Une voix supplémentaire pour rappeler à la France officielle son passé colonial en Algérie. Elle intervient dans un contexte de froid glacial dans les relations entre les deux pays et de surenchère des acteurs de la droite et de l’extrême droite qui font de l’Algérie et de l’immigration algérienne leur sujet de prédilection.
La convocation de l’ambassadeur de France intervient dans un contexte d’extrême crispation entre Alger et Paris, accentuée notamment par l’affaire de l’écrivain franco-algérien Boualem Sansal, en détention depuis le 16 novembre à la prison de Koléa pour «atteinte à la sûreté, à la sécurité et à la stabilité de l’Etat».
La responsabilité historique, judiciaire et morale des crimes perpétrés par le colonisateur français en Algérie continuera de le poursuivre et ne sera pas prescrite, a affirmé, hier à Oran, le professeur Mohamed Bendjebbour, directeur du laboratoire de recherche historique «Sources et biographies» de l’université d’Oran 1 Ahmed Ben Bella.
Un documentaire, diffusé, lundi, par la Télévision algérienne (EPTV) et la chaîne internationale AL24, met en cause les services de renseignement français dans un «complot» visant à déstabiliser l’Algérie. «Les services de la Sûreté nationale ont réussi à déjouer un complot orchestré par les services de renseignement français visant à déstabiliser l’Algérie, à travers l’enrôlement d’un jeune Algérien ayant grandi à l’étranger pour servir leurs desseins hostiles», affirme la même source, citée par l’APS.
Dimanche matin, les médias télévisuels français ont dû changer de braquet de toute urgence pour s’intéresser à la chute de Bachar Al Assad en Syrie.
Depuis Riyad, le président français a affirmé qu’il ne pouvait «pas croire au vote d’une censure» du gouvernement.
Outil d’influence des instituts français de par le monde, les Choix Goncourt internationaux se déclinent en Algérie. Cette année, la 7e édition (2025) n’aura pas lieu à cause de la «polémique» Daoud. Explications.
Il aura suffi d’une émission au ton équilibré et contradictoire, pour que Nedjib Sidi Moussa bascule dans le camp des personnes à faire taire. Son tort : avoir estimé qu’on pouvait avoir des réserves sur le piédestal que l’extrême droite, curieusement rattrapée par l’ensemble des médias, dresse pour Boualem Sansal
Le président tchadien a annoncé dimanche que son pays avait décidé de mettre fin aux accords militaires avec la France, tout en précisant qu'il ne s'agissait pas d'une démarche visant à remplacer un partenaire par un autre.
Six ans après les faits, le policier qui avait tiré une grenade tuant une vieille dame, Zineb Redouane, a été inculpé pour «homicide involontaire».
La campagne anti-algérienne a repris de plus belle en France. Des acteurs de la droite et de l’extrême droite ont profité de la récente interpellation de l’écrivain Boualem Sansal pour s’attaquer à l’Algérie.
La décision a été annoncée par le ministre des Affaires étrangères tchadien, quelques heures après la visite de son homologue français Jean-Noël Barrot.
De son côté, la Commission du droit international a, à maintes reprises, souligné dans ses travaux le caractère impératif du droit à l’autodétermination.() Concernant la jurisprudence de la CIJ, l’impérativité du droit des peuples à disposer d’eux-mêmes a été citée par plusieurs juges dans leurs opinions individuelles et dissidentes.()
Au moment où la Cour internationale de justice (CIJ) vient de réaffirmer, dans son avis consultatif historique sur la Palestine, le caractère impératif «du droit des peuples à disposer d’eux-mêmes» et l’opposabilité erga omnes de l’obligation de non-reconnaissance d’une situation née de violations graves de normes impératives du droit international, le président français a décidé de reconnaître le fait colonial imposé par le Maroc au Sahara occidental, en déclarant, dans une lettre adressée au roi Mohammed VI, à l’occasion du 25e anniversaire de son accession au trône, que «le présent et l’avenir du Sahara occidental s’inscrivent dans le cadre de la souveraineté marocaine» et que le plan d’autonomie proposé par le Maroc en 2007 constitue désormais «la seule base» pour aboutir à une solution politique du conflit du Sahara occidental.
Le journal français d’investigation Mediapart vient d’apporter de nouvelles révélations sur l’affaire dans laquelle le Qatar est visé en France par une plainte pour corruption de juges de la Cour internationale de justice (CIJ), dont l’ancien ministre algérien Mohamed Bedjaoui.
L’ambassadeur de France en Algérie, Stéphane Romatet, s’est rendu, mardi, au cimetière El Alia pour se recueillir sur la tombe de Larbi Ben M’hidi, héros de la lutte pour l’indépendance de l’Algérie et membre des Six ayant déclenché la Guerre de Libération nationale. Une gerbe de fleurs a été déposée, à la demande du président français et en son nom, sur la tombe du martyr.
Un rassemblement a eu lieu dimanche pour demander que le nom de la rue du 6e arrondissement rendant hommage à celui qui fut une figure de la colonisation de l’Algérie par la France au XIXe siècle soit retiré. Une possibilité déjà envisagée par la mairie écologiste.
«Je ne suis pas (entièrement) d’accord avec ce que vous dites, mais je me battrai jusqu’à la mort pour que vous ayez le droit de le dire.» Voltaire
Tout ce que compte la France, principalement Paris, en sionistes militants et sympathisants se mobilise pour voler au secours d’Israël et de son gouvernent englués dans une guerre interminable et dévastatrice sur divers fronts, dénoncée par le monde entier pour son impact génocidaire sur les populations de Ghaza et du Liban.
Le Syndicat français des pilotes de ligne (SNPL) a appelé, dimanche dernier, à une grève et à un rassemblement, aujourd’hui, devant l’Assemblée nationale après le vote par les députés d’un alourdissement de la fiscalité sur le transport aérien, ont rapporté des médias français.