Les séances d’audition devant les commissions spécialisées de l’Assemblée populaire nationale méritent une grande diffusion auprès de l’opinion publique dès lors qu’elles concernent des secteurs d’activité de la plus haute importance pour les citoyens.
La vidéo de quelques minutes que des chaînes de télévision ne cessent de diffuser ces derniers jours, pour être reprise en continu sur YouTube et sur les réseaux sociaux, est inédite dans l’histoire de la Palestine depuis la Nakba de 1948. Elle rappelle étrangement des scènes de famine en Afrique à une époque où les civils innocents payaient le lourd tribut des conflits armés.
C'est le summum de l’hypocrisie, ce largage sur Ghaza par Washington, par voie aérienne, de quelques milliers de «doses» de nourriture.
Une note programmatique avait accompagné le report, le mois dernier, de l’examen du projet de statut particulier des personnels de l’Education. L’exigence de «définir les priorités, selon une vision moderne qui met la formation qualitative des générations futures au cœur des préoccupations» est mise en préambule de cette réforme voulue par les professionnels du secteur.
Le Forum des pays exportateurs de gaz (GECF) vient de parapher la «Déclaration d’Alger» adoptée à l’issue du 7e Sommet de cette organisation qui prône une régulation équitable et vertueuse du marché international du gaz, un plaidoyer déjà formulé lors du précédent Sommet qui s’est tenu, il y a deux ans, à Doha.
Cela fait déjà 150 jours que les images du génocide perpétré par l’Etat criminel d’Israël contre le peuple palestinien à Ghaza inondent les médias et les réseaux sociaux dans le monde. Une barbarie rappelant tout ce que l’humanité avait connu depuis la Deuxième Guerre mondiale, en passant par les atrocités commises au Vietnam, au Liban jusqu’aux massacres de Srebrenica en Bosnie-Herzégovine.
Le changement climatique a atteint un niveau tel, qu’il exige de mener de front, parfois simultanément, les plans de lutte et de prévention contre les inondations et aussi contre les feux de forêt.
Avant même son entame, le Ramadhan fait déjà parler de lui. Une première victime collatérale vient d’être rendue publique par le ministre de l’Agriculture en limogeant un des cadres de son secteur chargé de la gestion de la viande rouge. Il faut dire que cette denrée est toujours prisée par le citoyen qui n’hésite pas à s'endetter pour parfaire le goût de sa chorba.
Une nouvelle trêve entre le Hamas et Israël est prévue en début de semaine prochaine et pourrait durer tout le mois de Ramadhan.
La rupture avec les anciennes méthodes de gestion, qui ont le plus souvent conduit au marasme et au statu quo plutôt qu’à un essor social et économique, suppose la mise en place de nouveaux modes de fonctionnement à même de garantir l’efficacité et la performance.
Sur fond d’une confluence de tensions géopolitiques, notamment depuis l’éclatement du conflit armé en Ukraine, l’Europe se tourne vers l’Afrique pour sécuriser une partie de ses approvisionnements en énergie.
Dans son célèbre roman La Peste, publié en 1947, Albert Camus, prix Nobel de littérature en 1957, avait écrit : «Quand une guerre éclate, les gens disent : ''Ça ne durera pas, c'est trop bête.''Et sans doute une guerre est certainement trop bête, mais cela ne l’empêche pas de durer.
L’examen du système de santé en vue de son renforcement et de son redéploiement avec une plus grande performance est sans doute le dossier qui focalise le plus l’attention des citoyens. Les attentes sont multiples et lancinantes dans un secteur marqué par un fort investissement de l’Etat et un fonctionnement encore en deçà du niveau optimal, notamment dans les centres et unités de soins de proximité.
L’histoire et la géographie placent fatalement et cycliquement «le monde arabe», sa composante moyen-orientale notamment, au centre d’événements géopolitiques majeurs, avec cette plaie de fixation permanente dénommée Israël.
La commémoration, dimanche dernier, de la Journée nationale du Chahid a été marquée par l’inauguration de nombreux projets de développement local à travers le pays. Les cérémonies de recueillement à la mémoire des martyrs de la Guerre de Libération nationale ont été tout naturellement suivies d’activités pour la mise en service de nouveaux équipements publics et de structures parfois modestes mais d’un impact certain dans l’amélioration des conditions de vie des citoyens.
Netanyahu lance un nouveau défi, aux terribles conséquences, en sommant le Hamas de libérer les otages avant le début du Ramadhan auquel cas son armée détruira Rafah, avec sa population réfugiée.
Que serait l’Afrique si ses différents pays arrivaient à concrétiser leur intégration économique et à se fédérer autour de projets économiques concrets ? Jusque-là, les pays africains s’orientaient principalement vers l’étranger et très peu vers leur voisinage immédiat. Entamé timidement dans les années 1960, le vaste et long chantier de l’intégration du continent s’accélère désormais.
L’attaque du Hamas du 7 octobre 2023 a mis les gouvernements occidentaux et une partie de leurs classes politiques face à eux-mêmes, c'est-à-dire tels qu’ils sont conçus pour défendre leurs intérêts exclusifs et ceux de leur allié inconditionnel, Israël.
La célébration, demain, de la Journée nationale du Chahid sera une autre occasion d’interroger l’histoire et de mieux connaître le parcours de ses artisans dont le combat et le sacrifice ont rendu possible et inéluctable l’indépendance nationale.
Dans un monde où toutes les valeurs humaines ont été anéanties, nul ne peut être insensible aux atrocités commises depuis 130 jours dans la Bande de Ghaza par l’Etat criminel d’Israël.