L’Algérie a tout à gagner à investir massivement dans l'expansion de son réseau ferroviaire. En la matière, le partenariat algéro-chinois est de bon augure.
Depuis que l’inflation connaît une hausse sur le marché algérien, le rêve le plus logique des consommateurs est d’avoir accès aux produits alimentaires de base à des prix raisonnables.
L’ouverture de la 78e Assemblée générale de l’ONU a ressemblé à de nombreuses sessions qui l’ont précédée : le constat d’un monde marqué par les inégalités, la persistance de foyers de conflits armés, le statu quo et la controverse sur les dernières colonies, l’accumulation des défis qui s’imposent à la communauté humaine et des appels à réagir solidairement pour y faire face.
A l'instar des pays du sud de la Méditerranée, l’Algérie fait face à une véritable hémorragie de matière grise. La rive sud est touchée par l'exode des cadres les plus qualifiés, que l'on appelle la fuite des cerveaux.
La récente installation des nouveaux walis a été l’occasion de remettre à l’ordre du jour le dossier de la gestion des collectivités locales et la nécessité de leur insuffler une nouvelle dynamique de développement à même de répondre aux attentes des citoyens.
Par définition, seule la détresse est prise en compte dans l’action humanitaire. Toute autre considération doit s’effacer face à l’urgence de porter secours aux populations frappées par un malheur, la politique notamment. Le cas des inondations apocalyptiques de la ville de Derna en Libye est un exemple de la perversion de l’aide internationale.
Les épisodes caniculaires se suivent et se ressemblent et chaque canicule apporte immanquablement son lot d’incendies dévastateurs. Eté après été, nos forêts brûlent à un rythme encore jamais vu de mémoire d’homme. Cependant, dans notre pitoyable et matérialiste vision d’humains qui n’attribuent aux choses que des chiffres et non leurs vraies valeurs, nous avons tendance à croire que ce sont juste des hectares d’arbres et de végétation en moins.
Elle s’est fait un peu attendre, mais elle est enfin là avec son ambiance, ses défis, ses contraintes. La rentrée scolaire, moment phare de la rentrée sociale, s’annonce encore une fois exceptionnelle au regard de ses exigences logistiques, administratives et pédagogiques.
Chaque année, les enfants aux besoins spécifiques en âge de scolarisation se préparent, à l’occasion de la rentrée des classes, à affronter divers handicaps, qu’ils se sont habitués à vivre durant leur cursus scolaire.
Il semble que les pays producteurs de pétrole vont bénéficier de vents favorables durant les prochaines années. Factuellement, après une année 2022 marquée par une hausse des prix sur le marché mondial, sous les effets conjugués de la crise en Ukraine et la dynamique de rattrapage économiques, après près de trois années de la pandémie Covid-19, les cotations se sont, certes, un peu tassées en 2023, réduisant les recettes des pays de l’OPEP et autres.
Ponctuelle et exceptionnelle, la campagne de nettoiement des établissements scolaires a atteint les objectifs escomptés et permettra une rentrée dans de bonnes conditions dans nombre de structures éducatives. Basée sur le volontariat, et outre les directions de wilaya, l’opération a vu la participation des organisations de la société civile, notamment celles en rapport avec l’environnement.
Le vendredi 8 septembre 2023, a été célébrée la Journée mondiale de l’alphabétisation. A part des cérémonies de remise des diplômes aux apprenantes des centres d’alphabétisation, car il s’agit en grande majorité de femmes âgées, l'événement s'est déroulé presque dans l’anonymat en Algérie. C’est vrai que pour les autorités dans les wilayas, la priorité du moment est pour le nettoyage et l’embellissement des écoles.
La Libye n’en finit pas de compter ses morts depuis deux jours, suite au passage dévastateur et inédit de la tempête Daniel. Le bilan des victimes, qui commence à se préciser, plus de 48 heures après la catastrophe, est terrifiant. Les images cataclysmiques qui ont circulé, montrant des quartiers sous les eaux et des villes à moitié rasées par les crues, ont, dès le départ, donné du crédit aux craintes de certaines ONG sur place et qui, elles, redoutaient des milliers de morts et de disparus.
Il est fort à craindre que la dynamique de développement enclenchée dans le secteur de la production agricole, depuis plusieurs années, ne soit contrariée, et lourdement, par les hostilités du nouveau contexte climatique.
Depuis que la nouvelle du terrible séisme qui a frappé le Maroc voisin est tombée, les Algériens n’ont cessé d’exprimer, de manière spontanée, massive et unanime, leurs sentiments de compassion, de soutien et de solidarité envers leurs frères marocains.
Le 18e Sommet du G20, groupement des plus grandes économies mondiales, est finalement parvenu à dégager un consensus sur une déclaration finale. La chose était loin d’être évidente, au vu de la persistance des divergences sur le dossier ukrainien notamment, mais aussi sur la teneur des engagements à prendre sur la problématique climatique.
Elles sont invisibles sur la scène nationale, peu évoquées dans le débat public, mais elles constituent le fondement de l’édifice institutionnel et le point de départ de toute entreprise de développement dans le pays.
Il a fallu que deux cas de botulisme, suite à la consommation de thon en conserve, soient enregistrés au mois d’août à El Khroub dans la wilaya de Constantine, dont l’une des victimes, un homme de 25 ans, est décédée, pour que «les vieux démons» de cette maladie se réveillent. Durant cet épisode, l’un des principaux faits de cet été en Algérie, les citoyens ont été tenus en haleine, restant à l’affût de la moindre information.
Les Africains sont connus depuis la nuit des temps pour leur sagesse, cette vertu millénaire patiemment construite par des sociétés égalitaristes et pacifiques qui n’ont fait de la guerre ni un métier ni une science et par des générations de vieux chefs élus par leurs populations pour leur connaissance de la vie et non leur maîtrise de la guerre.
Les rentrées scolaires se suivent et se ressemblent. Elles connaissent un moment de flottement quasi protocolaire. La date officielle de la reprise des cours est «gardée» jalousement pour des considérations que le commun des citoyens ignore non sans curiosité. Il y va des préparatifs harassants que ce rendez-vous pédagogique engendre aux parents d’élèves.