Prédisposition d’acteurs politiques à jouer les médiateurs entre Alger et Paris, visite envisagée en Algérie du ministre des Affaires étrangères, Jean-Noël Barrot, appels à reprendre langue par la voie diplomatique…
Les médias français proches de l’extrême droite, notoirement addicts aux papilles mammaires du groupe Bolloré, se sont constitués en véritables bataillons de guerre médiatique à force que s’exacerbaient les tensions entre Alger et Paris.
Le président Tebboune a réaffirmé, samedi, son engagement à ouvrir un dialogue national fin 2025 ou début 2026, souhaitant que ce dialogue profite au pays.
L’historien Benjamin Stora met en garde, dans un entretien accordé au journal l’Humanité, contre les instrumentalisations par la droite et l’extrême droite de la crise diplomatique en cours entre Alger et Paris. «(…) La litanie des reproches adressées par Bruno Retailleau (ministre français de l’Intérieur, ndlr) à l’Algérie, entre autres sur le refus des OQTF, signale une instrumentalisation à des fins de politique intérieure qui avait rarement atteint un tel degré», a-t-il dit.
La présidente du groupe parlementaire La France insoumise (LFI), Mathilde Panot, a, de nouveau, alerté l’opinion publique française sur l’agitation dangereuse que continue d’entretenir avec l’Algérie, le ministre de l’Intérieur français, Bruno Retailleau. «Monsieur Retailleau est un fauteur de troubles», a-t-elle lancé, avant-hier, sur le plateau de L’Événement du dimanche sur la chaîne LCI.
L’agence Algérie Presse Service (APS) a publié, hier, une dépêche dans laquelle elle annonce une nouvelle convocation de l’ambassadeur de France en Algérie, Stéphane Romatet, par le ministère des Affaires étrangères (AE), et ce, sur fond de tensions politiques persistantes entre Alger et Paris.
Le ministre français de l’Intérieur, Bruno Retailleau, a brandi, samedi, la menace d’une démission si la France «ne durcissait pas sa position face à l’Algérie» sur la question des ressortissants en situation irrégulière.
Dernière trouvaille en date pour attiser le sentiment anti-algérien via certains médias français. Une prétendue affaire d’espionnage, qui remonte à quelques mois, a atterri le mercredi 12 mars sur les colonnes du quotidien Le Parisien.
Le ministre de la Justice, garde des Sceaux, Lofti Boudjemaa, s’est réuni, mardi au siège du ministère à Alger, avec la Haut-Commissaire à la numérisation avec rang de ministre, Meriem Benmouloud, en présence des cadres du ministère de la Justice et du Haut-Commissariat à la numérisation, a indiqué un communiqué du ministère.
Le prix de la banane a pris l’ascenseur en cette première décade du mois de Ramadhan. Et en toute vitesse. Sur les étals, la banane est passée en l’espace de quelques jours de 450 à 700 DA le kilogramme, alors que son cours mondial (un demi-dollar en moyenne, soit 240 DA au marché informel) est des plus stables et les coûts de transport inchangés depuis des mois.
Le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, a présidé, hier, une réunion du Conseil des ministres consacrée à des exposés, notamment sur l’état d’avancement de la réalisation du tronçon de la ligne ferroviaire (Gara Djebilet-Béchar) et les études préliminaires des projets ferroviaires (Laghouat-Tamanrasset) et (El Meniaa-Timimoun-Adrar), ainsi qu’à l’examen de la possibilité d’importer du bétail en prévision de l’Aïd El Adha, indique un communiqué de la présidence de la République.
Le journaliste Jean-Michel Aphatie, mis en retrait par la chaîne RTL après avoir dit la vérité historique sur la colonisation de l’Algérie, est sorti, jeudi, de son silence.
Lorsque le défunt président Houari Boumediène l’annonça, c’est la surprise totale. «J’ai le plaisir de vous annoncer qu’un accord global a été conclu hier soir, en vue de mettre fin aux divergences existant entre deux pays frères, l’Iran et l’Irak», déclare-t-il, lors de la séance de clôture du premier Sommet de l’OPEP à Alger, sous une longue ovation de l’assistance.
La crise inédite entre l’Algérie et la France accentue la dichotomie entre une partie du gouvernement français et l’Elysée. Au stade actuel de la crise, on assiste à un véritable – et dangereux – cafouillage au sommet de l’Etat français. D’un côté, un président français qui se dit conciliant et qui veut jouer la carte de l’apaisement avec l’Algérie ; de l’autre, un ministre de l’Intérieur va-t-en-guerre, provocateur et qui ne semble s’astreindre à aucune limite lorsqu’il s’agit de notre pays.
L’interdiction signifiée à l’épouse de l’ambassadeur d’Algérie au Mali, vendredi, de fouler le sol français par les services de la police aux frontières est «une provocation de trop», a réagi, samedi, le ministère des Affaires étrangères (AE) dans un communiqué.
Les Marocains souffrent d’une baisse significative de leur niveau de vie, laquelle se trouve aggraver par une flambée de prix qui s’installe dans le temps. Inflation, chômage endémique, sécheresse, pauvreté extrême, disparités sociales…
Les propos du ministre français des Affaires étrangères, Jean-Noël Barrot, tenus mardi sur la chaîne BFM TV, au sujet de l’Algérie, n’ont pas tardé à faire réagir le ministère des Affaires étrangères (AE).
Un Conseil interministériel de contrôle de l’immigration (CICI), convoqué au lendemain de l’attentat de Mulhouse par le Premier ministre français, François Bayrou, se tiendra aujourd’hui.
Revoilà Retailleau. Le ministre de l’Intérieur français s’étouffe de rage après l’assassinat d’un Portugais de 69 ans, samedi, tué à l’arme blanche à Mulhouse, dans l’est de la France.
Le chef de mission de l’ambassade d’Algérie à Washington, Sabri Boukadoum, a, dans un entretien accordé à USA Today-Business Focus, affirmé que les investissements américains en Algérie «augmentent, en particulier dans le secteur de l’énergie».