Depuis quelques années, c’est devenu une tradition dans les quartiers populeux de la capitale ! Les fans du Mouloudia d’Alger en l’occurrence célèbrent à leur manière le jour de la création du Doyen des clubs. Et pour cette année, cela ne s’est pas passé sans incident, voire friser le drame.
Tout enfant, il se faisait conduire, au même titre que le reste de la fratrie, par son père, pour suivre des cours de musique au Conservatoire d’Alger, situé au boulevard Che Guevara. C’était au début des seventies du siècle dernier, lorsque le papa tenait à ce que sa progéniture ait une formation artistique, en dehors du cursus scolaire.
Sur 57 communes que compte la wilaya d’Alger, dix-sept d’entre elles ont les pieds dans l’eau. Autrement dit, de la bande sablonneuse qui serpente le long de la commune de Zéralda jusqu’à la côte littorale de la Marsa, il y a des sites balnéaires qui accueillent, l’espace des grandes chaleurs, les estivants. Soit.
Pour cette nouvelle saison estivale, la côte turquoise se voit amputée de nombre de plages impropres à la baignade, dont l’Eden Plage et la plage dite R’mila qui drainent beaucoup de monde des quartiers de Bab El Oued, La Casbah, Oued Korich et autres cités environnantes.
En dépit de son délitement en termes d’héritage matériel et immatériel, l’ancienne médina Ibn Mezghenna n’en continue pas moins de drainer du monde.
Rangé dans la collection Rue des écoles, le dernier corpus romanesque de l’auteur Mustapha Bouchareb, intitulé Le dernier Maure de Francie, paru chez les éditions L’Harmattan, est une œuvre où le réel puise sa force dans une part d’un passé fait parfois d’un assemblage imaginaire.
Des centaines de familles qui avaient érigé, lors de la décennie noire, des galetas, ont, à la faveur des programmes de relogement inscrits dans le cadre du logement social, bénéficié du fameux sésame.
Il est des ouvrages hydrauliques qui présentent un problème de santé publique dès lors qu’ils charrient des eaux usées outre qu’ils restent congestionnés par les gravats et détritus de tous genres, comme l’ouvrage hydraulique, qui relève de la commune de Bologhine, devenu un véritable émonctoire, entraînant, à l’approche des grandes chaleurs, les risques de MTH.
Depuis plus de deux mois, la côte turquoise, notamment la plage Eden qui relève de la commune de Bologhine est envahie par une marée d’algues brunâtres, qu’on désigne par le terme ‘‘Sargasses’’ qui sent l’œuf pourri.
Comme de coutume, à l’approche du douzième hégirien, une effervescence s’empare de la ville et dans sa périphérie. Nos cités deviennent une aubaine pour certains revendeurs de moutons qui ne ratent pas l’occasion de transformer le moindre empan en lieu commercial où ils font leurs choux gras, tirant de substantiels dividendes.
Dar Essalem, est un espace culturel qui a ouvert ses portes, à la Basse Casbah, il y a presque deux ans. Un réceptacle de savoir qui respire la convivialité, de par la librairie Alamet (Signes) qui y élit domicile, après que celle-ci eut débarrassé le plancher des hauteurs de la capitale pour y occuper partiellement les lieux.
l Acteur et témoin dans le réseau de santé lors de la glorieuse Guerre de libération nationale, Mohamed Damerdji est l’auteur de l’ouvrage intitulé Les pharmacies de la résistance, paru chez les éditions Dahlab.
Pendant plus d’un mois, la plage Eden et d’autres criques de la côte turquoise se sont vu envahir par des monticules d’algues brunâtres qu’on appelle les Sargasses. Sur les réseaux sociaux, les gens spéculaient sur les causes et les effets de ce phénomène sur les plans santé et écologique. Hier, une grand houle avait déferlé de l’ouest, balayant pratiquement toutes ces montagne d’algues, au brand bonheur des estivants qui attendent le coup de starter de la saison estivale, prévu comme chaque année, le 1er juin, pour faire trempette.
Dar Essalem ou la Maison de la paix, un espace intemporel niché dans l’ancienne médina, qui respire la sérénité et dont les murs libèrent une certaine charge spirituelle, invitant le visiteur à une halte, voire à un moment de communion au milieu d’une exposition d’œuvres de calligraphie qui alterne avec des séances de déclamation de poésie.
On voyait lors des saisons précédentes, lorsque le printemps, saison des amours, faisait son apparition, certains espaces publics bien achalandés en pots de fleurs proposés à la ménagère qui s’empressait de fleurir son balcon.
Auteur de plusieurs romans, à savoir Parfums d’une femme perdue, Les tranchées de l’imposture et Les rescapés de Pula, l’ex-journaliste et traducteur de l’APS, Saad Saïd, vient de faire paraître aux éditions El Qobia un autre ouvrage intitulé La Gloire des vaincus.
Qu’est-ce qui vous a motivé à fouiller dans cette portion d’un passé qui raconte dans le captivant récit La gloire des vaincus, une partie de notre douloureuse histoire face à la colonisation ?
On voit, ces dernières années, les murs de certaines rues de la capitale bariolés de graffitis et de tags. Ce mode d’expression artistique désigné sous d’autres cieux de street art gagne l’espace urbain chez nous, non en termes de rébellion ou de recherche d’esthétique, sinon une pratique qui obéit à un référent qui colle au sport-roi qu’est le foot.
Le Salon international de l’agriculture, de l’élevage et de l’agro industrie Filaha Agrofood se tiendra du 20 au 23 mai 2024 au Palais des expositions, la Safex, à Alger et réunira les professionnels du secteur de nombreux pays d’Afrique dont le Sénégal, le Niger et la Mauritanie qui sera à l’honneur, des exposants du Sénégal et du Niger.
Mémoires de fossoyeurs est l’intitulé de l’ouvrage de l’auteur Nourdine Ouchefoun qui invite le lecteur à des haltes dans un terrain de vergers qui se voit transformé en cimetière et où le métier de distillerie cède le pas à l’activité de «haffar».