Les élèves du CEM El Moudjahid Omar Bouderba et du lycée Emir Abdelkader dans la commune de Reghaia ont vécu, il y a quelques jours, des moments d’effroi au sein même de l’enceinte de leurs établissements scolaires, et ce, suite à des agressions commises par de jeunes inconnus qui n’ont trouvé aucune peine à y entrer.
La 26e édition du Salon international du livre d’Alger qu’abrite le Palais des expositions, Pins maritimes, et ce, jusqu’au 4 novembre draine la grande foule.
On ne l’aura jamais assez ressassé sur tous les modes et tous les tons que les dizaines de marchés informels qui occupent la voie publique, à travers la capitale, sont devenus un véritable souffre-douleur des autorités locales qui, à chaque occasion, annoncent trouver la parade pour éradiquer ce négoce de la rue.
Nombre de souscripteurs de promoteurs immobiliers prennent leur mal en patience quant à la réception de leurs logements dans les délais impartis initialement par certains promoteurs dont la prévoyance, la planification et l’organisation sont loin d’être leur fort, si ce n’est sur le plan théorique.
Ainsi, l’espace de huit soirées, le public aura à apprécier les prestations musicales déclinées par les pays participants (Afrique du Sud, Algérie, Allemagne, Autriche, Chine, Egypte, France, Italie, Japon, Mexique, Russie, Syrie, Tchéquie, Tunisie et Venezuela) qui se relayeront à raison de deux ensembles par soirée, excepté la soirée du dimanche 22 octobre, lors de laquelle trois ensembles seront au programme.
Il est un lieu commun de dire que notre cité n’a de cesse de se rurbaniser au fil du temps.
L’ex-Conservatoire de musique, qui avait élu ses quartiers, après l’indépendance, dans l’ex-chapelle de Bologhine, vient de faire peau neuve pour devenir une école de théâtre que chapeautera l’Etablissement arts et culture de la wilaya d’Alger. La structure, un véritable bijou, ouvrira ses portes au début du mois prochain aux élèves désireux de se frotter à un des arts de la scène, le théâtre.
Dans les années cinquante du siècle dernier, la cité de Sidi Abderrahmane Etthaâlibi accueillait le Mawlid Ennabaoui avec une animation et une joie indescriptibles qui épousaient l’air du temps. Outre les cantiques chantés dans les zaouïas et autres récits du Coran psalmodiés dans les mosquées, le Mawlid Ennabaoui était marqué à Alger par une tradition qui prodiguait de l’enjouement et de la bonne humeur.
C’est ce matin que les onze millions de potaches des trois paliers scolaires rallieront les bancs des établissements pédagogiques. Une rentrée sociale qui ne s’annonce pas moins «saignante» avec la récurrente dépense des parents appelés à dépocher pour répondre aux besoins des fournitures scolaires de leurs bambins.
Depuis la mise en place des distributeurs automatiques de billets (DAB) par Algérie Poste, nombre de ces appareils de paiement mentionnent à l’usager qu’ils sont «hors service», comme celui des Chèques postaux (1er Novembre) – rarement fonctionnel –, de l’établissement postal de Nelson (BEO) ou du bureau de poste de Bologhine qui vous invitent à rebrousser chemin. N’est-ce pas qu’avec un seul distributeur automatique, on supprime au moins deux postes d’agent aux guichets classiques.
Bien que des efforts soient perceptibles dans le processus de numérisation, censé faire gagner plus de temps et d’argent, causer moins de stress et au fonctionnaire et au demandeur de documents au niveau des guichets administratifs, il est des domaines qui font de la résistance contre la modernisation et l’amélioration de la qualité des services fournis.
Le commerce de la graille est en train de gagner de plus en plus nos espaces publics. Les locaux invitant les gens à faire ripaille s’ouvrent chaque jour que Dieu fait, à travers les artères de la capitale pour répondre à une demande toujours plus forte.
Le long de la côte turquoise du littoral ouest du centre de l’Algérois regorge de belles criques, calanques et autres anses. Des sites balnéaires qui sont en friche. Mais il est des initiatives qui ambitionnent de les exploiter à bon escient, à l’image du Petit Vichy, un beau coin, situé à quelques encablures de Cherchell. Zoom.
L’on se rappelle le projet du décret exécutif relatif à l’activité de gardiennage des parkings élaboré en 2011. Une mesure on ne peut réglementaire censée mettre fin à l’anarchie de cet exercice dans le tissu urbain, et ce, par la mise en place de coopératives de jeunes, selon le ministre de l’Intérieur de l’époque.
Dévalant le dédale de la cité de Sidi Abderrahmane Ettaâlibi, quelques artisans, qui se comptent sur les doigts d’une seule main, tentent tant bien que mal de faire de la résistance pour maintenir un tant soit peu vivant ce pan de notre patrimoine ancestral. Bien que la matière première fasse défaut, ils tentent de faire contre mauvaise fortune bon cœur pour préserver ce travail de fin doigté qui, faut-il signaler, périclite au fil des jours au grand dam de la corporation, d’une part, et des visiteurs en quête de la belle ouvrage, d’ autre part. Zoom.
Classé dans le réseau des réserves de biosphère par le programme MAB de l’Unesco en 2002, le Parc national de Chréa s’étend en écharpe sur 26 587 ha, chevauchant les wilayas de Blida, Médéa et Aïn Defla.
Nombre d’associations à caractère caritatif activent à travers le territoire. Si certaines sont soutenues financièrement par les pouvoirs publics, comme la direction de solidarité de wilaya – et c’est de bonne guerre – les autres, en revanche, attendent les actions de bon Samaritain de particuliers et de potentiels pourvoyeurs, s’il en est.
Les riverains ont beau alerter à moult reprises la daira de Bab El Oued, le service hygiène de la mairie de Bologhine ainsi que le sécrétariat de l’APC de Bab el Oued, mais leurs griefs sont restés lettre morte.
L’on est à la mi-saison estivale et la piscine El Kettani n’a toujours pas encore rouvert ses portes. La raison ? Le retard accusé dans les travaux de réfection et d’entretien annuels entamés cette saison sur le complexe aquatique renseigne si besoin est sur le report d’ouverture sine die. Ce qui ne pénalise pas moins les estivants.
Ces derniers jours de chaleurs caniculaires, les plages du littoral sont prises d’assaut au point où certaines familles ne pouvaient se frayer une place sur la bande de sable avant de se rafraîchir.