Les fortes précipitations ont causé quelques désagréments, principalement dans la ville de Bejaïa où des axes routiers et des quartiers ont été inondés, et la scolarité des élèves perturbée, à travers plusieurs établissements.
La commune de Chorfa, à l’est de Bouira, est l’une des rares au niveau de la wilaya qui ne dispose pas d’une bibliothèque communale.
Les citoyens concernés par l’opération d’expropriation dans le cadre du méga-projet minier d’extraction de zinc et de plomb de Tala Hamza-Amizour, dans la wilaya de Béjaïa, ont organisé, hier, un rassemblement au niveau de la base de la SPA, Western Mediterranean Zinc (WMZ), située sur la RN75, reliant Béjaïa à la ville d’Amizour, afin de contester les tarifs appliqués lors de la procédure d’indemnisation. Ces derniers revendiquent des prix «équitables».
Smaïl Mira, fils du chahid, a indiqué que le fondateur des maquis de la Soummam a été décoré colonel par le FLN, à titre posthume, en 1964.
Après un mois d’activités intenses à travers plusieurs localités et établissements, dans le cadre de la campagne de sensibilisation et de dépistage du mois d’Octobre rose, l’association Tudert a enregistré 74 cas suspects sur 1887 ayant effectué le test de dépistage.
Evoquant le projet de réalisation du centre anticancer d’Amizour, dont l’inauguration du service de radiothérapie devrait intervenir avant la fin de l’année, comme promis par le wali en mai au micro de la radio locale, les membres de l’association Tudert rebondissent sur un autre projet auquel ils tiennent.
Pour le traducteur du livre, Ahmed Aït Bachir, ce travail laborieux est un modeste hommage à cette grande dame, «à la famille Amrouche qui a tant donné à notre culture, mais à toutes les femmes anonymes qui ont souffert en silence».
l Organisée par l’association culturelle Asalas, en partenariat avec le Centre de recherche en langue et culture amazighes, qui prendra en charge le volet scientifique de ce salon, cette activité culturelle s’installera cinq jours durant, du 28 octobre au 1er novembre au grand bonheur des passionnés de la littérature.
Les inscriptions au semi-marathon international, prévu le 8 novembre prochain à Béjaïa, se poursuivent jusqu’au 6 novembre, selon les organisateurs, à travers le site de l’Athlétique méditerranéen club Béjaïa (AMCB). Dès l’ouverture de l’opération des inscriptions, les organisateurs, qui aspirent atteindre cette année au moins 8000 participants, ont enregistré près de 4000 inscrits.
Les services de la conservation des forêts de la wilaya de Béjaïa ont lancé la campagne de reboisement depuis la commune de Boukhlifa, à une dizaine de kilomètres à l’est de Béjaïa, une localité qui a souffert ces deux dernières années des incendies de forêt.
Le Directeur général de la Sûreté nationale (DGSN), Ali Badaoui, a procédé, hier, à l’inauguration de plusieurs structures de sûreté, dans le cadre d’une visite de travail et d’inspection à Béjaïa, une wilaya qu’il a connue alors qu’il était chef de sûreté, avant d'être promu en 2022 au grade de contrôleur général, puis nommé à la tête de l’institution policière, la DGSN.
Le Festival international du théâtre de Béjaïa s'est clôturé hier soir au TRB Abdelmalek Bouguermouh, avec une dernière présentation théâtrale venue cette fois du Moyen-Orient, la Jordanie.
La dernière soirée de la 13e édition du Festival international du théâtre de Béjaïa a été marquée par un hommage rendu à Fatima Hellilou, une icône du théâtre et du cinéma algérien.
«Il y avait une vraie conscience politique chez la communauté algérienne de France. Celle-ci a été façonnée par plusieurs facteurs et éléments. Des événements et des actes ayant précédé la manifestation du 17 Octobre 1961 ont contribué à l’éveil politique», constate l’anthropologue Yazid Ben Hounet.
l Un pari réussi par les organisateurs du FITB qui ont sorti le théâtre dans la rue et à travers au moins huit communes sur les 52 que compte la wilaya de Béjaïa.
l L’histoire originale d’Anton Tchekhov, L’Ours, a atterri lundi sur les planches du théâtre régional de Béjaïa a l’occasion de la 5e journée du Festival international du théâtre professionnel (FITPB), abrité par la capitale des Hammadites depuis le 10 octobre.
Produite par le TN de Tunis en collaboration avec le Centre des arts dramatiques et scéniques de la ville de Kef et le Centre des arts dramatiques et scéniques de Zaghouan, l’œuvre a réuni une «brochette» de comédiens de talent, qui ont su conduire le public, à travers la pièce Danse Céleste, dans un voyage à travers les âges, des lieux, un va-et-vient incessant entre le XVIIe et le XXIe siècles, entre le monde des darawiches et le monde digitale. Le travail du metteur en scène, Taher Issa Ben Arabi, est visiblement influencé par l’art cinématographique.
La trame de l’histoire Lahwawi fait l’impasse sur une descente aux enfers d’un artiste, préférant le présenter dans sa phase de «pré-mort».
Hassiba Belkhidar est une passionnée de philatélie. Elle a découvert ce penchant à la collection des objets anciens à l’âge de 12 ans. « J’ai commencé à collectionner les articles d’une revue qui a disparu aujourd’hui, depuis le premier numéro.
Le nouveau quai affecté à l’activité de la mine de zinc et de plomb d’Amizour, dans la wilaya de Béjaïa, sera réceptionné cette fin d’année, selon le wali, Kamel Eddine Kerbouche.