Un communiqué des services du Premier ministère a formellement démenti les allégations faisant état de «prétendues mesures restrictives» aux opérations commerciales entre l’Algérie et la France. Le communiqué réagissait à un post publié par Xavier Driencourt sur le réseau X, dans lequel l’ancien ambassadeur de France à Alger soutient que «l’Algérie a décidé de bloquer toutes les importations françaises et les exportations vers la France».
Si la décision de Macron de reconnaître la souveraineté de Rabat sur le territoire occupé du Sahara occidental s’apparente à un cadeau de la France fait à un pays ami et allié de longue date, c’est aussi et surtout un moyen pour Paris de se repositionner sur l’échiquier du continent africain.
L’ex-ministre et ancien diplomate Abdelaziz Rahabi a indiqué, hier dans une tribune publiée par le site TSA, que le retrait forcé de la France du Sahel l’a poussée «à trouver un ancrage stratégique en Afrique du Nord que lui offre le Maroc».
D’après les critiques littéraires interrogés par le magazine Livres Hebdo, l’auteur de Houris a de bonnes chances d’inscrire son nom au palmarès du plus prestigieux des prix ce lundi 4 novembre. D’autant que son éditeur, Gallimard, n’a reçu aucune autre récompense importante cet automne.
Interrogé sur le refus de la France de ne pas reconnaître et condamner les crimes de la colonisation dans son ensemble, l’historien Fabrice Riceputi estime que la politique des petits gestes mémoriels cache une autre visée.
Le président français, Emmanuel Macron, est au plus bas des sondages depuis son arrivée au pouvoir en 2017. Sa cote de popularité a, en effet, chuté à 17%, selon le baromètre réalisé par Vérian-Epoka, publié dans l’édition du 30 octobre du Figaro Magazine. Soit le jour même où il achevait sa visite d’Etat au Maroc (du 28 au 30 octobre).
Dans un communiqué du ministère des Affaires étrangères, l'Algérie a décidé de retirer immédiatement son ambassadeur en France suite à la reconnaissance du plan d'autonomie marocain.
Jamais campagne électorale aussi décisive aura été aussi courte en France, avec l’immigration comme thème central qui aura été matraqué par les médias, et pourrait avoir séduit nombre d’électeurs.
Est-ce en Israël ou en France qu’on vote les 30 juin et 7 juillet prochains ? Cette question, provocatrice certes, résume l’instrumentalisation depuis octobre dernier d’un prétendu antisémitisme de la gauche coupable d’avoir soutenu les Palestiniens dans leur drame pourtant condamné, notamment, par l’ONU ou la Cour internationale de justice.
Une fièvre électorale gagne la France comme le pays en a rarement connu. Depuis la limite des candidatures fixée lundi 17 juin, les forces en présence sont à présent clairement en place dans une compétition historique.
Emmanuel Macron a surpris son monde au soir du 9 juin en décidant la dissolution de l’Assemblée nationale française et la convocation du corps électoral pour en renouveler la composition, deux ans avant la fin de la mandature. Ce faisant, il a précipité le pays dans un engrenage inattendu de polémiques et d’enjeux.
Alors que l’Euro de football connaît sa vitesse de croisière, l’international français Killian Mbappé s’engage dans un autre match, celui des législatives. Selon lui, «notre pays (la France) est à un moment crucial de son histoire, des circonstances bien plus importantes qu’un match de football», a-t-il dit.
En sanctionnant lourdement le député Sebastien Delogu du groupe LFI, dirigé par Jean-Luc Mélenchon, pour avoir brandi un drapeau palestinien dans l’hémicycle, le Parlement français se range une nouvelle fois derrière Israël et son puissant lobby sioniste, le CRIF (Conseil représentatif des institutions juives de France).
Ainsi donc, l’odieuse campagne de calomnie lancée par l’extrême droite sur des rumeurs infondées n’était que mensonge. Les vieux retraités algériens ne sont pas massivement des fraudeurs à l’assurance retraite française et ne perçoivent pas indûment leurs pensions jusqu’à 100 ans et plus.
Le projet de mettre à l’honneur le général Marcel Bigeard à Toul, où le militaire est né, crée la stupeur et suscite une levée de boucliers. Déjà en 2012, une stèle avait été dressée à Carcassonne.
Une proposition de résolution votée jeudi par l’Assemblée nationale française reconnaît la répression des Algériens le 17 Octobre 1961 et souhaite l’instauration d’une journée de commémoration officielle.
Le Cercle algérianiste a poussé la comparaison un peu loin en faisant une exposition qui confond les victimes de la Guerre d’Algérie avec celles du Hamas en octobre dernier. Sans comparer la violence coloniale française et la barbarie génocidaire israélienne.
En France, les réseaux sociaux et certains médias avançaient plutôt l’idée d’un report du scrutin présidentiel de décembre prochain. L’annonce au contraire d’une élection anticipée en septembre a donc surpris. Signe patent : peu de médias ont pris le temps d’une analyse à chaud de l’annonce faite jeudi soir.
La visite du président Tebboune à Paris était programmée pour le mois de mai 2023. Elle a été décalée, par la suite, au mois de juin de la même année.
Un groupe d'environ soixante étudiants a occupé l'amphithéâtre Emile Boutmy de Sciences Po Paris ce mardi matin, bloquant l'accès entre 8 heures et midi. L'amphithéâtre a été symboliquement renommé "Ghaza", avec des keffiehs palestiniens accrochés aux portes.