Le projet de l’aménagement de la zone industrielle d’El Kseur, une des plus importantes ZI dont a bénéficié la wilaya de Béjaïa, enregistre un taux d’avancement de 96%.
Lancé en 2015, le projet de modernisation et de l’aménagement des gorges de Kherrata, à une soixantaine de kilomètres à l’est de Béjaïa, devrait être livré dans un mois. Selon le directeur de l’entreprise turque Özgün, en charge de ce programme avec deux autres sociétés, la totalité du projet sera livrée vers le 1er mai.
Dans le cadre de la coopération algéro-hollandaise, Janna Van der Velde, ambassadeur du royaume des Pays-Bas, a effectué, mercredi dernier, une visite de travail dans la wilaya de Béjaïa. A cette occasion, elle a visité les usines de production de la Laiterie Soummam, sises dans la zone industrielle de Taharacht, à Akbou.
En colère quant au retard accusé dans la réalisation de la pénétrante autoroutière Béjaïa-Ahnif (Bouira), le ministre des Travaux publics, de l’Hydraulique et des Infrastructures de base, Lakhdar Rekhroukh, a fixé le dernier délai de la livraison de l’avant-dernier tronçon du programme Takeriet-Timezrit, d’une longueur de 16 km et qui doit relier l’autoroute Est-Ouest à El Kseur, au 30 juin prochain.
Les deux entreprises engagées dans la réalisation du projet de la pénétrante autoroutière de Béjaïa doivent travailler d’arrache-pied afin de respecter le dernier délai avancé par l’Agence nationale des autoroutes (ANA).
Les listes des candidats aux élections partielles du 15 octobre 2022 qui concerneront quatre communes dans la wilaya de Béjaïa, à savoir M’cisna, Toudja, Akbou et Feraoun, sont enfin dévoilées par l’antenne de l’Autorité nationale indépendante des élections (ANIE) de Béjaïa.
La première édition du salon du livre de Takeriet (48 km au sud du chef-lieu de la wilaya de Béjaïa) se déroule depuis le 2 septembre, et ce, jusqu’au 6 septembre à l’école primaire du village, au grand bonheur des amoureux du livre.
Lancée à la fin du mois de juin dernier par le ministère de la pêche, l’opération d’enlèvement des épaves des bateaux échoués est achevée à 100% dans la wilaya de Béjaïa.
L’Office national de l’assainissement (ONA), unité de Béjaïa, a pris les devants, cette année, afin d’effectuer des opérations de curages préventifs des canalisations en prévision des gros orages d’automne qui inondent en cette période de nombreux boulevards et quartiers de la ville.
Les préparatifs de la première édition d’un Festival culinaire algérien sont cours. Placé sous le thème «un voyage à travers le temps», les initiateurs, à savoir l’association culturelle Espoir de la ville de Béjaïa, l’école hôtelière et de tourisme TassilIi Academy avec la participation des chefs Souad Saïdani et Fairouz ont choisi le Château de la Comtesse, sis dans la commune d’Aokas, à l’est de Béjaïa pour accueillir les concurrents, du 4 au 6 septembre 2022.
Afin de «désengorger» le portail et les couloirs de la direction de l’éducation de Béjaïa, une cellule d’écoute et de suivi des préoccupations des travailleurs vient d’être installée au niveau de l’établissement du moyen, le CEM Chahid Meziani Belkacem (Naceria).
Arrêté initialement au 19 août, le délai d’inscription au concours du village et quartier le plus propre de Béjaïa, qui a été prolongé de 10 jours, est arrivé à terme, aujourd’hui, 28 août.
Le principe de la primauté du politique sur le militaire, une des résolutions du Congrès de la Soummam chère aux congressistes, est rappelée à travers le discours des partis et les slogans des participants.
Des moyens aériens sont également engagés dans cette lutte contre les flammes, à savoir des hélicoptères de la Protection civile et de l’ANP ainsi que le bombardier d’eau russe, le BE200.
