Lors de nos nombreuses rencontres, je lui avais demandé un jour quelle sensation il éprouvait à la fin d’un match accompli. «Une prestation sur le terrain, pour être pleine, attrayante et captivante devant des milliers de spectateurs, est une rude tâche, qui se travaille pendant des semaines et des mois dans la souffrance et le sacrifice.
On pensait, naïvement, que l’après-guerre froide était terminée et dès lors on nous annonçait la couleur d’un ciel plus clément et des lendemains sereins, pour ne pas dire chantants.
La chute du mur de Berlin, le 9 novembre 1989, a été un tournant décisif pour le XXIe siècle, qui nous a fait basculer sans aucun doute dans un autre univers, avec un nouveau paradigme, qui a mis fin à la confrontation américano-soviétique.
Quittant en 1993 l’OLP, dont il était membre, il désavoue Yasser Arafat et son équipe, pour protester, contre les Accords d’Oslo, jugés trop conciliants. Mon ami Madjid Kaoua, le ciseleur de rimes, l’avait qualifié de «troubadour de la douleur». «Mon peuple est meurtri, je veux une paix, mais une paix juste», Mahmoud Darwich (1941- 2008)
Le grand sommet Chine–Afrique, qui s'est ouvert mercredi dernier à Pékin sur fond de promesses de coopération dans les infrastructures, l'énergie et l'éducation, a été inauguré par Xi Jinping, «un vrai ami de l'Afrique», comme l'a assuré la presse officielle chinoise cette semaine, insistant sur les liens entre Pékin et le continent africain, «qui ont atteint de nouveaux sommets depuis son arrivée au pouvoir».
Avec l’affaire Pavel Durov, revoilà les réseaux sociaux, les plateformes qui mobilisent des milliards de personnes, au cœur de l’actualité. C’est dire l’enjeu que ces réseaux suscitent au sein des utilisateurs, qui peuvent se permettre une information horizontale, de citoyen à citoyen, sans barrière, ni censure ni pression.
C’est une étrange et longue guerre que celle où la violence essaie d'opprimer la vérité.» Cette sentence de Pascal (Les Provinciales 1657) est plus que jamais d’actualité. Dans la guerre que subit Ghaza depuis plus de dix mois, sous le regard passif et indifférent du monde entier, le bilan macabre est lourd de plus de 40 000 victimes, en majorité des enfants, des bébés et des femmes.
Après avoir vécu une période difficile qui a vu sa santé se décliner sérieusement au point d’être hospitalisé en urgence pendant plusieurs jours, suscitant beaucoup d’inquiétude, notre ancien champion Abdelkader Ould Mekhloufi s’en est sorti, Dieu merci, au grand bonheur de sa famille, de ses proches et de la grande famille sportive.
«Le sport consiste à déléguer au corps quelques-unes des vertus les plus fortes de l’âme.» Jean Giraudoux
Il y a sept ans, le 7 janvier 2016, nous quittait le regretté moudjahid Brahim Chergui à l'âge de 94 ans, après une vie pleine et le sentiment du devoir accompli.
En bannissant l’approximation et le bricolage, l’artiste-peintre, Mustapha Boucetta, s’est enfin décidé à se mettre sous les projecteurs en nous offrant une panoplie de ses œuvres exécutées tout au long de ces vingt dernières années.
Radié du Syndicat algérien des paramédicaux, Cherif Mustapha s'est déployé en voulant lancer un autre syndicat qui apparaît comme une fuite en avant, puisque l'initiative ne répond nullement aux critères exigés, pour pouvoir activer légalement, en mettant la charrue avant les bœufs, en entamant l'activité, sans avoir le moindre agrément.
Ils n’étaient pas nombreux, mais tous déterminés, guidés par leur volonté de faire triompher la justice. Ils étaient jeunes mais résolus, et prêts aux sacrifices.
Ils n’étaient pas nombreux, mais tous déterminés, guidés par leur volonté de faire triompher la justice. Ils étaient jeunes mais résolus et prêts aux sacrifices.
Ainsi donc, l'actualité brûlante nous a révélé, qu'à travers le génocide qui se déroule à Ghaza la martyre, que l'Occident, toujours «sûr de lui et dominateur», a tenté d'aborder le Moyen-Orient compliqué avec l'idée trop simple de le désagréger.
«Quand le vainqueur a quitté ses armes, le vaincu a le devoir de quitter sa haine.» Sénèque Par Hamid Tahri
C’est avec affliction que j’ai appris, dimanche matin, le décès du moudjahid Dali Hamid, l’enfant terrible de la Casbah, qui nous a quittés après une vie pleine et entière. Ses engagements et ses convictions bien ancrés, il reste l’un des rares à avoir mené un combat aussi bien dans la guérilla urbaine qu’au cœur des rigueurs du maquis.
Senseï Mouloud Latrèche , expert international , ceinture noire 8e dan en Karaté, et entraîneur, sera honoré ce mardi 17 octobre 2023 , à la résidence de son Excellence M. l’ambassadeur du Japon à Alger au cours d’une cérémonie où il lui sera remis la décoration de l’Ordre du Soleil Levant, Rayons d’Argent, une des hautes distinctions sportives japonaises, eu égard à son parcours exceptionnel au service de cette discipline qu’il a servie avec loyauté et certainement avec beaucoup de passion, en la transmettant à des centaines d’adeptes .
Tout d’abord, je tiens à remercier mon ami et confrère Youssef Zerarka à l’origine de notre rencontre conviviale et fraternelle, avec d’autres amis, autour de Si Abderrahmane, chez lui, à l’ouest d’Alger. Un rendez-vous pas seulement nostalgique, à ne pas manquer, d’autant que je l’ai perdu de vue depuis belle lurette.
Il incarne la vie dans ce qu’elle a de merveilleux, qu’il a su apprivoiser, aussi bien dans un mistral de vent tourmenté que dans le rire. Cette incroyable alchimie, il la doit à sa modestie, à son éducation, à sa culture, à sa foi, à la science. Puisque, il est docteur d’Etat en physique depuis 1967 et père de l’informatique en Algérie, qu’il a lancée, avec bonheur, à la fin des années 1960 exactement au mois d’octobre 1969 comme nous l’a précisé un de ses fidèles disciples et digne continuateur, le professeur Younes Grar.