Au mois d’avril 2023, le taux de numérisation global des PDAU était loin de l’objectif final, car il était de l’ordre de 17,42%, soit 268 plans numérisés sur un total de 1538 plans à numériser, alors que celui des plans d’occupation des sols (POS) ne dépassait pas les 3,18%, soit 221 plans numérisés sur les 6944 existants.
Le président Tebboune a mis l’accent sur l’importance de réaliser «une ville minière» autour du gisement de Gara Djebilet.
Les habitants de Ghaza vivent une «catastrophe humanitaire monumentale», a dénoncé, hier, Antònio Guterres, secrétaire général de l’ONU.
Le CPA et la BDL doivent «stimuler l’investissement et le marché de l’emploi», afin que ces banques servent de «modèles en matière de prestations de qualité supérieure et d’efficacité».
L’échange d’un second groupe de prisonniers n’a pas eu lieu hier comme prévu, au deuxième jour de la trêve conclu entre le mouvement Hamas et les autorités israéliennes. Les Brigades Al Qassam, branche armée du Hamas, ont indiqué en fin de journée avoir pris la décision de retarder la libération du deuxième groupe de prisonniers, et ce, jusqu’à ce qu’Israël «respecte l’accord» entré en vigueur la veille.
Malgré l’annonce d’un cessez-le-feu dans la nuit de mardi à hier, prenant effet à compter d’aujourd’hui, les bombardements de l’armée israélienne n’ont pas cessé pour autant sur la Bande de Ghaza.
Pour la seule journée d’hier, plus de 80 civils palestiniens ont été tués dans des bombardements de l’armée israélienne concentrés sur le nord de la Bande de Ghaza, a rapporté l’agence palestinienne Wafa.
Après les mises en garde de l’ONU sur le risque de famine pour les 2,4 millions de Ghazaouis, on craint désormais la survenance d’épidémies dans l’enclave palestinienne, où les raids israéliens se poursuivent sans interruption depuis le 7 octobre.
L’agression israélienne contre les populations civiles de Ghaza pourrait prendre fin dans moins de trois mois. Pas en raison des pressions internationales de plus en plus fortes exercées sur l’entité sioniste, mais par crainte d’un effondrement total de l’économie israélienne.
L’armée israélienne s’embourbe, de jour en jour dans la Bande de Ghaza, après avoir fait le choix de mener une offensive terrestre pour, dit-elle, «anéantir» le Hamas, et ce, après avoir bombardé intensivement des populations civiles meurtries.
L’armée israélienne a perpétré, hier, un nouveau massacre dans le camp de Jabaliya, le plus important camp de réfugiés de la Bande de Ghaza, faisant au moins 80 morts dans deux frappes distinctes, selon le mouvement Hamas. La première frappe a fait au moins 50 morts «à l’aube, sur l’école Al Fakhoura», où étaient installés des déplacés, a indiqué un responsable du mouvement palestinien.
La Cisjordanie, longtemps contrôlée par l’Autorité palestinienne dirigée par le Fatah, finira-t-elle par basculer et à rallier les combattants du Hamas ? Car les crimes horribles que continue de commettre l’occupant israélien à Ghaza, additionnés à la «libération» de la violence des colons depuis octobre dernier, massivement et lourdement armés par le Cabinet de guerre conduit par Netanyahu, pousse inexorablement cette partie des Territoires occupés à l’affrontement armée.
Le personnel médical de l’hôpital Al Shifa a sorti, hier, pelles et pioches pour enfouir sous terre ses morts, dans des fosses communes, car se trouvant dans l’incapacité de les inhumer à l’extérieur dans les cimetières, eux-même pilonnés, de la Bande de Ghaza.
Plusieurs dizaines de Palestiniens sont morts et des dizaines d’autres ont été blessés dans les bombardements acharnés menés par l’armée d’occupation israélienne dans la Bande de Ghaza. Le dernier bilan de l’agression israélienne fait état de plus de 11 078 martyrs, dont 4506 enfants et 3027 femmes, quelque 27 490 citoyens blessés.
Le ministère de la Santé palestinien a cessé depuis 48 heures de donner des bilans actualisés sur le nombre des victimes de l’agression israélienne sur la Bande de Ghaza. Il a affirmé hier ne plus pouvoir établir de contacts avec tous les établissements de santé et que des dizaines de corps jonchent désormais les rues et les alentours des hôpitaux sans qu’aucune ambulance ne puisse s’en approcher en raison de la violence des attaques de l’armée israélienne.
L’armée israélienne continue de bombarder les hôpitaux de Ghaza où sont piégés des milliers de blessés, des femmes et des enfants essentiellement, ainsi que des personnes déplacées.
Les Etats-Unis ne veulent pas d’une réoccupation par Israël de la Bande de Ghaza prise, depuis 33 jours, sous un déluge de bombes et totalement assiégée par l’armée d’occupation. C’est ce qu’a affirmé, hier, le secrétaire d’Etat américain Antony Blinken, à l’issue d’une réunion des ministres des Affaires étrangères du G7 à Tokyo.
Pour le trente-deuxième jour consécutif, l’armée israélienne a poursuivi ses raids aériens sur la Bande de Ghaza causant encore plus de saccage et de morts. Des quartiers entiers ont été rasés dans le nord de Ghaza, mais aussi dans la partie sud de l’enclave, à DirBalah, Khanyounes, Noussirat, Barridj, Maghazi et dans l’agglomération de Zahra, ont rapporté, hier, des médias palestiniens.
L’armée d’occupation israélienne a, dans la nuit de dimanche à hier, intensifié ses raids aveugles et meurtriers sur la Bande de Ghaza, alors que le nombre de morts, depuis le 7 octobre dernier, a dépassé le seuil macabre de 10 000 civils palestiniens massacrés.
L’aviation israélienne continue de pilonner Ghaza sans relâche depuis pratiquement un mois. L’agression, évoluant crescendo vers une opération d’extermination totale des populations civiles, est entrée hier dans son 30e jour.