Dans son célèbre roman La Peste, publié en 1947, Albert Camus, prix Nobel de littérature en 1957, avait écrit : «Quand une guerre éclate, les gens disent : ''Ça ne durera pas, c'est trop bête.''Et sans doute une guerre est certainement trop bête, mais cela ne l’empêche pas de durer.
L’examen du système de santé en vue de son renforcement et de son redéploiement avec une plus grande performance est sans doute le dossier qui focalise le plus l’attention des citoyens. Les attentes sont multiples et lancinantes dans un secteur marqué par un fort investissement de l’Etat et un fonctionnement encore en deçà du niveau optimal, notamment dans les centres et unités de soins de proximité.
L’histoire et la géographie placent fatalement et cycliquement «le monde arabe», sa composante moyen-orientale notamment, au centre d’événements géopolitiques majeurs, avec cette plaie de fixation permanente dénommée Israël.
La commémoration, dimanche dernier, de la Journée nationale du Chahid a été marquée par l’inauguration de nombreux projets de développement local à travers le pays. Les cérémonies de recueillement à la mémoire des martyrs de la Guerre de Libération nationale ont été tout naturellement suivies d’activités pour la mise en service de nouveaux équipements publics et de structures parfois modestes mais d’un impact certain dans l’amélioration des conditions de vie des citoyens.
Netanyahu lance un nouveau défi, aux terribles conséquences, en sommant le Hamas de libérer les otages avant le début du Ramadhan auquel cas son armée détruira Rafah, avec sa population réfugiée.
Que serait l’Afrique si ses différents pays arrivaient à concrétiser leur intégration économique et à se fédérer autour de projets économiques concrets ? Jusque-là, les pays africains s’orientaient principalement vers l’étranger et très peu vers leur voisinage immédiat. Entamé timidement dans les années 1960, le vaste et long chantier de l’intégration du continent s’accélère désormais.
L’attaque du Hamas du 7 octobre 2023 a mis les gouvernements occidentaux et une partie de leurs classes politiques face à eux-mêmes, c'est-à-dire tels qu’ils sont conçus pour défendre leurs intérêts exclusifs et ceux de leur allié inconditionnel, Israël.
La célébration, demain, de la Journée nationale du Chahid sera une autre occasion d’interroger l’histoire et de mieux connaître le parcours de ses artisans dont le combat et le sacrifice ont rendu possible et inéluctable l’indépendance nationale.
Dans un monde où toutes les valeurs humaines ont été anéanties, nul ne peut être insensible aux atrocités commises depuis 130 jours dans la Bande de Ghaza par l’Etat criminel d’Israël.
Le scénario du pire est mis en œuvre à Rafah, à l’extrême sud de Ghaza, localité frontalière avec l’Egypte, dernier refuge pour les Ghazaouis après leur fuite du Nord et du Centre. Les attaques génocidaires israéliennes, ces deux derniers jours, ont déjà provoqué la mort de près d’une centaine de Ghazaouis avec comme résultat la libération de seulement deux otages. Trois autres sont morts et cinq gravement blessés.
Hier encore la cruauté s’est manifestée dans toute sa barbarie dans le quartier Cheikh Redouane, un des toponymes martyrs dans la cartographie de l’horreur qu’Israël fixe quotidiennement comme autant de plaies dans le corps de Ghaza.
La frêle vie de la fillette Hind Rajab, six ans à peine, a été emportée comme un fétu de paille par l’ouragan de la guerre sans nom que livre la machine à tuer d’Israël aux populations de Ghaza.
Un système d’information continue sur l’état des routes sera mis en place dans chaque wilaya, a annoncé le ministre des Travaux publics jeudi dernier devant les députés.
Depuis la Seconde Guerre mondiale, c’est la sphère arabe, voire musulmane, qui est devenue le principal théâtre de conflits permanents et de guerres d’envergure.
Quatre mois après le début de la guerre d’extermination menée contre les civils à Ghaza et en Cisjordanie, l’Etat sioniste vient d’ouvrir un nouveau front. Il s’attaque, désormais, à l’Office de secours et de travaux des Nations unies pour les réfugiés de Palestine dans le Proche-Orient, plus connu par l’Unrwa (United Nations Relief and Works Agency for Palestine Refugees in the Near East).
La bonne santé du mouvement associatif se révèle d’une importance capitale dans la vie du pays. Cela est d’autant plus vrai quand il draine et fait contribuer les élites et les compétences dans les divers secteurs et activités. Les organisations professionnelles et de la société civile ont cet atout d’agir dans leur strict domaine sans contingences qui viendraient saturer leur démarche et les éloigner du but initial.
Le secteur de l’Éducation nationale est aux prises avec de nombreux défis, au centre desquels figure le besoin de prendre le virage de la qualité. Maintenant que les salaires et les statuts des enseignants ont été revalorisés, il serait utile de lancer un débat pour toucher l’essentiel, à savoir instaurer un modèle de gouvernance qualitative de la profession enseignante, qui tient un rôle prépondérant.
Comme au bon vieux temps de la guerre civile.» La boutade de certains chroniqueurs de l'actualité de ces dernières semaines aux Etats-Unis grossit certainement le trait, mais les événements récents dans l'Etat emblématique du Texas donnent à voir un des effets saillants de la polarisation politique entre démocrates et républicains.
Le dossier de la réforme des programmes scolaires a été évoqué jeudi dernier à l’occasion d’une question orale adressée par un membre du Conseil de la nation au ministre de l’Education nationale.
Une nouvelle trêve entre Israéliens et Palestiniens, en négociation actuellement, pourrait rapidement voir le jour, même si, publiquement, Tel-Aviv affirme qu’il ne cédera pas aux exigences du Hamas.