L’attaque du Hamas du 7 octobre 2023 a mis les gouvernements occidentaux et une partie de leurs classes politiques face à eux-mêmes, c'est-à-dire tels qu’ils sont conçus pour défendre leurs intérêts exclusifs et ceux de leur allié inconditionnel, Israël.
Comme un seul homme, les médias occidentaux ont mis en sourdine et fait passer au deuxième plan le drame qui se joue tous les jours à Ghaza et en Cisjordanie. Télés et journaux du monde après avoir abondamment, depuis le 7 octobre dernier, péroré sur «l’acte terroriste d’agression sur Israël», voilà que depuis quelque temps les actes de crimes de guerre de l’armée israélienne ne sont plus cités, alors que des sources palestiniennes intra muros indiquent que des centaines de Ghazaouis, femmes et enfants en grand nombre, sont massacrés ou amputés.
La grande famille des journalistes sportifs n’en finit pas d’être endeuillée par le décès de ses membres. Cette fois, ce sont les regrettés Djamel Boukercha, journaliste, et le photographe professionel Amine Chikhi, qui nous ont quittés pour rejoindre l’Eternel.
Après le FMI qui a renvoyé aux calendes grecques la demande de prêt de la Tunisie d’un montant souhaité de 1,9 milliard de dollars, c’est au tour de la Banque mondiale d’en faire autant.
La Méditerranée centrale a connu, dimanche dernier, un de ses naufrages les plus meurtriers.
Lors de son entrevue périodique avec les médias nationaux diffusée vendredi soir, le président de la République n’a pas tari d’éloges sur cet «ami de toujours» que représente l’Etat italien et son peuple.
Dans un discours à la nation de près de deux heures, et à trois jours de boucler une année de conflit en Ukraine, le président Vladimir Poutine n’a pas fait dans la dentelle et a revêtu sa tenue de combat contre certains pays occidentaux.
Le président palestinien, Mahmoud Abbas, a insisté samedi dernier auprès du chef de la diplomatie américaine, Antony Blinken, pour soutenir, au Conseil de sécurité de l’ONU, la résolution palestinienne demandant des sanctions contre l’entité sioniste afin de mettre fin à ses actions unilatérales en Palestine occupée, bafouant le droit international.
La guerre entre la Russie et l’Ukraine est le plus important point de tension depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale.
Quatre pays européens et les Etats-Unis se sont élevés hier contre le projet israélien de légaliser neuf colonies en Cisjordanie occupée et de procéder à la construction de nouveaux logements dans les colonies déjà existantes.
A quelques jours de la commémoration des événements sanglants de Sakiet Sidi Youcef, perpétrés par la France coloniale, qui a fait couler le sang des martyrs tunisiens et algériens un certain 8 Février 1958, les deux pays frères viennent encore une fois d’être atteints par la perfidie et les coups bas, mais gardent une amitié intacte et solide, témoins de relations profondes saines et durables.
Alger et ses faubourgs risquent énormément en cas de survenance subite d’un tremblement de terre à haute intensité. Les Algérois craignent énormément d’être surpris par le Big One, appellation donnée par les Américains au supposé tremblement de terre de pointe à la magnitude très élevée que les sismologues prédisent un jour à la mégalopole de San Francisco (aujourd’hui près de 10 millions d’habitants).
Alors que les «risques d’escalade» augmentent, le monde se dirige «les yeux grands ouverts» vers «une guerre plus large», s’est alarmé lundi le secrétaire général de l’ONU.
Le plastique est un produit à base de combustible fossile qui se dégrade sur des siècles, mais ne se désintègre jamais complètement.
Plus de 60 ans après l’indépendance, les institutions algériennes continuent d’être «hébergées» dans des infrastructures héritées de la période coloniale.
Le chancelier allemand, Olaf Scholz, s’est dit «profondément bouleversé» après les «terribles attentats perpétrés à Jérusalem-Est qui ont fait sept morts et deux blessés».
Le chancelier allemand, Olaf Scholz, s’est dit «profondément bouleversé» après les «terribles attentats perpétrés à Jérusalem-Est qui ont fait sept morts et deux blessés».
Le président de la République s’est penché, lors du Conseil des ministres tenu mardi, sur certains aspects dramatiques qui minent la vie quotidienne des citoyens et parfois l’endeuillent comme d’authentiques fléaux potentiels.
Le président de la République a mis en avant, jeudi dernier, la prise d’initiatives des walis et des assemblées locales élues pour leur permettre de jouer un rôle efficace, dans ces temps nouveaux, en faveur de l’amélioration des conditions de vie des citoyens.
L’amélioration des conditions de vie des citoyens a été un thème récurrent des interventions du chef de l’Etat, qui en fait un référent constant de sa politique sociale en direction du plus grand nombre et surtout des couches les plus défavorisées.