L’éminent scientifique et inventeur algérien, auteur de plusieurs recherches dans le domaine de la technologie, Belgacem Haba, a été l’invité, dimanche 1er décembre, de l’université Abbes Laghrour de la ville de Khenchela où il animé une intéressante conférence, durant laquelle il a partagé son expérience personnelle et son parcours en matière de startups face à une assistance nombreuse et intéressée, composée essentiellement d’étudiants venus découvrir les compétences de cet homme qui demeure la fierté de son pays à l’échelle mondiale.
Enseigner l’histoire de l’Algérie à la jeune génération a toujours été un souci majeur pour les autorités publiques. Nul ne peut ignorer l’importance d’inculquer à ces futurs citoyens les valeurs de la nation à travers ses différents repères, qu’ils soient des personnalités historiques ou des événements déterminants de son existence.
En visite samedi 30 novembre au chantier de la station de dessalement de l’eau de mer (STEM) de Koudiet Eddraouche de la commune de Berrihane, dans la wilaya d’El Tarf, le ministre de l’Hydraulique, Taha Derbal, a inspecté l’état d’avancement du projet relatif à la mise en place des conduites de transfert de l’eau dessalée, depuis la STEM jusqu’au croisement de l’oued Mafragh, situé dans la zone d’El Battah (commune de Ben M’hidi), le long de la RN184.
Évoquer à Constantine le nom du défunt docteur Hafed Boudjemaâ rappelle aux anciens habitants de cette ville les souvenirs de son cabinet médical de la rue Bouali Saïd (ex-rue Casanova), mais aussi ceux de la pharmacie, située à la rue Messaoud Boudjeriou, dans le quartier de Saint-Jean, où l’on garde encore en mémoire le sourire d’une dame bienveillante qui n’était autre que sa femme Jeannine.
l Sa célèbre moustache, son trench-coat serré par la ceinture, son accent jijelien, sa façon de se présenter et son jeu inimitable avaient fait de lui l’un des personnages les plus populaires auprès des cinéphiles et des téléspectateurs algériens entre les années 1960 et 1980.
La course contre la montre est engagée depuis plusieurs mois pour relever les défis lancés par les pouvoirs publics, afin d’assurer les deux principales priorités de l’heure, que sont les sécurités alimentaire et hydrique du pays.
Une vaste campagne vient d’être lancée dans la ville de Khenchela pour l’éradication de tous les points noirs qui continuent de ternir l’image du chef-lieu de la wilaya, notamment les décharges sauvages et les accumulations des déblais et des restes des chantiers non nettoyés par les entreprises, après l’achèvement de travaux.
l Les mauvaises pratiques commerciales, qui représentent un véritable danger pour la santé des consommateurs, sont toujours légion dans les quartiers situés à l’abri des regards.
Les sorties nocturnes sur les routes nationales traversant la wilaya de Constantine permettent de relever de nombreuses anomalies en matière d’éclairage public.
Le centre-ville de Batna vit depuis quelques jours au rythme des engins qui ont pris place sur la voie publique pour une grande opération d’aménagement et de réfection des routes que la population n’a pas connu depuis des années. Cette opération, dont le coup d’envoi a été donné par le wali, Mohamed Benmalek, a commencé dans une première étape par des travaux de réhabilitation de l’une des principales artères de la ville, la route de Biskra.
Les habitants d’une partie de la cité 494 Logements CNEP et des constructions environnantes, situées à proximité directe de l’unité de la Protection civile de Djebel Ouahch, dans la banlieue nord de la ville de Constantine, sont outrés par la manière avec laquelle sont menés les travaux de réfection des routes et d’aménagement de la voirie, et ils ne ratent pas l’occasion pour exprimer leur désarroi.
L’école Dar El Hikma, située à la cité Boudraâ Salah dans la ville de Constantine, affiliée à l’Association des oulémas musulmans algériens, ne cesse d’investir au profit des jeunes en leur proposant diverses activités pédagogiques, éducatives, culturelles et lucratives pour assurer leur épanouissement et les former à apprendre à gérer leur temps et leur énergie dans tout ce qui est utile.
Les statistiques des cas atteints du cancer de la prostate en Algérie ont pris des proportions alarmantes ces dernières années. Les spécialistes n’ont cessé de tirer la sonnette pour insister sur la nécessité de donner plus d’importance à cette pathologie devenue l’une des principales causes de mortalité chez les hommes autant que le cancer du sein chez les femmes.
En regardant en arrière, en regardant ma vie passée, j’ai l’impression que ma vie a été assez unifiée, à partir de mon petit village natal, que je prenais pour le nombril du monde. J’ai été jeté, par les circonstances, de plus en plus loin, au-delà des frontières de mon pays, de mes communautés naturelles, ethniques, culturelles et religieuses.
Au début de l’année 1954, Badji Mokhtar avait participé à la création du Comité révolutionnaire d’unité et d’action (CRUA), avec Mostefa Benboulaïd.
Malgré un léger retard que les entreprises engagées dans les chantiers activent pour rattraper, les travaux de réalisation de la station de dessalement de Koudiet Edrraouche, dans la commune de Berrihane, 40 km au sud-ouest du chef-lieu de la wilaya d’El Tarf, avancent à un rythme soutenu dans le but de réceptionner cette infrastructure névralgique dans les délais fixés, soit avant la fin du mois de décembre prochain.
L’événement dans le village de Tadchiret de la commune de Tefreg, située à 35 km au nord de Bordj Bou Arréridj est sans doute la restauration de la mosquée Sidi Abdallah Ben Djaafar El Yaadali.
La wilaya de Jijel a commémoré, cette semaine, le 64e anniversaire de la mort du martyr commandant Hocine Rouibah et ses neuf compagnons dans la région d’Aïn Lebna, dépendant de la commune d’Erraguene Souissi, située à l’extrême sud-ouest de la wilaya de Jijel.
Une chaussée décapée, puis abandonnée depuis des semaines ne cesse d’alimenter les discussions au boulevard Mohamed Khennaoui de la cité Djebel Ouahch, dans la banlieue nord de la ville de Constantine.
Jeudi 10 novembre 1955 à 18h30, les sirènes de la prison du Coudiat avaient été déclenchées et leurs bruits avaient retenti dans tout le centre-ville de Constantine. L’établissement, dont la construction remonte à 1850, se trouve à quelques dizaines de mètres de la place de la Pyramide.