Le Premier ministre, ministre des Finances, Aïmene Benabderrahmane, a insisté sur la modernisation du système de santé et sur la bonne gouvernance basée sur les normes et standards internationaux.
Qualifiant ce procédé de «dérive», le PAD estime qu’il «traduit une volonté d’encamisoler la société».
Cette décision mènera vers une paralysie totale des tribunaux et des cours de justice à l’échelle nationale, après la grève des greffiers entamée la semaine dernière et qui se poursuit.
Plus de 300 juristes, universitaires, hommes politiques, militants et journalistes ont signé, hier, une pétition (https://www.leslignesbougent.org/petitions/large-solidarite-5930/) pour la défense des droits constitutionnels des Algériens face à la répression. «S’organiser et se réunir sont des droits constitutionnels», «Non à la criminalisation des activités citoyennes : politiques, associatives et syndicales !» «libérez les détenus d’opinion et les journalistes !» réclament les signataires en dressant un tableau sombre de la situation des droits de l’homme en Algérie.
Au lendemain de la signature du décret présidentiel portant convocation du collège électoral en vue du renouvellement de la moitié des membres élus au Conseil de la nation, qui aura lieu le 5 février 2022, le phénomène de l’achat des voix a refait surface dans la wilaya de Annaba.
Alors que son procès en appel lié à l’annulation des mandats d’arrêt internationaux contre Chakib Khellil et les membres de sa famille est prévu le 30 janvier, l’ancien ministre de la Justice, Tayeb Louh, devra être jugé pour une seconde affaire avec son ex-inspecteur général, Benhachem, et Noah Kouninef, le 24 janvier.
Dans cet article, il ne s’agit pas d’une autre recension du livre de Daho Djerbal, Lakhdar Bentobbal. Mémoires de l’Intérieur (éditions Chihab), après celle que nous lui avons consacrée (voir El Watan du 23 novembre 2021). Le propos ici est simplement de mentionner quelques passages, quelques confidences «croustillantes», quelques anecdotes qui méritent qu’on s’y attarde en ce que ces morceaux choisis révèlent le trait de caractère de tel ou tel dirigeant de la Révolution ou bien permettent d’éclairer d’un jour nouveau un événement particulier ou un épisode méconnu.
Le coordinateur national du Mouvement démocratique et social (MDS), Fethi Ghares, est condamné à deux ans de prison ferme, assorti d’une amende de 200 000 dinars.
L’opéra d’Alger «Boualem Bessaih» va célébrer le nouvel an amazigh (Yennayer), décrété officiellement fête nationale le 12 janvier de chaque année.
La spéculation illicite est définie comme «tout stockage ou rétention de biens ou de marchandises visant à provoquer une pénurie sur le marché ou une perturbation des approvisionnements au niveau du marché, et toute hausse ou diminution artificielle des prix des biens ou marchandises ou des billets de banque».
Le Rassemblement pour la culture et la démocratie (RCD) semble dans le collimateur du ministère de l’Intérieur. Après avoir engagé des actions judiciaires contre l’UCP, le PST, le département de Kamel Beldjoud brandit la menace de suspension de la formation présidée par Mohcine Belabbas. Motif : l’accueil au siège du parti d’une rencontre du Front contre la répression et les libertés, tenue le 24 décembre dernier, avec la participation d’acteurs politiques de divers horizons.
Air Algérie manque actuellement de liquidités financières en raison de la crise de la Covid-19 qui a considérablement réduit son activité malgré la reprise des vols internationaux vers certaines destinations. Elle reste néanmoins loin du rythme avec lequel elle fonctionnait avant la propagation de la pandémie.
Les activités pédagogiques en présentiel dans les établissements du supérieur ont repris, dimanche dernier, sous le même protocole sanitaire adopté depuis maintenant deux ans en raison de la crise sanitaire.
L’ex-Premier ministre Abdelmalek Sellal s’est défendu, jeudi dernier, en affirmant avoir assumé «une fonction politique» et, de ce fait, il n’est ni un agent public ni un fonctionnaire pour être visé par la loi sur la corruption. Il qualifie les poursuites de «nulles et non avenues» et précise que la décision prise en tant que Premier ministre était politique et collégiale. Les deux anciens walis Mohamed Hattab et Abdelkader Zoukh ainsi que l’ex-ministre des Ressources en eau, Hocine Necib, ont tous nié les faits qui leur sont reprochés.
En prévision d’une éventuelle hausse de la demande en oxygène médical au vu de la résurgence du nombre de contaminations de la Covid-19 et dans le cadre de la concertation gouvernementale, le ministre de l'Industrie pharmaceutique, Lotfi Benbahmed, a présidé hier une réunion avec le ministre de l'Energie et des Mines, Mohamed Arkab, et le ministre de l'Industrie, Ahmed Zeghdar, au siège du ministère de l’Industrie pharmaceutique, une réunion de travail et de coordination.
L’ancienne ministre de la Culture sera jugée avec deux autres prévenus, par le pôle financier économique près le tribunal de Sidi M’hamed, pour «octroi d’indus avantages» et «abus de fonction».
Dans l’optique d’aboutir à la généralisation de l’enseignement de tamazight au niveau géographique et dans les trois paliers ainsi que l'actualisation des contenus dispensés, un mémorandum portant sur un cadrage stratégique de promotion de l’enseignement de cette langue sera remis, prochainement, au président de la République.
Pour le Parti des travailleurs (PT), l’année 2022 commence avec la dégradation de la situation sur tous les plans, notamment sanitaire, et également avec son lot d’atteintes aux libertés démocratiques.
Inadéquation de la formation, absence de débouchés professionnels et inquiétudes pour l’avenir… Les étudiants des différents instituts de technologie à travers le pays lancent un véritable SOS.
L’ambassadeur d’Algérie à Paris, Mohamed Antar Daoud, reprendra, dès aujourd’hui, ses fonctions dans la capitale française, trois mois après la crise diplomatique aiguë entre les deux pays. C’est ce qu’a annoncé, hier, la présidence de la République dans un communiqué rendu public.