l La statue du Raïs Ali Betchine (Aldo Piccinin) trône depuis le mois de mai dernier au milieu de la luxuriante végétation dans le jardin anglais du Jardin d’essais du Hamma.
Des habitants interpellent le wali délégué aux fins de rétablir l’accès d’un lit pluvial en aval situé dans la commune de Bologhine, sis rue Omar Benaïssa, sans quoi, de jeunes oisifs continuent à s’en servir, qui, pour y cacher leur came, et qui, pour y fourguer des tas de ferraille avant de les revendre... Les riverains s’élèvent aussi contre les services de la mairie et de NetCom qui font l’impasse dans certaines rues en matière de balayage public, et ce, depuis des lustres.
L’Opéra d’Alger Boualem Bessaïh, implanté dans le fahs algérois, est un véritable joyau pour la culture. Opérationnelle depuis 2016, la structure qui s’étend sur 3,5 ha, abrite trois départements : l’orchestre symphonique, l’ensemble andalou ainsi que le Ballet national, auquel s’ajoute le chœur d’Alger, dirigé par Zoheir Mazari, qui offre ses prestations à l’occasion.
En dépit de l’engagement du gouvernement à mettre en œuvre le processus de transformation numérique dans tous les secteurs, sur la base d’un programme visant à doter les structures d’équipements informatiques, il est des domaines qui restent «sclérosés» en matière de numérisation.
Depuis le 6 janvier, l’espace de la Fondation culturelle Ahmed et Rabah-Asselah abrite une exposition collective picturale intitulée Souvenirs et patrimoine, d’une trentaine de tableaux des peintres Waheb Khaled Khodja, Samir Khalfallah et Yacine Nouar.
Déterminé et mobilisé sur les questions d’hygiène sécurité et de préservation de nos espaces de vie, l’exécutif de la wilaya d’Alger a mis en place un dispositif mobile pour signaler les tares, vices et autres manquements relevés dans le milieu urbain dans son ensemble. Ce dispositif ou cette unité s’appuie sur des brigades de motocycles mobiles présentes sur le territoire des 14 circonscriptions administratives (CA) que compte la wilaya.
Mise en place depuis 18 mois, l’unité motocycle de la wilaya d’Alger signale depuis les points noirs qui essaiment le milieu urbain. Elles sont nombreuses ces tares et vices qui gâtent le cadre de vie du citoyen, lequel citoyen a, faut-il avouer, une grosse part de responsabilité sur le plan de la préservation de l’environnement dans lequel il évolue.
Dans le cadre du programme de restauration inscrit par la wilaya au niveau de certains édifices historiques de l’ancienne médina, une opération de réhabilitation de palais sera lancée, et ce, après avoir finalisé les études et lancé un avis d’appel d’offres.
Dans le cadre du plan stratégique que s’est assigné la wilaya d’Alger en matière de dynamisation de l’activité sportive urbaine, plusieurs projets d’infrastructures sportives sont inscrits, notamment la réalisation d’une trentaine de piscines réparties à travers le territoire de la wilaya, dont certaines sont réceptionnées, les autres en cours de réalisation. L’objectif de l’exécutif à moyen terme est de doter, au moins, chaque commune d’une piscin
Toutes les mégalopoles du monde, même les moins nanties, sont dotées aujourd’hui d’un minimum d’infrastructures sportives.
L’Agence nationale des déchets (AND) avait lancé, le 16 du mois en cours, en collaboration avec le Programme d’appui aux priorités du partenariat de l’Union européenne en Algérie, une campagne nationale de sensibilisation au tri sélectif destinée à toutes les catégories des citoyens.
Visiblement, il faut avoir des œillères pour ne pas remarquer toute la cacophonie que génère le pullulement des aires de commerce informelle qui réduisent au fil du temps les espaces piétons non sans déborder sur la chaussée.
L’on se souvient, après l’invasion de 2003, des forces américaines contre le pays du Tigre et de l’Euphrate, de la mise à sac de l’immense patrimoine babylonien qui se résume dans le pillage d’une collection estimée à plus de 15 000 pièces archéologiques du Musée national d’Irak, à Baghdad, dont 5000 sceaux-cylindres d’une très grande valeur.
Autrefois, chaque commune disposait d’un espace de lecture publique et chaque quartier avait au moins une librairie et une bouquinerie. A présent, ces établissements ont troqué leur activité originelle contre un exercice qui semble épouser l’air du temps. La raison serait-elle seulement liée à la désaffection dont fait montre le jeune pour le livre ?
Nombre d’oléifacteurs d’huile d’olive ne recourent pas aux laboratoires de contrôle et d’analyses pour se faire délivrer un certificat de qualité de leurs produits oléicoles, apprend-on de Mme Chafia Abdennour, directrice de Catalyse Lab, laboratoire d'analyses, d'essais et de contrôle de la conformité aux normes, dont le siège est à Constantine.
Après une période de léthargie, nombre de projets de restauration au niveau de la citadelle ou Dar Essoltane et de l’ancienne médina commencent à voir le jour au moment où d’autres édifices historiques sont en cours de restauration ou font l’objet d’étude.
Bien que des efforts soient déployés par les services de Netcom pour rendre proprettes nos cités, le décor que nous renvoient ces dernières sur le plan salubrité publique est des plus désolants, voire repoussants dans certains espaces publics de la capitale.
Dans son ouvrage La Convergence des consciences, l’auteur Pierre Rabehi aborde avec un sens philosophique les dérives de l’homme, son lucre sans limite et son avidité toujours inassouvie des ressources qu’il puise de la terre sans se sourciller le moindre du monde de sa préservation. Altermondialiste, l’enfant de Kenadsa, qui prône, lors de ses rencontres, un nouveau mode de société, appelle à une insurrection des consciences.
En marge du Salon Siagro organisé du 30 novembre au 2 décembre 2023, et dans le cadre de Sipsa Afrika food Dakar, un panel d’experts algériens est intervenu pour animer des communications liées au secteur agricole sur fond de souveraineté alimentaire dans le continent africain.
En marge de l’événement Afrika Food Dakar (30 nov- 2 décembre), organisé par le Siagro et auquel l’Algérie est invitée, à travers Sipsa Afrika food, nous avons rencontré le vice-président du GRFI (Groupe de réflexion de Filaha Innove) et agroéconomiste, M. Brahim Zitouni, qui a bien daigné répondre à nos questions autour des débats liés à la souveraineté alimentaire et un fort partenariat sous-régional.