Le siège national du Front des forces socialistes (FFS) a abrité, hier, une conférence sur l’avant-projet de loi portant code de la commune, laquelle a réuni des élus locaux, des militants du parti et des experts en droit.
Fruit d’un processus de négociations intenses d’une année entière, sous la présidence algérienne du Comité contre le terrorisme, cette réalisation diplomatique majeure «établit un nouveau cadre international pour faire face aux défis posés par l’évolution rapide des technologies financières».
Dans son premier éditorial de l’année 2025, publié hier, la revue El Djeich a mis en avant «les progrès significatifs enregistrés par l’Algérie en 2024». «L’année 2024 a vu notre pays enregistrer des progrès significatifs sur la voie du renforcement du projet de renaissance nationale (…)», lit-on dans l’éditorial.
«De tels agissements, inacceptables pour l’ensemble du peuple algérien, n’impactent en rien son parcours indépendant», indique le bureau de l’APN. Le Front des forces socialistes (FFS) qualifie ces propos d’«écœurants» et d’«inacceptables». Pour le MSP, ils dénotent d’«une arrogance liée à la mentalité coloniale, loin du respect de la souveraineté et de la non-ingérence dans les affaires intérieures des Etats».
Peu de jours après le discours du président Tebboune devant les deux Chambres du Parlement, la réplique de Macron va incontestablement bien au-delà d’une affaire qui se trouve, présentement, entre les mains des juges algériens.
Il a été convenu, lors de cette réunion, de constituer une commission permanente conjointe entre la Cour suprême et le conseil de l’Union, «en vue de réviser et d’enrichir, dans les meilleurs délais, le contenu de la note datée du 1er septembre 2024.
La convocation de l’ambassadeur de France intervient dans un contexte d’extrême crispation entre Alger et Paris, accentuée notamment par l’affaire de l’écrivain franco-algérien Boualem Sansal, en détention depuis le 16 novembre à la prison de Koléa pour «atteinte à la sûreté, à la sécurité et à la stabilité de l’Etat».
l Depuis le début de l’agression israélienne contre la bande de Ghaza, le 7 octobre 2023, au moins 44 875 Palestiniens ont été tués et 106 454 personnes blessées, alors que des milliers de disparus sont toujours sous les décombres.
Le ministre de la Communication, Mohamed Meziane, a souligné, jeudi à Alger, le rôle des médias dans «la défense de l’image» de l’Algérie et leur contribution à asseoir un service public «à la hauteur des défis».
Un documentaire, diffusé, lundi, par la Télévision algérienne (EPTV) et la chaîne internationale AL24, met en cause les services de renseignement français dans un «complot» visant à déstabiliser l’Algérie. «Les services de la Sûreté nationale ont réussi à déjouer un complot orchestré par les services de renseignement français visant à déstabiliser l’Algérie, à travers l’enrôlement d’un jeune Algérien ayant grandi à l’étranger pour servir leurs desseins hostiles», affirme la même source, citée par l’APS.
Le destin des forces palestiniennes en lutte contre l’occupant israélien, implantées depuis longtemps en Syrie, se pose avec beaucoup d’insistance.
La Syrie a franchi, hier, un point de basculement historique, avec la chute de Damas. Les conséquences de nouveaux affrontements armés intercommunautaires sont difficiles à prédire. Déjà que le territoire syrien est, aujourd’hui, un ensemble de territoires «autonomes», du Sud au Nord.
Le président de la République d’Afrique du Sud, Cyril Ramaphosa, a réaffirmé, vendredi, à la faveur d’un discours prononcé lors de la session extraordinaire des deux chambres du Parlement réunies au Palais des nations (Alger), le soutien inconditionnel de son pays au droit à l’autodétermination du peuple sahraoui.
Depuis Riyad, le président français a affirmé qu’il ne pouvait «pas croire au vote d’une censure» du gouvernement.
Depuis son arrestation, à son arrivée à l’aéroport d’Alger, le 16 novembre dernier, l’écrivain algéro-français Boualem Sansal est devenu le principal centre d’intérêt des médias français. Tous les plateaux télés, mis en ordre de bataille, en font leurs choux gras.
Au ministère de l’Industrie, une série de rencontres, en interne, devrait ouvrir la voie à des consultations élargies aux partenaires et acteurs d’un secteur sur lequel reposent de grands espoirs pour donner plus de vitalité à l’activité économique.
Les compositions de chaque trimestre sont considérées comme une étape d’évaluation des acquis des élèves pendant chaque période de l’année scolaire.
Le ministre d’Etat, ministre des Affaires étrangères, de la Communauté nationale à l’étranger et des Affaires africaines, Ahmed Attaf, estime nécessaire de renforcer le multilatéralisme afin «de faire respecter le droit international». Il a, en effet, appelé, mardi depuis le Portugal, à œuvrer à l’élaboration d’initiatives «concrètes et audacieuses» au service du «multilatéralisme» qui traverse crise après crise.
Les inscriptions aux examens du Brevet d’enseignement moyen (BEM) et du baccalauréat (session 2025) débuteront demain, à partir de 8h, et s’étaleront jusqu’au mercredi 25 décembre 2024, a annoncé, hier, le ministère de l’Education nationale dans un communiqué.
L’arrestation de l’écrivain franco-algérien Boualem Sansal, 75 ans, le samedi 16 novembre, dès son arrivée à Alger en provenance de France, continue de susciter moult réactions, notamment de la part de la classe politique française. L’agence officielle APS a confirmé, vendredi, son arrestation sans donner plus de détails.