On ne peut que le constater avec beaucoup d’amertume : nos forêts et nos espaces verts, sauvages ou cultivés, partent en fumée les uns après les autres à un rythme qui ne fait que s’accélérer ces dernières années.
Le peuple nigérien continue de résister héroïquement aux ingérences et dénonce les préparatifs pour perpétrer une agression contre son pays. Les Nigériens qui refusent de servir de chair à canon ont massivement manifesté dimanche dernier, à Niamey, pour rejeter toute ingérence étrangère.
Membres influents de la Cédéao, la Côte d’Ivoire, le Nigeria et le Sénégal doivent ressentir de l’amertume quand ils constatent que leur rêve d’envoyer leurs troupes au Niger pour rétablir Mohamed Bazoum est rejeté partout en Afrique. Leurs généraux, présents jeudi à Accra, ont rencontré de fortes réserves contre l’option belliqueuse, lors de cette réunion des chefs d’état-major des armées de l’organisation.
Dans leurs laboratoires aseptisés ou bureaux climatisés, des bataillons de chercheurs et de scientifiques, toutes disciplines confondues, planchent, depuis longtemps déjà, sur la question du réchauffement climatique. Il est urgent de trouver des solutions concrètes et pratiques pour faire face aux températures qui s’affolent de plus en plus.
Les mesures de prévention contre les risques liés à la saison estivale s’annoncent multiples et de longue haleine. Même si l’été ne touche pas encore à sa fin, il y a lieu d’engager d’ores et déjà la réflexion sur les dispositifs de lutte pour les prochaines années.
De quoi sera faite l’économie algérienne demain ? Tout un passif à solder et l’avenir est à penser et à construire. Face à la somme des contraintes internes et externes, le temps d’aujourd’hui est à l’urgence.
Le conflit soudanais se dirige fatalement vers un huis clos. Alors que les caméras désertent les unes après les autres les rues de Khartoum et la campagne du Darfour, la population se retrouve seule entre les feux de la guerre des généraux que se livrent depuis avril l’armée dirigée par Abdel Fattah al Burhan et les insurgés des FSR menés par Mohamed Hamdan Dogolo.
Les vacances tirent à leur fin. Les projets d’organiser des séjours de farniente cèdent la place aux préparatifs harassants de la rentrée scolaire. Il faut dire que les décisions prises par le ministère de tutelle n’ont pas été toutes respectées par les opérateurs touristiques.
Le titre, ci-dessus, pourrait bien s'accommoder à plusieurs pays africains, dont le Niger n'est pas des moindres. Et si on en parle, aujourd'hui, c'est que le Niger, pays parmi les plus pauvres de la planète, alors qu'il regorge de richesses, (or, uranium, fer, charbon et pétrole) est au cœur d'une crise de pouvoir dominant largement l'actualité internationale.
A quelques jours de la tenue du très attendu sommet des BRICS, prévu du 22 au 24 août en Afrique du Sud, le monde assiste à une ruée vers cette alliance de puissances émergentes.
Le monde a cru connaître la pire menace sur son équilibre avec l’apparition des nouveaux virus fin 2019, ayant provoqué un état d’urgence sanitaire transfrontalier et un ralentissement des activités humaines pendant plus de deux ans.
Il y a un mal profond que personne ne voit et n’évoque et pourtant il est bien présent, et ce, dans tout l’espace public. Vous ne l’avez pas deviné, il s’agit du manque d’hygiène publique et de la saleté environnante causés par les rejets anarchiques et massifs de toutes sortes d’ordures ménagères, restes de matériaux de construction, pneus, contenants usagés de liquides, etc.
Oppenheimer, le biopic hollywoodien, ne sortira pas au Japon. En revanche, les Japonais ne manquent pas de commémorer cette semaine le 78e anniversaire du bombardement atomique de Hiroshima et Nagasaki.
La situation est explosive au Niger, où l’imminence d’une guerre menée par des Etats étrangers à ce pays se précise après le coup d’Etat qui a écarté le président Mohamed Bazoum. Au moment où les bruits de bottes se font entendre, il faut dire «non» à la guerre au Niger.
Les agents de contrôle du ministère du Commerce font face à un été chaud. Ils sont sur tous les fronts atteints par le feu qui enflamme les prix aussi bien des produits de consommation que ceux des appareils électroménagers.
Cimetière VIP des éléphants du football, terre de jouvence pour les stars mondiales, tapageuse opération de marketing géopolitique par le sport… La boulimie de l’Arabie Saoudite pour les têtes d’affiche du sport roi continue d’étonner et de susciter des commentaires. Et pour sûr, elle a bousculé, en quelques semaines d’accélération, les fondamentaux du marché des transferts.
Les autorités ont raison d’organiser les cérémonies de distinction des meilleurs lauréats au baccalauréat. Il y a beaucoup à apprendre, des éclairs de génie à capter chez des jeunes qui ont atteint l’excellence dans un monde où tout invite à la dissipation et conduit à l’atrophie des facultés humaines.
Au commencement, c'était l’invasion américaine de l’Irak sans l'aval de l’Onu, sous un faux prétexte, avec une violence inouïe, suivie, quelques années après, de la déstabilisation de la Syrie et de la Libye.
La violence et le lourd bilan de la série de feux de forêt meurtriers qui ont frappé certaines wilayas du pays la semaine dernière confirment, une nouvelle fois, que l’on a affaire désormais à un palier de risque supérieur à celui redouté auparavant.
A un mois de la tenue du très attendu rassemblement des BRICS à Johannesburg en août prochain, le deuxième sommet Afrique-Russie qu’a abrité Saint-Pétersbourg, les 27 et 28 juillet, illustre la volonté de l’Afrique d’opérer avec la Russie un rapprochement étroit à la fois économique, sécuritaire et surtout géopolitique.