vote écrasant.
Les épisodes récurrents, parfois dramatiques, des intoxications au monoxyde de carbone posent l’urgence d’un renforcement et d’un redéploiement du système de contrôle de la qualité et de la conformité des appareils utilisés dans les foyers.
Le soleil est l’avenir de l’Algérie : des investissements massifs sont annoncés pour la production d'énergies renouvelables. Alors que la production actuelle ne dépasse pas les 511 mégawatts d’énergie renouvelable, le programme national vise à atteindre 15 000 mégawatts d’électricité verte à l’horizon 2035.
Des dizaines de milliers de citoyens sont suspendus aux listes des bénéficiaires de logements sociaux en cours d’affichage à travers les collectivités locales. Ces opérations d’attribution dont le succès populaire n’a jamais été démenti est l’un des éléments qui structurent la vie sociale depuis des dizaines d’années. C’est l’attente citoyenne numéro un et la préoccupation cardinale des pouvoirs publics et des assemblées élues.
Les Palestiniens n’existent décidément pas pour beaucoup de médias mainstream occidentaux. Ils sont à peine des chiffres qu’on actualise à la fin d’un «sujet», une multitude démographique théorique qui meurt sans douleurs sous les bombardements ou court chercher refuge en arrière-plan des breaking news.
Le déluge de feu a repris sur Ghaza avec son torrent de sang et de larmes. Antony Blinken était à Tel-Aviv sans nul doute pour transmettre aux autorités israéliennes le feu vert de Washington concernant la reprise des frappes et approuver le plan israélien de partition de Ghaza.
Dans le long combat qu’ils mènent contre Israël depuis bien avant sa création en 1948 jusqu’à ce jour, les Palestiniens ont toujours considéré que les questions de la terre et de l’identité sont indissociables. Il était bien clair que derrière toutes les opérations militaires sionistes, il y avait un seul but : celui de terroriser les populations autochtones, les forçant à quitter leurs terres, pour les peupler par de nouveaux colons, n’ayant aucun lien identitaire avec cette patrie qu’est la Palestine.
Le dossier de l’ex-Ansej est revenu dans le débat, à la faveur de la réponse à la question d’un député, jeudi dernier, à l’APN, du ministre de l’Economie de la Connaissance, des Start-Up et des Micro-entreprises.
Les Palestiniens de Ghaza, mais aussi ceux de Cisjordanie, ont dû mourir par milliers en quelques semaines pour voir et entendre, enfin, le gotha diplomatique mondial s’intéresser à leur histoire et à l’injustice violente qui les frappe depuis plus de 70 ans.
Le monde retient son souffle sur la décision que prendra Netanyahu après la fin de la trêve. Va-t-il ordonner la reprise des bombardements sur Ghaza, notamment sa partie sud dans laquelle s’est réfugiée la majeure partie de la population ?
Lors de sa récente visite de travail dans la wilaya de Tizi Ouzou, le ministre de l’Energie et des Mines a annoncé un projet d’exploitation d’une mine de feldspath, actuellement en phase d’étude préliminaire. M. Arkab a souligné la «présence de ce minéral dans nombre de régions du pays, et la mine la plus importante en termes de capacités est celle de Tizi Ouzou».
Ainsi donc, l'actualité brûlante nous a révélé, qu'à travers le génocide qui se déroule à Ghaza la martyre, que l'Occident, toujours «sûr de lui et dominateur», a tenté d'aborder le Moyen-Orient compliqué avec l'idée trop simple de le désagréger.
Quatre jours de trêve, de suspension du temps et de la tempête de feu et de sang qui s'est abattue durant près de 50 jours sur la Bande de Ghaza ; quatre jours pour mesurer, vraiment, l'ampleur du malheur vécu : vies pulvérisées, familles décimées, foyers détruits...
Les rigueurs de l’hiver ont progressivement pris une autre signification ces dernières années. La saison des vagues de froid et des tempêtes est devenue aussi, et surtout, celle des difficultés de circulation et des inondations qui peuvent menacer des habitations.
Netanyahu a annoncé qu’il poursuivra la guerre à Ghaza, une fois achevée la trêve, ce qui signifie que le massacre des habitants reprendra avec plus d’intensité.
Hamas-Daech». C’est par cette association que Benyamin Netanyahu, ses ministres et l’état-major de son armée se font le devoir de désigner le mouvement de résistance palestinien. Et c’est ainsi qu’ils exigent du monde qu’il le présente depuis les attaques de sa branche armée, les Brigades Al Qassam, le 7 octobre dernier.