C’est une occasion, «d’honorer et de mettre en valeur ces intellectuels algériens, ces militants de la plume et du verbe au service de la libération nationale, à travers des portraits qui reviendront sur des parcours plus au moins atypiques des personnages choisis par les conférenciers», selon le Pr Tidjet Mustapha, directeur du CRLCA. Le thème a été développé à travers plusieurs communications autour d’hommes de lettre qui ont activement participé à l’effort de lutte contre le colonialisme, comme Mouloud Mammeri, Imache Amar, Mouloud Feraoun ou Jean El Mouhoub Amrouche. Dr Kamel Medjedoub, chercheur au CRLCA, qui a présenté une conférence intitulée : «Jean El Mouhoub Amrouche, le poète-médiateur de la cause algérienne», décrit un homme «engagé pour l’indépendance algérienne, artisan du dialogue qui a abouti aux accords d’Évian et un intellectuel révolté contre l’oppression coloniale». Une révolte qui lui a coûté les représailles de l’administration coloniale. «En novembre 1959, il a été exclu de la radio, sur injonction du Premier ministre français Michel Debré. Trois ans, plus tôt, en 1956, sa belle-famille, des anciens pieds-noirs d’Alger, lui a écrit une lettre pour lui dire qu’elle ne veut plus de lui à cause de son ralliement, depuis le début, à la cause algérienne», rappelle-t-il. C’est cette face très peu connue du grand public que cherche à mettre en avant l’orateur, pour montrer comment «l’enfant d’Ighil Ali a accompagné intellectuellement la cause nationale jusqu’aux accords d’Évian». En effet, ajoute l’orateur, «El Mouhoub a surtout joué un rôle important dans l’aboutissement des accords d’Évian. Il a pu sensibiliser De Gaulle sur la condition des populations algériennes et la nécessité d’aller vers des négociations. En 1956, et selon le témoignage de Reda Malek (à l’occasion d’un colloque en 2008 à Alger, rapporté dans Liberté par Abdenour Abdeslam, président du colloque), il a été sollicité par Abane Ramdane en personne pour aider à engager ces négociations. Donc, sollicité par le FLN et par de Gaulle, il s’est imposé comme le médiateur en qui reposait beaucoup d’espoir. Il a voyagé entre plusieurs capitales du monde (Genève, Tunis, le Caire…) où il a rencontré des dirigeants du FLN jusqu’à arriver à un accord entre les parties». Bien qu’il soit naturalisé français et portant un prénom chrétien, El Mouhoub est né « sujet français, donc Algérien comme tous les autochtones colonisés. À l’état-civil, il est inscrit sous son seul prénom kabyle, El Mouhoub, qu’il a tout le temps revendiqué comme témoin de son algérianité ». Le conférencier veut pour preuve les différents ouvrages, déclarations publiques et lettres rédigées par l’écrivain où il revendique son appartenance et son engagement, que même des combattants et hommes politiques algériens de premier rang lui reconnaissent, à l’image de «Krim Belkacem, signataire des accords d’Évian et Ferhat Abas, président du GPRA. Mieux encore, ce dernier en 1946, à sa sortie de prison, son premier souhait a été de rencontrer Jean Amrouche et de l’associer à notre combat ». Dr. Saïd Chemakh de l’université de Tizi Ouzou a, quant à lui, développé une communication autour d’un autre intellectuel, en l’occurrence, Mouloud Mammeri. Son intervention dévoile les actions et le rôle de Mouloud Mammeri pendant la guerre d’indépendance algérienne (1954-1962). Les gens connaissent Mammeri l’écrivain, le militant berbériste, mais, remarque le conférencier, «on oublie qu’il était parmi les premiers à s’engager activement dans la politique et en faveur de la libération de l’Algérie ». Saïd Chemmakh s’appuie dans sa recherche sur les témoignages de Tahar Oussedik, membre du Front de libération nationale, sur des lettres écrites par Mouloud Mammeri, dont quelques-unes ont été adressées à l’ONU pour soutenir la cause algériennes. On sait aussi l’engagement de Mammeri pour la révolution à travers des contributions publiées dans les colonnes du journal L’espoir. L’intellectuel a participé à ce combat avec sa plume pour dénoncer les exactions de l’armée coloniale et l’asservissement, ce qui lui a valu d’être « recherché et sa maison plastifiée par l’armée coloniale, avant qu’il ne soit exfiltré du territoire algérien pour se réfugier au Maroc ». Nordine Douici
Le Cap Aokas, devenu le repère des délinquants depuis des dizaines d’années, est transformé en un espace de détente familiale par un investisseur privé, bénéficiant d’une concession et de l’aval de la wilaya.
L’application stricte des arrêtés et du plan, portant prévention et lutte contre les incendies implique une meilleure coordination entre les services concernés par la campagne de prévention et de lutte pour réduire les risques d’incendie.
Youcef Aouchiche, premier secrétaire national du FFS, a saisi l’occasion de sa présence à la rencontre fédérale du parti pour l’installation de la commission administrative de la fédération de Béjaïa (CAF), pour répondre aux reproches de certaines voix discordantes, sans les nommer.
Les travaux de réalisation de la station de dessalement de l’eau de mer, inscrite dans le cadre d’un programme d’urgence du gouvernement, ont été entamés la semaine passée pour un délai de 28 mois.
Des familles des martyrs du Printemps noir ont été empêchées, hier à Akbou, à l’occasion du 21e anniversaire du Printemps noir, de se recueillir sur les tombes de leurs enfants, tombés sous les balles des services de sécurité lors des violents affrontements qui ont marqué la Kabylie en 2001, après l’assassinat d’un jeune lycéen dans les locaux de la brigade de la gendarmerie de Beni Douala (Tizi Ouzou), a alerté la Ligue algérienne pour la défense des droits de l’homme (LAADH), dans un communiqué rendu public.