Accusation non fondée ou révélation étayée de preuves formelles, la nouvelle donne froid dans le dos
C’est la reddition totale de l’Espagne devant la monarchie marocaine. Après avoir annoncé que son pays soutenait désormais le plan d’autonomie marocain au Sahara occidental, concocté par Rabat, voilà que le chef du gouvernement espagnol, Pedro Sanchez, fait un voyage à Rabat pour s’engager dans un approfondissement des relations entre les deux pays, mais contre les intérêts espagnols.
Chaque jour, les prix augmentent et chaque jour les autorités donnent l’impression d’être dépassées et surtout incapables de freiner la flambée due à la spéculation et la cupidité des intervenants.
Sous le règne de Bouteflika, lorsque Issad Rebrab avait tenté d’acquérir la télévision du groupe El Khabar, les dirigeants de l’époque avaient bloqué la transaction.
Comme chaque année, le mois de Ramadhan reste la période durant laquelle les Algériens s’aperçoivent plus que d’habitude de l’évolution des prix des produits alimentaires qui ne riment qu’avec l’augmentation.
Secteur traditionnel par excellence, la sidérurgie algérienne émerge en pleine forme à l’export. Une bonne forme qui s’explique d’abord par le rebond très fort de la demande d’acier sur le marché mondial sur fond de conflit en Ukraine qui bouleverse de nombreux secteurs économiques à travers le monde.
Il n’est pas rassurant que ce soit le secteur du commerce qui polarise l’attention sur la scène nationale
Le propriétaire veut fermer le journal Liberté et déposer le bilan le 6 avril prochain. La nouvelle, divulguée d’abord sur les réseaux sociaux puis sur des médias en ligne, a fait l’effet d’un séisme et pas seulement dans les milieux médiatiques. L’affliction domine l’opinion. Liberté, âgé de 30 ans, l’âge de l’expérience démocratique de notre pays, a marqué l’Algérie et les Algériens et l’idée de sa disparition ne laisse personne indifférent.
L’Algérie ne participera pas à la Coupe du monde de la FIFA Qatar 2022 dont le tirage au sort des groupes (32 équipes) sera effectué demain à Doha.
Des images qui font plaisir à voir : celles de ces processions de visiteurs descendant du tram à la station Pins Maritimes avant de se ruer par milliers sur les pavillons de la Safex qui abritent le SILA.
Pour toutes les populations du monde, la guerre entre la Russie et l’Ukraine est le conflit le plus menaçant depuis la Seconde Guerre mondiale. Il est porteur de deux périls, la détérioration des conditions économiques à l’échelle planétaire et une possible confrontation militaire directe entre les Etats-Unis et la Russie, y compris à travers le recours aux armes nucléaires.
Un choc pétrolier» pour les uns et «euphorie pétrolière» pour les autres. Le conflit armé en Ukraine modifie le paysage géopolitique avec de profondes conséquences pour l’économie mondiale.
Aliment de base dans la partie du monde où le modèle de consommation s’affirme comme la conséquence des retards en matière de développement économique et humain, le blé va peser dans ces contrées plus que ne peuvent peser le gaz ou le pétrole...
Les partenariats dits «stratégiques» que l’Algérie a conclus avec des pays étrangers auxquels elle est censée être liée par des relations d’excellence trahissent, dans certains cas, des réalités, des calculs étroits et des égoïsmes...
On pensait naïvemement que depuis le milieu du siècle dernier, la colonisation était inexorablement vouée à l’extinction et que des pouvoirs politiques n’allaient plus être tentés d’accaparer les terres d’autrui et asservir des peuples.
A cause des tensions qui affectent le marché mondial des céréales, conséquence du conflit armé en Ukraine, l’Algérie se retrouve une nouvelle fois face au défi de développer sa production céréalière pour assurer son autosuffisance.
Quand le moral national est à zéro, le trafic et la consommation de drogue prennent l’ascenseur. La cocaïne pour les riches, les psychotropes pour les pauvres.
Sans surprise, l’Espagne a renié ses engagements politiques, moraux, humanitaires avec le peuple sahraoui. Le chef du gouvernement espagnol, Pedro Sanchez, toute honte bue, a annoncé que son pays renonçait à tous ses engagements et au respect de la légalité internationale pour soutenir le plan d’autonomie proposait par Rabat au Sahara occidental. Cette volte-face n’est pas étonnante.
L’année du soixantième anniversaire de l’accès à l’indépendance sera jalonnée de haltes historiques commémorant le combat des Algériens pour le recouvrement de la souveraineté nationale.
L’acte fondateur de la lutte armée contre la force coloniale, lui-même aboutissement de la somme de luttes antérieures, puis la victoire acquise au prix de sacrifices aux dimensions rares dans l’histoire des mouvements de libération dans le monde agissent encore comme le maître repère dans toute définition de la substance nationale et ses traductions en actes sociétaux et institutionnels.