Le scénario du pire est mis en œuvre à Rafah, à l’extrême sud de Ghaza, localité frontalière avec l’Egypte, dernier refuge pour les Ghazaouis après leur fuite du Nord et du Centre. Les attaques génocidaires israéliennes, ces deux derniers jours, ont déjà provoqué la mort de près d’une centaine de Ghazaouis avec comme résultat la libération de seulement deux otages. Trois autres sont morts et cinq gravement blessés.
Hier encore la cruauté s’est manifestée dans toute sa barbarie dans le quartier Cheikh Redouane, un des toponymes martyrs dans la cartographie de l’horreur qu’Israël fixe quotidiennement comme autant de plaies dans le corps de Ghaza.
La frêle vie de la fillette Hind Rajab, six ans à peine, a été emportée comme un fétu de paille par l’ouragan de la guerre sans nom que livre la machine à tuer d’Israël aux populations de Ghaza.
Un système d’information continue sur l’état des routes sera mis en place dans chaque wilaya, a annoncé le ministre des Travaux publics jeudi dernier devant les députés.
Depuis la Seconde Guerre mondiale, c’est la sphère arabe, voire musulmane, qui est devenue le principal théâtre de conflits permanents et de guerres d’envergure.
Quatre mois après le début de la guerre d’extermination menée contre les civils à Ghaza et en Cisjordanie, l’Etat sioniste vient d’ouvrir un nouveau front. Il s’attaque, désormais, à l’Office de secours et de travaux des Nations unies pour les réfugiés de Palestine dans le Proche-Orient, plus connu par l’Unrwa (United Nations Relief and Works Agency for Palestine Refugees in the Near East).
La bonne santé du mouvement associatif se révèle d’une importance capitale dans la vie du pays. Cela est d’autant plus vrai quand il draine et fait contribuer les élites et les compétences dans les divers secteurs et activités. Les organisations professionnelles et de la société civile ont cet atout d’agir dans leur strict domaine sans contingences qui viendraient saturer leur démarche et les éloigner du but initial.
Le secteur de l’Éducation nationale est aux prises avec de nombreux défis, au centre desquels figure le besoin de prendre le virage de la qualité. Maintenant que les salaires et les statuts des enseignants ont été revalorisés, il serait utile de lancer un débat pour toucher l’essentiel, à savoir instaurer un modèle de gouvernance qualitative de la profession enseignante, qui tient un rôle prépondérant.
Comme au bon vieux temps de la guerre civile.» La boutade de certains chroniqueurs de l'actualité de ces dernières semaines aux Etats-Unis grossit certainement le trait, mais les événements récents dans l'Etat emblématique du Texas donnent à voir un des effets saillants de la polarisation politique entre démocrates et républicains.
Le dossier de la réforme des programmes scolaires a été évoqué jeudi dernier à l’occasion d’une question orale adressée par un membre du Conseil de la nation au ministre de l’Education nationale.
Une nouvelle trêve entre Israéliens et Palestiniens, en négociation actuellement, pourrait rapidement voir le jour, même si, publiquement, Tel-Aviv affirme qu’il ne cédera pas aux exigences du Hamas.
Les désillusions en football ont toujours été amères. Elles sont difficiles à surmonter, surtout lorsqu’il s’agit de l’élimination «non digérable» d’une compétition, au moment où tout un peuple s’attendait à vivre le sacre de son équipe. La sortie précoce des Verts de la CAN en Côte d’Ivoire, la deuxième de suite, après l’édition du Cameroun, continue à ce jour d’animer les débats les plus passionnés, atteignant parfois des niveaux décevants.
La promotion de daïras au statut de wilayas déléguées puis au rang de wilayas de plein exercice entre dans la stratégie de décentralisation administrative et du rapprochement du citoyen des instances de décision.
La capitale ougandaise, Kampala, vient d’accueillir deux événements géopolitiques réunissant les pays du Sud Global : le 19e Sommet du Mouvement des non-alignés (MNA) et le 3e Sommet du Sud du G77 +Chine.
Comme un seul homme, les médias occidentaux ont mis en sourdine et fait passer au deuxième plan le drame qui se joue tous les jours à Ghaza et en Cisjordanie. Télés et journaux du monde après avoir abondamment, depuis le 7 octobre dernier, péroré sur «l’acte terroriste d’agression sur Israël», voilà que depuis quelque temps les actes de crimes de guerre de l’armée israélienne ne sont plus cités, alors que des sources palestiniennes intra muros indiquent que des centaines de Ghazaouis, femmes et enfants en grand nombre, sont massacrés ou amputés.
Il est des activités qui ne peuvent connaître une véritable relance qu’à une échelle multisectorielle, faisant concourir les moyens et les actions à différents niveaux de la vie nationale.
Durant toutes les guerres qu’ils ont connues depuis 1948, les Palestiniens ont fait preuve d’un attachement indéfectible à leur culture. Même pendant les pires épreuves sous l’occupation sioniste et les sièges les plus impitoyables, ils ont tenu à leur identité et leurs traditions.
Un tir de roquettes de combattants du Hamas a mis, avant-hier, hors d’état de nuire 24 officiers et soldats de l’armée israélienne à Ghaza, ce qui a lourdement aggravé le bilan des militaires tués depuis 110 jours estimé à plus de 200, avec des milliers de blessés lourds. Jour noir, dit-on en Israël, où depuis le 7 octobre dernier, les mythes se sont effondrés un à un face aux nouvelles réalités.
L’Afrique se montre au monde dans ses beaux et prometteurs atours à l’occasion de la CAN-2024. Spectacle haut en couleur dans les gradins des stades et leurs alentours, convivialité spontanée et festive dans les rues, passions et performances sportives de haut niveau sur les terrains…
Le dessin est émouvant : il montre Handhala, le personnage emblématique du caricaturiste palestinien Naji Al Ali, assassiné en 1987 à Londres, en compagnie d’un autre petit garçon qui, comme lui, est pieds nus et ne grandit pas. Son acolyte est précisément un gamin africain qui se dresse à ses côtés en tendant le bras autour de son épaule dans un geste plein d’empathie.