Il y a neuf ans, Le 7 janvier 2016, nous quittait Si Brahim Chergui, alias Si H’mida, chef politique de la Zone autonome d’Alger, qui a commencé à militer très jeune, au début des années quarante, pour gravir les échelons grâce à son dévouement, sa perspicacité et sa combativité, et devenir cadre du parti PPA/MTLD.
Le proverbe africain dit : «Quand le mensonge prend l’ascenseur, la vérité prend l’escalier.» Certes, la vérité met plus de temps, mais elle finit toujours par arriver.
La planète, sous le diktat de l’Occident, est devenue aussi peu gouvernable qu’un navire échappé de son ère», avait écrit, à juste titre, un historien européen, mettant à l’index une ère, où les puissants, ou prétendus comme tels, condamnés à la connivence par la virtualité du pire, sont devenus comme ce cheval sorti de son enclos, cavalant avec vigueur, sans bride, sans but, faisant forcément des dégâts.
Il est parti notre champion. Sur la pointe des pieds, loin des clameurs de la salle Harcha, des rings d’ici et d’ailleurs et du brouhaha de la vie. Il avait bouclé ses quatre-vingts ans, mais il paraissait nettement moins arborant fièrement, au moins la soixantaine, bon pied bon œil.
La nouvelle année commence mal pour les Etats-Unis.La Nouvelle-Orléans, Las Vegas et New York ont été la cible d'attaques violentes en moins de 48 heures à l'aube de cette nouvelle année.
On dit que l’histoire est bien injuste avec les hommes. Alors avec les femmes, qu’est-ce que ça doit être ? Pire...
De son enfance, il a gardé le goût de la famille et le don du bonheur. Il exerce son métier, son sacerdoce devrais-je dire, avec l’enthousiasme et l’émerveillement de l’enfant studieux qu’il a été. Toujours vibrant pour cette spécialité en médecine, très pointue, la neurochirurgie qu’il a adoptée et apprivoisée. Avec une rigueur affinée au fil du temps, pour devenir un perfectionniste, en se frottant à l’exercice difficile et périlleux de cette pratique médicale, risquée où le diable se cache dans les détails.
Mahiedine Khalef, n’est plus. En fait, lui l’homme jovial et policé, celui qui a participé avec Mekhloufi à l’exploit de Gijón qui a ébahi le monde, le passionné de foot, l’ami que j›ai connu, il y a longtemps, n’est plus depuis plusieurs années. Affaibli par la maladie, il ne s’imaginait pas quitter la scène de cette maniè
Mieux vaut allumer une bougie que maudire les ténèbres. LaoTseu
On dit que les yeux sont les miroirs de l’âme, mais la voix est le reflet des émotions. Surtout dans le monde arabe, où les émotions tiennent le haut du pavé et régissent tous les actes de la vie des gens.
Lors de nos nombreuses rencontres, je lui avais demandé un jour quelle sensation il éprouvait à la fin d’un match accompli. «Une prestation sur le terrain, pour être pleine, attrayante et captivante devant des milliers de spectateurs, est une rude tâche, qui se travaille pendant des semaines et des mois dans la souffrance et le sacrifice.
On pensait, naïvement, que l’après-guerre froide était terminée et dès lors on nous annonçait la couleur d’un ciel plus clément et des lendemains sereins, pour ne pas dire chantants.
La chute du mur de Berlin, le 9 novembre 1989, a été un tournant décisif pour le XXIe siècle, qui nous a fait basculer sans aucun doute dans un autre univers, avec un nouveau paradigme, qui a mis fin à la confrontation américano-soviétique.
Quittant en 1993 l’OLP, dont il était membre, il désavoue Yasser Arafat et son équipe, pour protester, contre les Accords d’Oslo, jugés trop conciliants. Mon ami Madjid Kaoua, le ciseleur de rimes, l’avait qualifié de «troubadour de la douleur». «Mon peuple est meurtri, je veux une paix, mais une paix juste», Mahmoud Darwich (1941- 2008)
Le grand sommet Chine–Afrique, qui s'est ouvert mercredi dernier à Pékin sur fond de promesses de coopération dans les infrastructures, l'énergie et l'éducation, a été inauguré par Xi Jinping, «un vrai ami de l'Afrique», comme l'a assuré la presse officielle chinoise cette semaine, insistant sur les liens entre Pékin et le continent africain, «qui ont atteint de nouveaux sommets depuis son arrivée au pouvoir».
Avec l’affaire Pavel Durov, revoilà les réseaux sociaux, les plateformes qui mobilisent des milliards de personnes, au cœur de l’actualité. C’est dire l’enjeu que ces réseaux suscitent au sein des utilisateurs, qui peuvent se permettre une information horizontale, de citoyen à citoyen, sans barrière, ni censure ni pression.
C’est une étrange et longue guerre que celle où la violence essaie d'opprimer la vérité.» Cette sentence de Pascal (Les Provinciales 1657) est plus que jamais d’actualité. Dans la guerre que subit Ghaza depuis plus de dix mois, sous le regard passif et indifférent du monde entier, le bilan macabre est lourd de plus de 40 000 victimes, en majorité des enfants, des bébés et des femmes.
Après avoir vécu une période difficile qui a vu sa santé se décliner sérieusement au point d’être hospitalisé en urgence pendant plusieurs jours, suscitant beaucoup d’inquiétude, notre ancien champion Abdelkader Ould Mekhloufi s’en est sorti, Dieu merci, au grand bonheur de sa famille, de ses proches et de la grande famille sportive.
«Le sport consiste à déléguer au corps quelques-unes des vertus les plus fortes de l’âme.» Jean Giraudoux
Il y a sept ans, le 7 janvier 2016, nous quittait le regretté moudjahid Brahim Chergui à l'âge de 94 ans, après une vie pleine et le sentiment du devoir accompli.