L’Algérie a connu ces derniers mois un épisode pluviométrique déficitaire malgré quelques précipitations en fin d’année dernière. «Les mois de septembre et octobre étaient déficitaires malgré un épisode pluvieux le 24 octobre. En novembre : moyen partout et très excédentaire sur le littoral centre, allant jusqu’à 3,5 fois les moyennes interannuelles (350 mm à Tizi Ouzou, 450 mm à Alger et même jusqu’à 700 mm sur les hauteurs à Bouzaréah). C’est pratiquement 50% du total annuel», constate Malek Abdessalem, docteur en hydrogéologie et directeur du Laboratoire des eaux de l’Université Mouloud Mammeri de Tizi Ouzou (UMMTO).
Les huissiers dénoncent un nouveau régime fiscal «injuste envers la profession et qui pourrait mener à la faillite de leur activité».
Une recherche socio-anthropologique sur la «perception» de la pandémie Covid-19 a été menée à Oran. Dirigée par le sociologue Mohamed Mebtoul, l’enquête avait pour objectif la compréhension des significations profanes attribuées par les personnes de conditions sociales et culturelles diversifiées à cette pandémie. Dans l’entretien accordé à El Watan, le sociologue revient sur la campagne de vaccination, qui ne suscite pas l’enthousiasme chez une majorité de la population.
Partout dans le monde, la revalorisation des pensions de retraite est un droit qui s’opère à une date bien précise, généralement au début du mois de janvier. En Algérie, la date fixée est le mois de mai. Mais la dernière revalorisation accuse un retard de neuf mois. C’est du jamais vu, à tel point que cette année cela pose des interrogations.
La décision de réviser la loi sur l’exercice de l’action syndicale a été décidé en Conseil des ministres du 2 janvier dernier.
Les modalités d’accès à la formation pour l’obtention du Certificat d’aptitude à la profession d’avocat (CAPA) viennent d’être modifiées, selon un décret exécutif publié hier au dernier Journal officiel n°6.
Dans l’entretien accordé à El Watan, Rabah Sebaa, auteur du roman Fahla, revient sur l’origine de son œuvre écrite en arabe dialectal. Pour ce professeur de sociologie et d’anthropologie linguistique, la langue algérienne «doit donner des ailes colorées à ses mots. La langue algérienne doit briser ses suffocantes muselières, car elle est vivante et entière. L’algérien est une langue d’avenir, car elle est d’une souplesse syntaxique et d’une capacité d’absorption lexicale très rare».
La Chambre nationale des notaires dénonce le nouveau régime fiscal, introduit dans la Loi de finances (LF-2022), qui cause «des préjudices» à la profession.
Après la mort en mai 2020 de Abdelkader Lamoudi, Othmane Belouizdad, décédé mercredi dernier, aura été le dernier membre du Groupe des 22 historiques.
La crainte d’une remise en cause des acquis liés à la langue amazighe est exprimée par les défenseurs de la langue et de la culture amazighes, d’autant que les pouvoirs publics n’engagent pas les réformes nécessaires (instauration de l’obligation de l’enseignement de la langue amazighe, réactivation de l’Académie de la langue amazighe, «amazighisation» de l’administration…)