Un Conseil interministériel de contrôle de l’immigration (CICI), convoqué au lendemain de l’attentat de Mulhouse par le Premier ministre français, François Bayrou, se tiendra aujourd’hui.
«Ceux qui attaquent l’Algérie, aujourd’hui, en France, sont les descendants des colons qui ont mis l’Algérie à feu et à sang. La colonisation marocaine du Sahara occidental est la même que la colonisation française de l’Algérie et elle connaîtra le même sort.»
Revoilà Retailleau. Le ministre de l’Intérieur français s’étouffe de rage après l’assassinat d’un Portugais de 69 ans, samedi, tué à l’arme blanche à Mulhouse, dans l’est de la France.
Le 20 février, le camp militaire de Port-Bouët, près d'Abidjan, sera officiellement rétrocédé par la France à la Côte d'Ivoire, lors d'une cérémonie en présence des ministres de la Défense des deux pays. Le 43e bataillon d'infanterie de marine (43e BIMa) deviendra le camp Thomas-d'Aquin- Ouattara, du nom du premier chef d'état-major de l'armée ivoirienne.
Le fils de l’ancien président français Nicolas Sarkozy, Louis Sarkozy, se joint aux lobbies «algérophobes» qui, forcément, ne ratent aucune occasion pour s’attaquer à l’Algérie.
Explosions nucléaires françaises en Algérie : un crime contre l’humanité et l’environnement», est le thème de la journée d’étude organisée jeudi au Centre international de conférences (CIC) à Alger, sous l’égide de la deuxième Chambre du Parlement.
Le sénateur français d’origine algérienne, Rachid Temal, livre une nouvelle réalité concernant les relations algéro-françaises. Ayant effectué une visite de deux jours, les 8 et 9 février courant, à Alger à l’invitation de la Chambre de commerce algéro-français (CCIAF-CCI), le parlementaire, loin du brouhaha politico-médiatique dans l’Hexagone, fait un constat qui tranche avec le discours actuel des officiels et des politiques de la droite et de l’extrême droite en France.
Le 13 février 1960, alors que l’Algérie était toujours sous occupation, le président français, Charles de Gaulle, donne le coup d’envoi à son premier essai nucléaire à l’air libre, à Reggane, au sud du pays, auquel a été donné le nom de code «Gerboise bleue», suivi, jusqu’en avril 1961, de trois autres essais : «Gerboise blanche», «Gerboise rouge» et «Gerboise verte», où des Algériens, mais aussi des animaux ont servi de cobayes.
Invité à participer au colloque organisé en Algérie, Patrice Bouveret que nous avons rencontré au siège de l’Observatoire des armements à Lyon, estime que «ce dossier nécessite une véritable volonté politique de coopération sur le long terme en faveur du bien commun des populations».
Le 13 février 1960, l’Etat français expérimentait «Gerboise bleue», le premier de ses 17 essais nucléaires atmosphériques et souterrains jusqu’en 1966, à Reggane, dans le Sud algérien. Sujet tabou vis-à-vis de la société française et statu quo à l’égard des autorités algériennes qui n’ont eu de cesse réclamer à la France depuis des décennies réparation pour les graves dommages occasionnés à l’environnement et à la population locale exposée aux risques de contamination sur des générations. D’assumer ses responsabilités et de fournir documents et informations devant servir à la décontamination des sites. L’Etat français répond à cette demande légitime par le déni, arguant que les essais ont été «propres» et engendrant peu de dégâts.
L’historien français spécialiste de l’histoire de l’Algérie, Benjamin Stora, réagit à nouveau aux élucubrations d’Eric Zemmour qui ne cesse d’asséner des contrevérités historiques sur la colonisation de l’Algérie.
Jalousie», «règlement de comptes», «calomnie»… et puis radiation. Sur la voie d’une carrière pleinement réussie, un chirurgien-dentiste algérien se retrouve, malgré lui, au cœur d’une histoire hallucinante qui a fait les choux gras de plusieurs médias français et algérien.
Lors de sa première sortie au meeting de l'Eure en France disputé le 2 février dernier, l'Algérien Mohamed Gouaned a terminé 3e en 1'46"49. Pour sa première compétition de la saison Gouaned, natif de Biskra, s'est montré rassurant pour la suite des compétitions.
Le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, a affirmé que le soutien apporté par la France au pseudo «plan d’autonomie» marocain pour le Sahara occidental, l’un des nombreux contentieux entre l’Algérie et la France, était «une grave erreur», rappelant au président français les obligations de son pays, membre permanent du Conseil de sécurité de l’ONU, supposé garant de la légalité internationale.
Dans l’entretien accordé à l’Opinion, le président Tebboune est revenu sur plusieurs sujets liés principalement aux relations algéro-françaises.
Ségolène Royal et l’historien Benjamin Stora n’ont pas hésité, dans des interviews accordées à des chaînes françaises, à exprimer leur désapprobation face aux attaques des acteurs de l’extrême droite contre l’Algérie.
Le ministre français de la Santé et de l’Accès aux soins français, Yannick Neuder, vient d’apporter un cinglant démenti à propos des chiffres avancés par l’extrême droite et certains médias relatifs aux montants des factures impayées des soins par l’Algérie dans les hôpitaux français.
Selon la députée RN, la colonisation n’a pas été un «drame» pour l’Algérie, apportant ainsi une autre touche à la falsification de l’histoire à laquelle œuvrent les courants d’extrême droite et les nostalgiques de «l’Algérie française».
La décision de la justice française de suspendre l’expulsion de l’influenceur Doualemn vers son pays d’origine marque un nouvel échec retentissant pour Bruno Retailleau, le ministre de l’Intérieur français.
Le dossier des essais nucléaires est remis au-devant de la scène, ces derniers temps, dans le sillage de la détérioration des relations algéro-françaises.