Résidant au Canada, Lazhar Zouaïmia était rentré au pays pour un séjour de courte durée. Il est poursuivi pour une dizaine d’accusations, notamment «apologie du terrorisme» et «financement d’une organisation terroriste».
C’est un tableau noir qu’a dressé le Parti des travailleurs (PT), à l’occasion du troisième anniversaire du hirak, à propos de la situation politique et des droits de l’homme et des libertés dans le pays. «L’interdiction de toute activité politique commémorative du soulèvement du 22 février 2019, l’arrestation de dizaines de citoyens et les arrestations continues viennent confirmer, si besoin était, encore la régression sans précédent depuis 1988 sur le terrain des libertés d’opinion, d’expression, d’organisation politique, de presse, de manifestation et rassemblement, arrachées grâce au sacrifice de 500 jeunes», a indiqué, dans un communiqué, le secrétariat du bureau de cette formation politique, pour qui, «la criminalisation/judiciarisation de l’action politique est érigée en système».
Lors de la clôture de la réunion gouvernement-walis de septembre dernier, le Premier ministre, Aïmene Benabderrahmane, avait promis qu’il allait procéder à l’ouverture prochaine d’ateliers devant réfléchir sur la révision du statut général de la Fonction publique. Ceci dit, il n’a pas donné de pistes pouvant renseigner sur les changements envisagés.
Une descente policière des plus insolites a eu lieu dans la nuit de lundi à mardi derniers à bord du navire de transport des voyageurs Bordj Badji Mokhtar, en partance à partir du port d’Alger vers Marseille. Des dizaines d’agents des Brigade de recherche et d’investigation (BRI), Brigade de répression du banditisme (BRB) et Brigade mobile de la police judiciaire (BMPJ) ont investi le navire,vers 23h, accompagnés de leurs collègues de la police scientifique et ont passé au peigne fin les cabines et les véhicules des voyageurs qu’il transportait alors qu’il s’apprêtait à larguer les amarres, c’est-à-dire après l’accomplissement des formalités administratives douanières.
Bonne nouvelle. Les jeunes bénéficiaires des Dispositifs d’aide à l’insertion professionnelle et sociale (DAIP et DAIS) pourront bénéficier d’une intégration définitive. Une déclaration qui devrait mettre fin à de longues années d’attente caractérisées par des élans de colère et de manifestation.
Mahmoud Rechidi rappelle au ministère de l’Intérieur que sa procédure de suspendre les activités du parti, engagée auprès du Conseil d’Etat, n’est qu’un acharnement.
La justice sociale est un principe politique et moral qui promeut l’égalité des droits et la solidarité, mais également la distribution équitable des richesses.
Le pôle pénal économique et financier du tribunal de Sidi M'hamed (Alger) a reporté, mercredi 23 février, au 9 mars prochain, le procès des accusés dans l'affaire du groupe agroalimentaire "Benamor".
Notre correspondant à Jijel, Riadh Hadji, a passé toute la journée de mardi 22 février au commissariat du 5ème arrondissement de la sûreté de wilaya de Jijel, pour des raisons inconnues.
Le ministre des Transports, Aïssa Bekkaï a présidé, mardi 22 février, au port d'Oran la cérémonie de réception de 4 navires à quai de production locale.
Des personnalités nationales, des acteurs du mouvement citoyen, des militants de la société civile et des intellectuels lancent une nouvelle initiative politique pour la concrétisation des revendications du hirak.
L ’on ne sait pas quelle sera la destinée d’El Watan dans un, deux ou trois mois, peut-être moins de temps qu’espéré, mais ce que nous pouvons vous confirmer, chers lecteurs, c’est que depuis la dernière alerte qui avait ébranlé bien des certitudes sur la situation très critique du journal au plan des équilibres financiers, celle-ci n’a fait qu’empirer pour atteindre aujourd’hui un degré d’enlisement menaçant gravement les chances de survie de la publication.
El Watan est contraint d’augmenter le prix de vente de la publication à 40 DA à partir du 1er mars prochain, mesure qui s’impose aujourd’hui comme une urgence vitale.
Plusieurs partis de l’opposition alertent sur l’ampleur de la crise politique qui dure dans le pays et dénoncent les fuites en avant du pouvoir en place et sa politique du tout-répressif. Ils appellent, à l’occasion de la célébration du 3e anniversaire du hirak du 22 février 2019, à revenir, tant qu’il est encore temps, à la solution politique qui «est toujours possible».
Les citoyens découvrent ce matin du 22 février, date d’anniversaire de l’enclenchement du hirak, une ville quadrillée par les services de sécurité.
Le procès en appel de Fethi Gheras, coordinateur national du Mouvement démocratique et social (MDS) algérien, est programmé pour le 1er mars.
Plusieurs personnes ont été interpellées hier, à travers au moins une dizaine de wilayas. Durant toute la journée, le Comité national pour la libération des détenus (CNLD) n’a cessé de rapporter des informations sur des interpellations intervenues à l’occasion du troisième anniversaire du hirak.
Trente et une (31) personnes sont mortes et 1355 autres ont été blessées dans 1190 accidents de la circulation durant la même période du 13 au 19 février, selon un bilan hebdomadaire établi mardi 22 février par la Protection civile.
Le Président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune entame mardi 22 février une visite officielle de deux jours à l'Etat du Koweït, a indiqué un communiqué de la Présidence de la République.
Les opérations de restauration, en cours sur sept projets de réhabilitation de palais, monuments et bâtisses historiques du secteur sauvegardé de la Casbah d'Alger enregistrent un taux d'avancement global de 65%, a-t-on appris auprès de la Direction des équipements publics (DEP) de la Wilaya d'Alger, en charge du dossier Casbah.