Principal usager de l’espace océanique, le transport maritime qui assure plus de 80% du commerce mondial et contribue à hauteur de plus de 900 milliards de dollars par an à l’économie océanique, d’après l’Organisation maritime internationale (OMI), se prépare à une transformation zéro émission nette sur l’ensemble du secteur, depuis les chaînes d’approvisionnement et les modèles commerciaux jusqu’aux navires, aux ports et à la main-d’œuvre maritime.
A la différence de celles de certaines puissances industrielles du bassin méditerranéen ou d’autres géographies du monde qui s’attellent à avancer leurs pions sur l’échiquier économique algérien, avec beaucoup de bruit mais sans grands résultats concrets, l’approche sobre, jusqu’à l’heure empruntée par la Turquie s’avère très efficace. Ses fruits se font sentir de plus en plus.
L’Etat réaffirme sa détermination à effacer toute trace de sillage marquant le passage du «navire Issaba» qui allait engloutir le projet du grand port Centre.
Plutôt que dans la joie et la bonne humeur, la famille Ardnaoui, du bidonville de Oued Forcha, commune de Annaba (chef-lieu), a passé la première journée de l’Aid El Adha dans l’horreur.
Trois villes algériennes figurent dans le top 50 des villes les plus attractives d’Afrique en 2025, rapporte une agence d’informations suisso-africaine spécialisée dans la gestion publique et l’économie africaine.
Tout porte à le croire ; les deux ministères (Economie et Intérieur) peuvent décider du gel des avoirs «lorsque cela est nécessaire pour lutter contre le terrorisme ou lorsque des personnes commettent ou facilitent des actes prohibés par le droit international ou européen».
La décision de geler les avoirs d’un groupe d’officiels algériens que les autorités françaises menacent de mettre en branle a défrayé la chronique ces jours-ci. Quelle regard portez-vous sur cette nouvelle manœuvre diplomatique de Paris ?
Considérant les bouleversements tous azimuts que connait le monde actuel ; pressions démographiques, révolutions numériques, transitions énergétiques, enjeux climatiques toujours plus pressants et réalignements géopolitiques inédits, l’Afrique, qui ne peut échapper à ce qui s’apparente à une violente trombe, est aujourd’hui plus que jamais tenue de trouver comment garder la tête hors de l’eau.
Troublantes, choquantes, et c’est le moins que l’on puisse dire, étaient les découvertes mises au grand jour dans la foulée de la campagne de nettoyage des cimetières lancée il y a quelques jours un peu partout à travers le territoire national.
Il est aujourd’hui universellement établi que la navigation maritime, depuis les temps où l’homme a commencé à prendre la mer, s’est de plus en plus diversifiée en termes de race, de classe et de nationalité. Mais pas en termes de genre, le manque de diversité est toujours aussi frappant.
La ruée inédite ces dernières années sur les métaux rares et minerais critiques pour les besoins sans cesse grandissants de la transition énergétique et la digitalisation de l’économie mondiale, auxquelles s’ajoute la course aux technologies de défense, préfigure une escalade des tensions et l’intensification du bras de fer entre puissances.
Mettant en avant l’importance de l’automatisme pour la recherche et le développement dans le domaine des minerais critiques et des terres rares, Nabil Ibn Sharif, ingénieur en automatisme des systèmes avancés et smart building (Université de Lyon), estime que «l’explosion de la demande mondiale pour certains minerais stratégiques ; lithium, cobalt, nickel, terres rares... constitue une opportunité unique pour des pays riches en ressources naturelles, comme l’Algérie, de se repositionner dans la chaîne de valeur mondiale».
La maîtrise des terres rares, ces éléments qui, décidément, incarnent et définissent les fondements du pouvoir et de l’autorité, «est au cœur d’une concurrence féroce entre les grandes puissances, notamment la rivalité sino-américaine pour la suprématie technologique mondiale», tranche le Pr Mohamed Benouaret.
Outre le génie électrique et l’informatique, le champ d’intérêt scientifique du Pr Benouaret porte essentiellement sur les algorithmes avancés pour l’optimisation, les applications de la logique floue et l’intégration des technologies de l’Internet des objets (IoT) dans les systèmes de climatisation. Il s’est particulièrement spécialisé dans l’implémentation en temps réel de systèmes intelligents et embarqués dédiés à la robotique, à l’aéronautique, à l’irrigation intelligente, au développement agricole et aux systèmes d’énergie renouvelable ainsi que leurs applications.
Vérité au-delà, erreur en deçà !» En paraphrasant ainsi la célèbre pensée : «Vérité en deçà des Pyrénées, erreur au-delà», selon laquelle «ce qui vaut pour un peuple ne vaut pas nécessairement pour un autre», Me Abderrahmane Boutamine, un ténor du barreau algérien, sait de quoi il retourne.
La mer, le grand rassembleur, est le seul espoir de l’homme.» Rodolphe Saadé, «triton» de la marine marchande mondiale sait que commandant Cousteau disait vrai. La visite que s’apprête, avons-nous appris de sources proches du Groupe public de services portuaires (Serport), à effectuer, en Algérie, le PDG de CMA CGM, numéro trois mondial du transport et de la logistique maritimes revêt un caractère hautement stratégique à forte portée économique et politique, aussi bien pour notre pays que pour la France, dans la mesure où elle intervient dans un contexte de réchauffement des relations entre Alger et Paris après des mois de brouille.
La corruption, qui peut aller des pots-de-vin à la «captation de l’Etat» en passant par le népotisme, n’est désormais plus une simple question de gaspillage des ressources publiques. Elle est synonyme de dégradation des infrastructures, de destruction de l’environnement, d’abus de pouvoir et d’exclusion et d’érosion de la confiance. D’où la mobilisation accrue et la multiplication d’initiatives et de processus de coopération au niveau mondial aux fins de venir à bout de ce fléau qui ronge les systèmes économiques.
Interminable s’avérera, semble-t-il, le «feuilleton culte» sur le crime en col blanc, mettant en scène la collusion entre le milieu des affaires et le monde politique.
L’Organisation maritime internationale (OMI) œuvre à donner davantage de visibilité aux femmes du secteur, à renforcer l’engagement en faveur de l’ODD 5 (égalité hommes-femmes) et soutenir les efforts mondiaux visant à remédier au déséquilibre criant actuel entre femmes et hommes, notamment en matière de recrutement, de maintien en service et d’emploi durable dans l’industrie maritime.
Après ceux de Haute-Corse (France) et de Sardaigne (Italie), où ils sont respectivement produits dans les régions de Balagne, sur la côte nord-ouest de l'île corse, et de Gallura au nord-est de l’île sarde, le miel d’arbousier de l’Edough à Annaba (Algérie) sera le troisième à bénéficier d’un label à l’échelle de la Méditerranée.