Peu de femmes sont présentes dans le nouveau gouvernement, nommé lundi par le président de la République. Une équipe gouvernementale composée, pourtant, d’un nombre plus important de portefeuilles ministériels que la précédente.
La gestion, le tri, la valorisation et le prétraitement des déchets ont de tout temps constitué un casse-tête pour les pouvoirs publics.
Une première dans les annales du Parlement algérien. Le président du Conseil de la nation, Salah Goudjil, et le Premier ministre, Nadir Larbaoui, ont saisi officiellement samedi la Cour constitutionnelle pour un avis sur l’inconstitutionnalité de quatre amendements du projet de loi de finance (PLF) pour l’exercice 2025 adopté, mercredi dernier, par l’Assemblée populaire nationale (APN) et avant-hier par les membres du Conseil de la nation.
Les sénateurs, selon nos sources, ont reçu des instructions, faute de temps, «de ne pas activer le mécanisme de réserve sur ces articles».
Le PLF-2025 sera soumis au vote des sénateurs, aujourd’hui dans la matinée, alors que son adoption au niveau de l’Assemblée populaire nationale (APN) a eu lieu mercredi dernier à l’issue d’une plénière de plusieurs heures, qui s’est déroulée dans un climat très tendu.
A l’exception des députés du Mouvement de la société pour la paix (MSP), qui ont voté «contre le texte», les autres membres de l’Assemblée, soit la majorité, ont donné leur quitus pour ce texte de loi qui trace la trajectoire budgétaire pour l’année prochaine.
Les plus grandes puissances étaient absentes à ce rendez-vous. Cette absence a suscité des interrogations sur leur volonté d’affronter leurs responsabilités en tant que principaux pollueurs.
Le vote autour du projet de loi de finances (PLF) 2025 est prévu pour demain à l’Assemblée populaire nationale (APN). Après trois jours de débats en plénière, les membres de la commission des finances et du budget de l’APN ont entamé, samedi dernier, l’examen des propositions d’amendement émises par les députés.
Le ministre de l’Industrie et de la Production pharmaceutique, Ali Aoun, un des importants départements ministériel, est dans la tourmente. Il fait l’objet, non seulement de critiques acerbes des députés au niveau de la Chambre basse du Parlement, à l’occasion du débat autour du projet de loi de finances (PLF) 2025, mais aussi d’une campagne sur les réseaux sociaux, liée à l’arrestation de son fils.
Louisa Hanoune à l’issue des travaux du conseil national du parti, réuni en session ordinaire. Dans sa missive, le PT a abordé les revendications et les préoccupations des citoyens.
Le ministre de l'Intérieur et des Collectivités locales a accusé certains cercles de «vouloir provoquer le désordre». «Ceux qui colportent ces rumeurs veulent semer la confusion et le chaos», a-t-il indiqué.
Au troisième et dernier jour des débats autour du projet de loi de finances (PLF) pour l’année 2025 à l’Assemblée populaire nationale (APN), les membres de cette institution toutes tendances confondues ont appelé à des «réformes approfondies» incluant la «numérisation» des services financiers, tels que les services fiscaux, douaniers, les biens de l’Etat, et à conférer une plus grande transparence à la gestion des recettes et des dépenses.
Nombreux sont les députés qui ont soulevé le problème de la disponibilité du café, «d’acquisition d’un véhicule» mettant en avant «les lenteurs» et «toute la cacophonie qui caractérise ce chantier».
A l’issue de l’exposé du ministre, la commission des finances et du budget de l’Assemblée populaire nationale (APN) a lu son rapport préliminaire contenant des recommandations pour chaque secteur.
Les partis politiques siégeant à l’hémicycle Zighoud Youcef ne chôment pas, et ceux détenant des groupes parlementaires se préparent activement, depuis quelques jours, afin de «mieux assimiler» les mesures formulées dans le PLF-2025.
Salah Goudjil, moudjahid et témoin-clé des événements du 1er Novembre 1954, nous livre dans cet entretien son témoignage. Il évoque les différentes étapes ayant précédé le déclenchement de la lutte armée. Il raconte comment il a vécu la nuit du 30 octobre, sa relation avec Mustapha Ben Boulaïd, un homme qu'il qualifie de visionnaire.
Les membres de la commission des finances et du budget de l’Assemblée populaire nationale (APN) plaident pour l’élaboration d’une nouvelle stratégie et des plans de transports qui correspondent au développement urbain et démographique, tout comme ils demandent la révision de la carte routière pour le transport urbain, semi-urbain et entre les wilayas, et la nécessité d’une exploitation optimale des stations de transport en particulier des aéroports, qui reflètent, selon eux, «la vitrine du pays».
Le premier secrétaire national du FFS a annoncé des «changements significatifs» au sein «des équipes de la direction» et «des instances locales». Il prévoit de procéder prochainement à la mise en place d’une commission électorale.
L’Algérie abritera, du 1er au 4 novembre prochain, le 4e Forum panafricain de la jeunesse. Il y a quelque jours, l’Union africaine (UA) a annoncé que notre pays a été sélectionné pour accueillir cette manifestation importante, dédiée aux jeunes du continent africain, et ce, après avoir présenté sa candidature, via un dossier élaboré par le Conseil supérieur de la jeunesse (CSJ).
Les députés ont rappelé au ministre de l'Education nationale que les parents d’élèves et les écoliers ne cessent, depuis des années, de se plaindre de la surcharge des classes et de la lourdeur des cartables.