L’instauration du système LMD comme mode d’enseignement, il y a presque deux décennies, n’a pas réussi à transformer l’université algérienne en une université performante.
Dans plusieurs pays, les archives documentaires sont menacées de dégradation par les aléas du temps ou de destruction par les incendies et les inondations. Seule la numérisation pourrait les préserver et les rendre accessibles à tous, sans risque d’endommager les documents originaux en les exposant physiquement.
L’Organisation météorologique mondiale (OMM) vient de publier ses nouvelles conclusions sur le coût humain et économique des catastrophes d’origine météorologique à l’occasion de son congrès quadriennal, tenu récemment à Genève (Suisse) et axé sur la mise en œuvre de l’Initiative des Nations unies «Des alertes précoces pour tous».
La gestion des déchets ménagers, mission qui incombe aux municipalités, n’est plus une question de collecte, mais de tri, transformation et surtout d’amélioration des conditions de travail des agents de ramassage.
La vaccination de routine, bien qu’elle n’ait pas été négligée pendant la pandémie de Covid-19, revient dans le programme des priorités du ministère de la Santé. Ainsi, le département de Abdelhak Saïhi a annoncé le lancement d’une campagne nationale de vaccination de routine au profit des enfants âgés de moins de 5 ans, mal ou pas du tout vaccinés.
L’Algérie vient de renforcer son arsenal juridique dans sa stratégie de prévention et de lutte contre la traite humaine. Au sens de la loi n° 23-04 du 7 mai 2023, publiée au Journal officiel, il est entendu par la traite des personnes, «le recrutement, le transport, le transfert, l’hébergement ou l’accueil d’une ou de plusieurs personnes, par la menace ou le recours à la force ou à d’autres formes de contrainte…» Le texte inclut la prostitution, l’asservissement ou le service forcé, l’esclavage, le mariage forcé et l’exploitation économique ou sexuelle.
Les wilayas ciblées par ladite formation sont à fort potentiel. El Oued s’est illustrée depuis plusieurs années par la production de la tomate industrielle et la pomme de terre.
Les accidents de la route sont l’une des principales causes de décès et d’invalidité dans le monde : ils font environ 1,3 million de morts et pas moins de 50 millions de blessés chaque année. À l’échelle mondiale, un décès sur quatre survient chez les piétons et les cyclistes. C’est ce que révèlent les statistiques livrées par l’Organisation des Nations Unies (ONU), à la faveur de la septième semaine mondiale de la sécurité routière, qui s’est clôturée hier. Le maître mot pour cette année est «Mobilité repensée».
Elle y est presque. L’Afrique est aux portes du G20. Depuis une année, l’Union africaine (UA) a dévoilé son intention de postuler pour un siège au sein du plus grand forum de coopération économique.
Les progrès mondiaux dans le secteur de la santé mère-enfant stagnent, voire régressent depuis huit ans, selon un rapport de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) publié cette semaine. Selon la nouvelle publication, présentée lors d'une conférence mondiale au Cap, en Afrique du Sud, plus de 4,5 millions de femmes et de bébés meurent chaque année pendant la grossesse, l’accouchement ou les premières semaines après la naissance. Ce qui équivaut à un décès toutes les sept secondes, principalement de causes évitables ou traitables si des soins appropriés avaient été disponibles. Une situation pour le moins inacceptable.
Misant sur la sensibilisation et la prévention, cette nouvelle approche, intitulée «Youth4Impact», (impact de la jeunesse) est rendue effective avec la collaboration de l’Office onusien contre la drogue et le crime (UNODC) pour la zone MENA (Romena).
Les représentants des OSC de plusieurs pays ainsi que des experts venus du Bangladesh, du Népal et des Pays-Bas ont échangé leurs expériences.
Dans un entretien accordé à la Radio nationale, en janvier dernier, une responsable de l'ONLCDT a évoqué une augmentation constante de drogue, tant dans la consommation que dans le trafic.
Avec l’augmentation du nombre de stations de dessalement de l’eau de mer, l’Algérie a définitivement retenu cette stratégie pour assurer sa sécurité hydrique. Anticiper les aléas dus aux changements climatiques, devenus réalité aujourd’hui, relève du bon sens en matière de gouvernance. Il n’est nullement concevable actuellement de se contenter de mesures conjoncturelles. L’eau se raréfie, et sans ce précieux liquide, la vie va en déclinant.
Lors du principal forum numérique du continent Transform Africa Summit (TAS) 2023, l’Algérie, par le biais de son ministre de l’Economie de la connaissance, des Start-up et des Micro-entreprises, Yassine Oualid, a appelé à la mise en œuvre de la Déclaration d’Alger pour le développement des start-up en Afrique.
A travers la Semaine mondiale de la vaccination, qui sera clôturée aujourd'hui, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) et ses partenaires ont tenté de combler le retard accusé dans les programmes de vaccination de routine auquel la pandémie de Covid-19 n’est pas étrangère.
C’est l’un des pivots de la réforme du système de santé. La numérisation, amorcée depuis plusieurs mois, n’est ni une lubie ni une vue de l’esprit.
Dans une instruction datant du début du mois en cours, le ministère de la Santé a saisi l’ensemble des responsables du secteur sur le territoire national, les sommant de relancer les activités dans les salles de soins. «L’amélioration de la qualité des soins de proximité constitue l’une des priorités du secteur, dont la salle de soins représente le premier niveau.
Le chapitre de l’évaluation des effets de la pandémie de Covid-19 sur les populations et les systèmes de santé n’est pas encore clôturé. Lors de sa 5e édition, le Forum mondial sur les ressources humaines pour la santé, organisé la semaine dernière à Genève (Suisse), sous l’égide de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), a dressé un constat alarmant : la moitié des personnels soignants a développé un syndrome du burn out ou épuisement professionnel.
A quelques jours de la célébration de la Journée mondiale de lutte contre le paludisme, l’Institut national de santé publique (INSP) annonce la mise en service prochaine d’un observatoire régional de la santé et des maladies tropicales, situé dans la wilaya de Tamanrasset.