Entamée le 1er mai dernier, la campagne de prévention contre les feux de forêt a déjà atteint sa vitesse de croisière. Forte de l’expérience des campements forestiers dirigés conjointement par les services de la Conservation des forêts et ceux de la Protection civile, initiée en 2023, la stratégie menée dans la wilaya de Constantine a montré toute son efficacité.
Un fait inédit a marqué la 7e édition du Cinéclub du café Cinérama dans la ville d’e Aïn Mlila (wilaya d’Oum El Bouaghi), qui a reçu comme invité un fidèle de ce rendez-vous culturel mensuel, et qui n’était autre que le réalisateur Ali Aïssaoui.
Connue pour sa dynamique industrielle et ses importantes potentialités dans l’industrie pharmaceutique où elle compte des unités de production du groupe Saïdal, ainsi que d’autres unités privées, la wilaya de Constantine vient de bénéficier d’un projet de réalisation d’un centre d’excellence au profit du secteur de la formation professionnelle à compter de la prochaine rentrée du secteur.
Cet ouvrage est le troisième d’une série de publications initiées et destinées à participer aux efforts de formation dans le secteur du tourisme et de l’hôtellerie en Algérie. Organisé sous forme de cours et d’exercices, son contenu s’adresse aux stagiaires en formation CAP, technicien supérieur et aux étudiants en licence - master ainsi qu’à leurs enseignants.
Houria Ahcène n’avait pas encore vingt ans en ce jeudi 5 juillet 1962. Du haut de ses 83 ans, elle garde encore une mémoire infaillible, se rappelant des moindres détails de ces journées durant lesquelles le peuple de Constantine a exprimé dans l’euphorie une joie immense, celle de recouvrer sa liberté après 132 ans de colonialisme.
Dix-neuf jours à peine après les célébrations euphoriques de la journée de la proclamation de l’indépendance à Constantine, la ville avait connu l’une des périodes les plus douloureuses de son histoire, suite à son invasion par les troupes de l’Armée des frontières dans la nuit du 24 au 25 juillet 1962.
l Dans cet entretien accordé exclusivement à El Watan, Abdelaziz Khalfallah, ancien responsable de la zone V de la Wilaya II historique, revient sur les faits marquants de la crise de l’été 1962 et les conséquences du triste épisode de la réunion du Conseil national de la révolution algérienne (CNRA) le 5 juin 1962, à Tripoli, abordant les circonstances de la prise de Constantine par l’Armée des frontières.
Le feuilleton de la disparition de la jeune Maroua Boughachiche, qui a tenu en haleine toute la population de Constantine pendant plus d’un mois, a finalement connu son épilogue. Des informations circulaient déjà dans la ville, il y a cinq jours, sur la découverte par un citoyen d’un cadavre de sexe féminin dans la forêt de Djebel Ouahch, située dans la banlieue nord de Constantine, à environ 10 km du centre-ville. Les supputations commençaient déjà à alimenter les débats sur les réseaux sociaux.
La difficulté d’avoir des financements pour prendre en charge les multiples dépenses d’une saison sportive demeure le principal casse tête pour les clubs et les associations sportives dans la wilaya de Batna. Un problème qui se pose déjà depuis des années, faisant que ces clubs restent toujours tributaires des aides de l’Etat en l’absence de sponsors qui ne bousculent pas pour leur porter secours.
Le 21 juin 1985, un petit club de football constantinois évoluant en Division Honneur crée un exploit sportif inédit, qui ne sera plus réédité dans l’histoire de la coupe d’Algérie de football jusqu’à ce jour.
Le premier responsable de la wilaya a insisté sur la sensibilisation des agriculteurs afin de livrer leurs récoltes aux dépôts de la Coopérative des céréales et des légumes secs (CCLS).
Un important travail de publicité reste à accomplir dans les lieux publics en direction de la population, surtout que la manifestation se déroule dans l’anonymat.
Il y a plus de trente ans, le nom du martyr Idir Youcef trônait sur une plaque à la place située entre la rue Abderrahmene Sahraoui et la rue des cousins Boufennara (ex-Verdun), près du boulevard Belouizdad dans le quartier de Saint-Jean, là où se trouvait le fameux Immeuble Cadeau.
La ville de Bordj Bou Arréridj vit depuis plusieurs mois une dynamique au rythme des opérations d’aménagement urbain réclamées depuis des années par les habitants pour améliorer un cadre de vie qui n’a cessé de se dégrader.
Au moment où l’on parle de travaux d’aménagement et d’embellissement du centre-ville de Constantine pour le rendre plus attrayant et donner une belle image de la ville, une tache noire continue d’enlaidir l’un des plus importants boulevards de la cité, celui qui porte le nom de Mohamed Belouizdad, plus connu localement par le boulevard Saint-Jean.
Axe stratégique reliant le centre-ville de Constantine à la RN27, l’avenue Kitouni Abdelmalek, située à quelques mètres de la place des Martyrs, a besoin d’une sérieuse réorganisation de la circulation automobile dans sa partie supérieure, ainsi que des travaux de réhabilitation de la chaussée au niveau de sa partie inférieure.
Le quai aux fleurs ne répond plus Malek Haddad
Plusieurs facteurs favorisent les risques des intoxications alimentaires, notamment la chaleur, le non-respect de la chaîne de froid, sans oublier les conditions d’hygiène déplorables dans une bonne partie des restaurants et des fast-food.
Comment peut-on passer l’Aïd El Adha sans eau par ces temps de forte chaleur ? C’est la question que se sont posée des habitants de la mégacité de Oued El Hdjar, dans la commune de Didouche Mourad, située à 18 km au nord de la ville de Constantine, principalement ceux résidant à la cité Rabah Bouzelata (plus connue par la cité 160 Logements CNEP) et plusieurs immeubles environnants qui ont vécu un véritable calvaire durant cette fête religieuse, après avoir connu un stress hydrique pendant une semaine.
Véritable curiosité touristique fermée depuis la fin des années 1970, l’ascenseur construit en 1934 était un moyen de transport pour les habitants de la localité de Sidi M’cid.