Les nervis de l’extrême droite n’ont pas encore digéré la défaite subie par la France suite à la Guerre de libération. Les Bernard Lugan, Eric Moshe Zemmour et autres propagandistes ont été missionnés par le lobby sioniste et les magnats de la presse française que sont les Vincent Bolloré et Cie pour semer les graines de la discorde et de la haine entre les peuples frères algérien et marocain, à travers le conflit du Sahara occidental, par une falsification éhontée de l’histoire de l’Algérie et du Maroc, pour accentuer leur dépendance envers les grandes puissances.
Le double marché des changes en Algérie constitue un frein majeur à la stabilité macroéconomique et à la croissance, soulignant ainsi l’importance de mettre en place un processus d’unification progressive.
Le changement climatique, ou réchauffement de la terre causé par les gaz à effet de serre produits principalement par l’activité humaine, est aujourd’hui ressenti partout dans le monde. L’agriculture étant considérée comme secteur économique le plus sensible aux effets négatifs de ce phénomène.
Les BRICS peuvent-ils vraiment émerger comme un collectif qui rejettera l’ordre néolibéral actuel ? Le projet politique des BRICS peut-il réellement s’inscrire dans le sillage de la conférence de Bandung qui, en 1955, avait marqué l’émergence du Mouvement des non-alignés qui va revendiquer un nouvel ordre économique international ?
Le monde est entré dans une période mouvementée de transition globale, une évolution de fond, à très long terme, qui signale le crépuscule d’une époque où, en paraphrasant Marx, une partie du monde en tant que telle est traitée par l’autre comme une simple condition organique et matérielle de sa propre reproduction.
L’accumulation de déficits budgétaires hors pétrole très élevés depuis des années a conduit à une croissance modeste, une baisse du ratio recettes fiscales/PIB, une dette publique en hausse, une inflation élevée et contre toute attente une appréciation de la monnaie nationale (résultat de l’orientation erronée de la politique de change en direction d’une lutte contre l’inflation).
La crise actuelle qui secoue le système de formation médicale en Algérie est révélatrice des profondes lacunes qui gangrènent le secteur depuis plusieurs décennies.
La protection durable de l’environnement et la qualité de vie dépendent étroitement de quatre piliers basiques que sont le pouvoir d’achat (aspects socioéconomiques), l’écologie (préservation des ressources naturelles : l’air, l’eau, le sol et le végétal), l’aménagement intégré des territoires (régions homoécologiques potentielles) et l’urbanisation durable (infrastructures respectueuses de l’environnement).
Une rue de Laghouat existe au 18e arrondissement de Paris depuis 1864, mais sans explication. La maire de Paris a décidé de lui donner une explication hier, en soulignant que cette «rue porte la mémoire des habitants de Laghouat dont l’armée coloniale française massacra plus des deux tiers de la population en 1852».
Les nouvelles politiques économiques que l’administration républicaine devrait mettre en œuvre à partir du 21 janvier 2025 auront un impact majeur sur les économies américaine et des autres pays dans le monde. Les Etats-Unis disposent de la plus grande économie du monde, émettent la monnaie de réserve internationale et abritent les plus grandes banques et entreprises de la planète.
L’arrestation de Boualem Sansal par les autorités algériennes a déclenché une vive réaction en France, où de nombreuses voix, parmi surtout les courants politiques et intellectuels de la droite et l’extrême-droite, dénoncent une atteinte à la liberté d’expression.
Cela fait 20 ans que je lis systématiquement le roman que vous récompensez, par curiosité et par passion de la littérature. Souvent, j’ai été bousculée, admirative, sceptique devant le choix de l’Académie.
Quand on regarde ces images d’enfants désespérés, on se demande où est l’humanité? Où est le droit internatonal? «Oui mais le Hamas utilise cet enfant et ses parents comme bouclier» disent Biden et Macron. Est-ce une raison pour tirer sur le bouclier?
Au début de son premier mandat, dans une de ses interventions télévisées, le président Abdelmadjid Tebboune donnait un cap stratégique à l’Ecole algérienne.
Si les performances de l’économie algérienne en 2024 sont globalement satisfaisantes, malgré des chocs externes et internes successifs depuis 2020, des réformes globales s’avèrent nécessaires pour renforcer les perspectives de croissance à moyen terme.
Dans une émission radiophonique captée sur une des radios de la ville de Memphis Tennessee, l’histoire de l’Afrique du Nord, particulièrement de l’Algérie, a été évoquée en relation avec celle de l’Egypte antique.
Quand on parle d’évaluation, on pense à celle du travail des élèves. Rarement de l’évaluation du système scolaire, de ses innovations et de leur impact. Une fois n’est pas coutume, cette modeste contribution ne concernera pas l’évaluation des élèves.
Ces projets ont été officiellement annoncés dans le passé et ont fait l’objet de mémorandums d’entente. Ils concernent l’interconnexion électrique sous-marine en courant continu haute tension que l’Algérie envisage de tirer vers l’Italie pour exporter des surplus d’électricité. Tout comme elle concerne la production d’hydrogène vert qu’elle ambitionne de développer et d’en exporter l’essentiel.
L’octroi répété d’incitations fiscales et douanières (IFD) affaiblit le recouvrement des recettes budgétaires en Algérie, sans pour autant générer les bénéfices macroéconomiques attendus en termes de croissance, de diversification des exportations et de création d’emplois. Entre 2014 et 2024, la part des recettes fiscales par rapport au PIB diminuait, passant de 12,2% à 11,2%, bien en deçà du potentiel estimé à 15% (40% pour un pays avancé). Ce niveau de 11,2% reste faible, même comparé à des pays ayant une structure économique similaire.
A l’instar des autres pays du monde entier, l’Algérie célèbre la Semaine de l’entrepreneuriat au mois de novembre de chaque année. Alors que nous traversons les complexités d’une économie post-inflationniste de par le monde, il n’a jamais été aussi important de soutenir les jeunes entrepreneurs à créer leur propre emploi à travers la création de micro-entreprises et start-up.