Le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Kamel Baddari, annonce la création de 5310 postes budgétaires au profit des titulaires des diplômes de doctorat et de magistère. Une révision de l’arsenal juridique est prévue afin de «trouver les solutions idoines» au recrutement de ces diplômés.
Les titulaires de doctorat et de magistèrs continuent de se mobiliser pour faire aboutir leur revendication liée au recrutement direct.
La quarantaine à peine entamée et déjà une œuvre très dense. Depuis son très remarqué recueil Faiblesse n’est pas de dire, publié en 2001 chez Barzakh, Samira Negrouche se voue à son art avec la même persévérance.
La commission mixte d’historiens algériens et français, décidée par le président de la République algérien, Abdelmadjid Tebboune, et son homologue français, Emmanuel Macron, à l’occasion de la visite officielle de ce dernier en Algérie, en août 2022, a tenu, mercredi 19 avril, sa première réunion, a annoncé un communiqué de la Présidence française.
Dans l’entretien qu’il a accordé à El Watan, le très dynamique acteur de la scène culturelle nationale, Amirouche Malek, évoque l’anthologie poétique qu’il a publiée aux éditions Imtidad : Florilège de poésie, Asefru n tmedyezt, il précise qu’il «n’y a jamais eu une anthologie où figurent 39 poètes en trois langues : tamazight, arabe français». Organisateur acharné de plusieurs événements culturels, il série certaines difficultés qui le freinent dans ses ambitions. «Les collectivités locales et certaines structures culturelles doivent s’impliquer pour une compensation. J’avoue que si on a tenu le coup, c’est grâce aux mécènes et certains amis qui nous soutiennent. C’est la raison pour laquelle, on a décidé de suspendre certaines de nos activités jusqu’à nouvel ordre ou du moins jusqu’à ce que les conditions soient réunies», souligne-t-il.
Consacrée langue nationale après l’amendement de la Constitution en 2002, puis langue officielle à la faveur de la révision constitutionnelle en 2016, tamazight a connu des progrès depuis son introduction dans l’enseignement durant l’année scolaire 1994-1995.
Dans l’entretien accordé à El Watan, le secrétaire général du Haut-Commissariat à l’amazighité (HCA), Si El Hachemi Assad, revient sur la décision du ministère de l’Education d’assurer une «progression certaine» de tamazight à travers le territoire national dès la rentrée scolaire prochaine 2023-2024. Il annonce, dans ce sillage, l’installation d’un groupe de travail mixte chargé d’examiner les mesures nécessaires à même de consolider l’enseignement de cette langue et de prendre en charge les problèmes qui entravent sa généralisation progressive. Il a été aussi décidé, en concertation avec le ministre de l’Education nationale, Abdelkrim Belabed, la rédaction d’un document portant directive ministérielle à l’effet de clarifier les modalités organisationnelles liées à cet enseignement, annonce M. Assad.
Paradoxe marocain. Si la crise frappe de plein fouet son pays, le roi du Maroc, Mohammed VI, s’en tire, lui, à très bon compte : il figure parmi les cinq monarques les plus riches de la planète avec une fortune personnelle estimée à près de 6 milliards de dollars selon le magazine Forbes (2015). La monarchie alaouite est généreuse avec sa «Sa majesté le roi» et à sa cour.
Le général d’armée Saïd Chanegriha, chef d’état-major de l’Armée nationale populaire (ANP), a mis en avant, jeudi, «les étapes considérables franchies dans le cadre du processus de construction d’une armée moderne et professionnelle, qui œuvre à disposer des éléments de puissance».
La longue liste de martyrs tombés sous les balles de l’armée d’occupation israélienne s’est encore allongée. Après une accalmie de quelques jours, les forces sionistes ont repris leurs attaques meurtrières contre des civils palestiniens. Lundi 3 avril, Mohamed Hallak, 22 ans, et Mohamed Anou Baker, 27 ans, ont été assassinés à Naplouse au nord de la Cisjordanie occupée.
Les services du commerce n’ont pas chômé en ces premiers jours du mois de Ramadhan.
Le Premier ministre, Aïmene Benabderrahmane, a présidé, hier, une réunion du gouvernement au cours de laquelle a été examiné un avant-projet de loi relatif à la justice et ont été présentées des communications concernant les secteurs de la jeunesse et des sports, des transports et des microentreprises, a indiqué un communiqué des services du Premier ministre.
Le ministre du Commerce, Tayeb Zitouni, a indiqué, lundi, que son secteur s’employait à revoir les réseaux de distribution des produits de consommation de base pour améliorer l’approvisionnement des marchés.
Huit personnes ont été blessées, hier, dans une explosion de gaz suivie d’un incendie dans une habitation de la cité El Mossala, de la ville de Médéa. La Protection civile a précisé dans un communiqué que ses éléments sont intervenus à 04h45 suite à une fuite de gaz naturel qui a provoqué une explosion suivie d’un incendie dans une habitation en R+1.
L’organisation des auto-écoles a été l’un des dossiers épineux soumis au ministère des Transports. La Fédération nationale des auto-écoles (FNAE) a longtemps plaidé pour la réorganisation de la profession et un contrôle strict de l’opération de délivrance de nouveaux agréments.
Ali Aoun a pris ses fonctions, hier, à la tête du ministère de l’Industrie et de la Production pharmaceutique en remplacement de l’ex-ministre de l’Industrie, Ahmed Zaghdar, suite au remaniement ministériel opéré, jeudi, par le président de la République, Abdelmadjid Tebboune.
Kamel Rezig, ministre du Commerce, a été démis de ses fonctions au profit de Tayeb Zitouni, secrétaire général du Rassemblement national démocratique (RND). Nommé en janvier 2020, dans le premier gouvernement de l’ex-Premier ministre, Abdelaziz Djerad, Kamel Rezig a survécu aux différents remaniements ministériels opérés par le président de la République, Abdelmadjid Tebboune.
Les hommages à la reine disparue sont unanimes en Grande-Bretagne et dans monde, saluant «une reine exceptionnelle».
La liste des victimes de féminicide s’allonge. Un autre crime s’est ajouté récemment à la série de meurtres commis contre les femmes : Samia Dj., âgée de 40 ans et mère de trois enfants, est morte sous les coups de son mari au domicile familial à la cité Oued Dheb. «Un homme a assassiné le 30 août sa femme, Samia Dj., à l’aide d’un objet contondant, et étranglé ses trois enfants.
Wiame Awres commence par définir le féminicide, qui est «le continuum et la finalité extrême des violences faites aux femmes». Faisant remarquer que les cas rendus publics sont uniquement ceux rapportés dans les médias et les réseaux sociaux, la co-fondatrice de Féminicides Algérie note que les victimes sont de tous âges. Que faudrait-il faire pour faire face à ces crimes ? «Il doit y avoir impérativement une reconnaissance politique du féminicide afin de prévenir ces meurtres. Cela passe par une connaissance de la spécificité des meurtres, des facteurs de risques, et par la suite de mettre en place les mesures préventives», suggère-t-elle.