Au fil des ans, les zones agropastorales de la commune de Souidania (ex-St Ferdinand) se réduisent depuis les années 1990, à une portion congrue, et les pâturages au paysage pittoresque se voient bouffés par le béton gargantuesque. Aussi, les superficies consacrées aux exploitations de vignoble, d’élevage en étable et autres fermes de production laitière, se rapetissent, elles aussi, à la faveur du PDAU (Plan directeur d’aménagement et d’urbanisme) qui, depuis une vingtaine d’années, n’a de cesse de «bouffer» les zones à vocation agricole.
La situation sur le plan nettoiement et environnement au niveau de la commune de Bologhine est des plus déplorables pour ne pas dire désastreuse, selon les citoyens qui se plaignent du laisser-aller criant en matière d’hygiène publique concernant leurs quartiers dont certains sont repoussants, à l’image de la voie piétonne située entre la rue Omar Benaissa et la rue Mehdi Ibn Toumert, un passage très emprunté, notamment par les élèves des établissements scolaires environnants.
Nombre d’avaloirs sur le tronçon routier relayant l’axe routier Chéraga-Bouchaoui ne possèdent pas de grilles ou sont dotés de grilles défoncées, car ne résistant pas à des charges trop fortes exercées par des véhicules poids lourds, ce qui génère un risque d’accident pour l’usager.
Face au niveau du stock mondial très critique d’huile d’olive, l’Algérie dispose de leviers qui lui permettent de se positionner en tant que régulateur du marché mondial. C’est ce que nous a déclaré, à l’occasion de la célébration de la Journée mondiale de l’olivier, le 26 novembre, et en marge d’une journée portes ouvertes sur l’huile d’olive, à Ouled Fayet, Samir Gani, spécialiste de la filière oléicole, président des journées scientifiques, qui se tiennent lors du Salon international de l’olivier (JSSIO) et conseiller pour le développement de la qualité de l’huile d’olive, afin de faire l’état des lieux de l’olivier en Algérie et les ambitions que nourrit la filière pour booster la production oléicole.
25 opérateurs algériens déclineront, l’espace de trois jours (30 novembre-2 décembre 2023) leur savoir-faire dans le Salon Afrika food Dakar avec, à la clé, des accords de partenariat avec des sociétés sénégalaises dans des domaines très variés liés au monde agricole.
Ces derniers temps, les espaces verts et jardins publics semblent plus ou moins bien entretenus, surtout lors de la saison printanière où les squares et rotondes sont bien fleuris. L’Edeval, établissement public qui relève de la wilaya, tente avec les moyens du bord d’en prendre soin, s’escrimant à conférer un cadre de vie meilleur aux pauvres hères que nous sommes.
A l’occasion de la Journée mondiale de l’olivier, une journée portes ouvertes sera organisée le 25 novembre au Fayet Club, et ce, en partenariat avec Algeroliva, SM Global Agro et le GRFI (Groupe de réflexion Filaha Innove).
La sûreté de la wilaya d’Alger a organisé, en début de semaine à Alger, une action de sensibilisation à la sécurité routière dans le cadre de la campagne nationale sur la sécurité routière, lancée par la Direction générale de la Sûreté nationale (DGSN), en vue de sensibiliser les conducteurs au respect du Code de la route afin de réduire les accidents.
S’il est des réseaux d’évacuation des eaux pluviales ou usées en milieu urbain qui sont plus ou moins bien entretenus, d’autres, en revanche, sont abandonnés au point d’être congestionnés par les gravats et détritus de tous genres, comme l’ouvrage servant de lit pluvial, qui relève de la commune de Bologhine, devenu un véritable émonctoire.
Depuis l’ouverture du complexe sportif Mohamed Ferhani, les locaux commerciaux qu’abrite la tribune principale de l’infrastructure sont fermés et nombre d’entre eux n’ont jamais été ouverts.
On se garde de convoquer l’époque où des artistes peintres trimballaient leur chevalet pour immortaliser des scènes de vie, comme le faisait Eugène Fromentin dans le mythique espace carrefour de Sidi M’hamed Cherif, sinon on se désole de la situation des métiers d’art qui semblent en plus faire recette : la plupart des artisans ont, depuis belle lurette, mis la clé sous le paillasson, faute de relève et de matériaux, conjugué à l’apathie des responsables qui, pourtant, ont la charge d’encourager et de mettre à leur disposition les outils de travail, comme la matière première.
Nos villes abritent, de nos jours, peu de formations végétales. Plus, la calvitie qui caractérise certains centres urbains est on ne peut plus criante, et cela n’est pas sans impacter le cadre de vie du citoyen. Dans nos villes, le souhait de réaliser un couvert végétal, répondant aux normes internationales – qui oscillent entre 13 à14% – il y a loin de la coupe aux lèvres.
Des centaines de familles du village Megtaa Lazreg, qui relève de la commune de Hammam Melouane (w. de Blida), attendent toujours que leurs constructions à usage d’habitation soient régularisées au niveau des commissions territorialement compétentes.
Aussi, dans cette bourgade située à quelques encablures du complexe thermal de Hamam Melouane, plus d’une quinzaine de locaux commerciaux, attribués aux bénéficiaires dans le cadre du programme initié par l’ex-président Abdelaziz Bouteflika en 2004, sont fermés pour des raisons inconnues.
L’on assiste ces dernières années au ravalement des façades de certains immeubles haussmanniens qui longent les grands boulevards et avenues de la capitale, les bâtiments cossus qui parcourent les grandes artères sur les hauteurs d’Alger ainsi qu’une partie des bâtisses bordant la côte littorale où les entrepreneurs sont à pied d’œuvre.
La 26e édition du Salon international du livre d’Alger qu’a abrité le Palais des expositions, Pins maritimes, et ce, jusqu’au 4 novembre, a drainé grande foule.
Les élèves du CEM El Moudjahid Omar Bouderba et du lycée Emir Abdelkader dans la commune de Reghaia ont vécu, il y a quelques jours, des moments d’effroi au sein même de l’enceinte de leurs établissements scolaires, et ce, suite à des agressions commises par de jeunes inconnus qui n’ont trouvé aucune peine à y entrer.
La 26e édition du Salon international du livre d’Alger qu’abrite le Palais des expositions, Pins maritimes, et ce, jusqu’au 4 novembre draine la grande foule.
On ne l’aura jamais assez ressassé sur tous les modes et tous les tons que les dizaines de marchés informels qui occupent la voie publique, à travers la capitale, sont devenus un véritable souffre-douleur des autorités locales qui, à chaque occasion, annoncent trouver la parade pour éradiquer ce négoce de la rue.
Nombre de souscripteurs de promoteurs immobiliers prennent leur mal en patience quant à la réception de leurs logements dans les délais impartis initialement par certains promoteurs dont la prévoyance, la planification et l’organisation sont loin d’être leur fort, si ce n’est sur le plan théorique.