Le déluge de feu a repris sur Ghaza avec son torrent de sang et de larmes. Antony Blinken était à Tel-Aviv sans nul doute pour transmettre aux autorités israéliennes le feu vert de Washington concernant la reprise des frappes et approuver le plan israélien de partition de Ghaza.
Dans le long combat qu’ils mènent contre Israël depuis bien avant sa création en 1948 jusqu’à ce jour, les Palestiniens ont toujours considéré que les questions de la terre et de l’identité sont indissociables. Il était bien clair que derrière toutes les opérations militaires sionistes, il y avait un seul but : celui de terroriser les populations autochtones, les forçant à quitter leurs terres, pour les peupler par de nouveaux colons, n’ayant aucun lien identitaire avec cette patrie qu’est la Palestine.
Le dossier de l’ex-Ansej est revenu dans le débat, à la faveur de la réponse à la question d’un député, jeudi dernier, à l’APN, du ministre de l’Economie de la Connaissance, des Start-Up et des Micro-entreprises.
Les Palestiniens de Ghaza, mais aussi ceux de Cisjordanie, ont dû mourir par milliers en quelques semaines pour voir et entendre, enfin, le gotha diplomatique mondial s’intéresser à leur histoire et à l’injustice violente qui les frappe depuis plus de 70 ans.
Le monde retient son souffle sur la décision que prendra Netanyahu après la fin de la trêve. Va-t-il ordonner la reprise des bombardements sur Ghaza, notamment sa partie sud dans laquelle s’est réfugiée la majeure partie de la population ?
Lors de sa récente visite de travail dans la wilaya de Tizi Ouzou, le ministre de l’Energie et des Mines a annoncé un projet d’exploitation d’une mine de feldspath, actuellement en phase d’étude préliminaire. M. Arkab a souligné la «présence de ce minéral dans nombre de régions du pays, et la mine la plus importante en termes de capacités est celle de Tizi Ouzou».
Ainsi donc, l'actualité brûlante nous a révélé, qu'à travers le génocide qui se déroule à Ghaza la martyre, que l'Occident, toujours «sûr de lui et dominateur», a tenté d'aborder le Moyen-Orient compliqué avec l'idée trop simple de le désagréger.
Quatre jours de trêve, de suspension du temps et de la tempête de feu et de sang qui s'est abattue durant près de 50 jours sur la Bande de Ghaza ; quatre jours pour mesurer, vraiment, l'ampleur du malheur vécu : vies pulvérisées, familles décimées, foyers détruits...
Les rigueurs de l’hiver ont progressivement pris une autre signification ces dernières années. La saison des vagues de froid et des tempêtes est devenue aussi, et surtout, celle des difficultés de circulation et des inondations qui peuvent menacer des habitations.
Netanyahu a annoncé qu’il poursuivra la guerre à Ghaza, une fois achevée la trêve, ce qui signifie que le massacre des habitants reprendra avec plus d’intensité.
Hamas-Daech». C’est par cette association que Benyamin Netanyahu, ses ministres et l’état-major de son armée se font le devoir de désigner le mouvement de résistance palestinien. Et c’est ainsi qu’ils exigent du monde qu’il le présente depuis les attaques de sa branche armée, les Brigades Al Qassam, le 7 octobre dernier.
Face à la forte concurrence de la Chine qui s’impose comme le premier partenaire économique de l'Afrique depuis une décennie, les Etats-Unis veulent augmenter leurs investissements sur le continent africain.
ls sont désormais nombreux les intellectuels israéliens qui ont eu le courage de briser le mur du silence et dénoncer les exactions commises par l’armée sioniste envers les Palestiniens. Des crimes qui avaient commencé quelques jours seulement après l’entrée en vigueur du plan de partage de la Palestine et la déclaration d’indépendance d’Israël le 15 mai 1948.
Le flop de l’hôpital Al Shifa de Ghaza nous rappelle, à tous points de vue, le délire du général américain Colin Powell qui – en 2003, pour duper l’opinion publique mondiale et justifier l’intervention massive américaine en Irak – avait exhibé une fiole devant les membres du Conseil de sécurité.
Comme pour l’histoire, il n’y a pas une fin pour le débat public, et cela permet de mettre au jour des situations et des problématiques méritant un traitement particulier, dans le but de construire un meilleur avenir, en enrayant les causes de l’échec et des rendez-vous manqués avec le développement.
Les limites de l’atrocité de plus en plus poussées à Ghaza. Après près de quarante jours de bombardements ininterrompus, à l’intensité jamais égalée de l’avis même de son propre commandement, l’opération terrestre de l’armée israélienne vient achever la besogne dans les locaux même des hôpitaux sinistrés.
Le président de la République vient d’imprimer une nouvelle dynamique dans la gestion des affaires publiques. En désignant Mohamed Ennadir Larbaoui au poste de Premier ministre et en prévision de la révision de toute la composante de l’équipe gouvernementale, le chef de l’Etat entend apporter un nouveau souffle dans l’exécution de son programme électoral.
Une première. L’ONU a rendu, hier, un hommage mondial à ses nombreux collaborateurs tués depuis le début de l’expédition meurtrière de l’armée israélienne à Ghaza. Sobre et discrète, l’initiative a consisté en l’observation d’une minute de silence «en privé», hier matin, à l’appel d’Antonio Guterres, dans tous les pays où l’Organisation dispose de représentations.
La filière agricole bio dispose d’un grand potentiel et fait face à d’immenses défis en Algérie, tant pour l’exportation que pour le marché domestique.
L'histoire des conflits armés dans le monde a montré que les enfants ont toujours été les principales victimes. Dans la guerre génocidaire menée depuis plus d’un mois par l’armée sioniste contre la population palestinienne, ces petits sont les cibles privilégiées.