Le manuel parascolaire est utile, voire avantageux lorsqu’il s’agit de motiver l’enfant apprenant.
Situé dans le quartier Souk El Djamaâ, dans la partie basse de l’antique médina, le Musée national des arts et traditions populaires invite le visiteur à une escale au cœur de notre patrimoine ethnographique. Les réserves du musée abritent quelque 3000 objets ethnographiques relevant de l’orfèvrerie, la vannerie, la poterie, la boissellerie, la dinanderie…, mais seulement une partie de la collection meuble de l’espace des trois niveaux consacrés à l’exposition. Escale dans cet historique palais.
A la confluence de la rue des Frères Djaout et l’artère Askri Ahcène, à Bab El Oued, le septuagénaire Mohamed Ghezali tient une échoppe de réparation de bécanes. Il évolue depuis presque quatre décades au milieu d’un capharnaüm où flottent les effluves de graisse et de cambouis.
Il est des ouvrages d’art qui, en dehors de leur utilité, sont laissés à l’abandon, tant le manque d’entretien est criant.
Il est des jardins publics à travers la wilaya qui sont bien entretenus, certes, mais certains de ces parcs paysagers, dont l’Epic Edeval s’attelle à leur donner un new look, sont devenus des endroits mal fréquentés, à l’image du jardin qui flanque l’Institut national supérieur de musique (INSM) qui fait face au Centre des arts et de la culture, dit Bastion 23.
Le Groupe de réflexion Filaha Innove (GRFI), spécialisé dans les questions agricoles et rurales, accueillera, aux côtés d’anciens ministres, des experts en économie et en agriculture demain, le 2 février, au siège de l’incubateur Filaha Innove (Fayet Club), Oualid Yacine, ministre de l’Economie, de la Connaissance, des Start-up et des Microentreprises, qui s’adressera dans un point de presse à la jeunesse algérienne passionnée d’agriculture, d’alimentation et de souveraineté alimentaire, et parlera également des «défis que doivent relever les jeunes agriculteurs», certainement encore plus lourds que ceux de leurs aînés.