Dans son long voyage entre son pays et Israël, aller et retour, Biden n’a sûrement pas vu El Jazeera qui, remarquablement, en direct et sans discontinuité, a rempli les yeux du monde horrifié des images insoutenables du massacre de plus de 500 habitants de Ghaza à proximité d’un hôpital. Oui, il n’a rien vu ou a refusé de voir l’horreur absolue du bombardement que l’armée israélienne et Netanyahu (comme Collin Powel au début des années 1990 à propos des armes chimiques de l’Irak) ont tenté d’imputer au groupe de résistance palestinienne, le Jihad islamique.
Bien des choses ont été dites sur la relation qu’entretiennent les Algériens avec le livre, et la lecture en général. Un sujet qui continue de susciter les débats. Durant des décennies, on s’est posé la question, devenue lancinante : «Les Algériens lisent-ils ?» Est-ce qu’ils le font souvent ou seulement durant le Salon international du livre d’Alger ? Le SILA est-il un baromètre pour mesurer l’importance et l’impact de cet intérêt ?
L'escalade de violence aveugle que fait subir le gouvernement israélien au peuple palestinien à Ghaza donne à voir une des séquences les plus éloquentes du potentiel de soutien sans limite sur lequel peut compter Tel-Aviv en Occident. Le ton a vite été donné par Washington dès les premières alertes sur l'opération menée par le bras armé de Hamas, au matin du 7 octobre.
De nombreux consommateurs algériens n’échappent pas aux grandes tendances mondiales, avec une alimentation dangereuse, car de plus en plus grasse, sucrée et salée, et une part croissante des aliments transformés.
Le monde entier redécouvre la question palestinienne, après des décennies d’occultation par le système sioniste mondial, qui a pu rallier à lui la plupart des Etats occidentaux et une partie des pays du tiers-monde dans lequel figurent des régimes arabes.
Le monde entier redécouvre la question palestinienne, après des décennies d’occultation par le système sioniste mondial, qui a pu rallier à lui la plupart des Etats occidentaux et une partie des pays du tiers-monde dans lequel figurent des régimes arabes.
La présentation depuis mardi devant l’APN de la Déclaration de politique générale du gouvernement a donné lieu à des interventions des députés ayant dans leur grande majorité, comme l’ont relevé les journalistes présents aux travaux, fait état des préoccupations premières des citoyens et de leurs attentes en matière d’amélioration de leurs conditions de vie et de leur pouvoir d’achat.
Qualifiée de cinquième roue de la charrette, la culture en Algérie vit encore une situation peu enviable, et ce sont les femmes et les hommes ayant servi cette culture qui en font les frais. Leur tort est d’avoir sacrifié des années de leur vie pour l’art de leur pays.
L’emploi demeure une question qui revêt un intérêt vital pour le citoyen et un objectif principal pour le pouvoir politique. Le lien est si fort entre les deux entités que leurs sorts sont intimement dépendants. Pour le citoyen, le travail est chose existentielle qui lui assure une vie dans la dignité.
Le fait d’avoir été admis comme médiateur dans la «crise politique interne» au Niger est, en soi, une victoire diplomatique pour notre pays. En effet, l’Algérie, qui a toujours prôné le dialogue politique pour résoudre les conflits et les crises politiques plutôt que l’intervention militaire, était attendue au tournant, notamment par les pays membres de la Cédéao et la France.
Les capitales occidentales découvrent, avec stupeur, que les Palestiniens restent encore capables de réactions guerrières en portant l’action militaire sur des terroirs censément pacifiés par la toute puissance israélienne. L’offensive spectaculaire, conduite à l’aube de ce 7 octobre par les troupes d’élite du mouvement Hamas et baptisée le «Déluge d’Al Aqsa», a ébranlé, en profondeur, énormément de certitudes et de faits accomplis.
Mieux vaut prévenir que guérir.» Ce proverbe, dont les origines remontent à la période médiévale, est plus que jamais d’actualité en Algérie. Les professionnels de la santé ne cessent de le répéter : pour enrayer l’évolution des maladies non transmissibles qui explosent, un changement de paradigme doit être opéré pour passer des traitements purement curatifs à une approche globale basée sur la prévention.
L’incident survenu dimanche dernier à l’hôpital de Bouira, où une panne électrique a entraîné le décès d’une patiente en réanimation, a suscité beaucoup d’émotion et soulevé des interrogations sur la gestion et l’état du secteur.
Le feuilleton «fleuve» de l’autoroute Est-Ouest est loin d’être terminé. C’est un constat qui s’impose. Dix-sept ans après son lancement officiel, suite à la décision prise par l’Etat de la financer par des deniers publics, et sans compter les premiers tronçons déjà entamés dans les années 1990, «le projet du siècle» fera encore parler de lui.
C’est une véritable guerre qui est menée contre la société et ses fondements. Le fléau de la drogue n’est plus un phénomène marginal, fait de bandes de délinquants et de trafiquants, dont la traque est du ressort classique des services policiers.
Et si on parlait d’Alger ? Depuis quelque temps, les autorités sont à pied d’œuvre pour la bichonner et on constate de visu, de mois en mois, des progrès, pas seulement au centre-ville. Des ravalements de façades, des feux tricolores, des extensions routières, nombre de nouveaux équipements urbains et suburbains.
Le tout nouveau film documentaire intitulé Le citoyen Pierre Chaulet, qui vient d’être projeté en avant-première à Alger, Constantine et Oran, du réalisateur Saïd Mehdaoui, a vraiment le mérite de mettre en lumière toute l'ampleur de l’engagement pour l’Algérie de deux défunts grands moudjahidine : Pierre Chaulet et sa femme Claudine.
L’Europe intensifie sa politique d’enfermement face à la persistance du phénomène migratoire, à l’intérieur de l’espace Schengen, mais aussi face à la grande bande maritime de la Méditerranée.
Le dépassement de la période d’insécurité, qui avait plombé le destin du pays à la fin du siècle dernier, ne pouvait pas ne pas permettre d’entrevoir l’avenir sous de bons auspices.
Retour sur Haouch Errih, près de Meftah, cet immense ensemble de centaines de tours du programme AADL regroupées à flanc de colline en un alignement quelconque, quelques immeubles frôlant dangereusement un ravin mitoyen.