Après l’Egypte, l’Algérie est le plus grand importateur d’Afrique du Nord de bovins destinés à l’abattage et à la production laitière. En effet, chaque année, plus de 100 000 têtes, en moyenne, sont importées, dont des reproducteurs, des bovins d’engraissement et d’autres de boucherie.
A en croire les experts de la China Afritive, institut de recherche de l’université américaine Johns Hopkins, les entreprises chinoises présentes en Algérie engrangent quelque 7,5 milliards de dollars au titre de revenus bruts issus de leurs diverses activités.
Les effectifs de la flotte marchande mondiale qui, au début 2021, étaient de l’ordre de 74 504, devraient bondir de plus de 6% au cours des cinq prochaines années, pour atteindre 79 282 navires à la fin 2025, pronostique Baltic and International Maritime Council (Bimco).
Le professeur Laurent Chalard, qui est consultant et membre de European Center for International Affairs (ECAI), l’un des think tanks les plus influents à Bruxelles, analyse les résultats du dernier sommet des BRICS qui s’est tenu à Johannesburg. En Afrique du Sud, les cinq membres fondateurs des BRICS ont, rappelle-t-on, commencé par s’entendre sur le principe d’une ouverture de l’association, puis ils ont défini les processus d’admission. Depuis quelques mois, la Chine affirmait clairement son intérêt pour cet élargissement. Dans un discours à l’ouverture du sommet, le 23 août, le président Xi Jinping déclarait : «Les BRICS doivent œuvrer en faveur du multilatéralisme et ne pas créer de petits blocs. Nous devons intégrer davantage de pays dans la famille des BRICS.»
L’Algérie possède le gisement de corail rouge le plus important en Méditerranée. En proie à une prédation sauvage, les réserves de corail de l’Algérie ont longtemps déchaîné les passions chez les spécialistes du braconnage, en témoignent, d’ailleurs, les récurrentes prises et les saisies interminables de matériels et d’équipements de pêche illicite réalisées ces dernières années par les services de sécurité, tous corps confondus, à Alger, Annaba, El Kala, Skikda ou à Collo et Jijel.
C’est ce lundi 31 juillet que s’ouvrent officiellement, en République du Congo (Brazzaville), les travaux de la 12e édition du Forum international des femmes entreprenantes et dynamiques (FIED), plateforme œuvrant pour la promotion de l’autonomisation économique et le développement du potentiel entrepreneurial de la femme africaine.
Le manque de moyens de manutentions spécifiques aux produits vraquiers est un sérieux handicap qui freine l’essor prodigieux que connait la filière des ciments et clinker. La situation a tendance à tourner au cauchemar pour les grandes cimenteries de l’Est.
La ruée de migrants maghrébins et subsahariens vers l’Espagne est susceptible d’accélérer et renforcer le déploiement de nouveaux systèmes intelligents de renseignement et de surveillance des frontières de l’Europe.
Le Gafi et ses membres ont convenu de nouveaux projets, notamment celui visant à améliorer les enquêtes et les poursuites en matière de blanchiment de capitaux. La finalité est de fédérer les efforts et les expertises pour venir à bout du crime financier dans le monde de par ses répercussions néfastes sur le système financier et la société dans son ensemble.
La lutte contre ces activités criminelles complexes et la surveillance des flux financiers illicites (FFI), via le circuit commercial et des systèmes de fausse facturation, reviennent, surtout, aux Douanes et aux CRF, car en mesure de les identifier.
Le Forum mondial dédié aux énergies renouvelables offshore devrait rassembler, les 20 et 21 juin à Paris, pas moins de 4000 dirigeants et experts de la filière, ainsi qu’un panel de haut niveau composé de décideurs économiques et politiques issus des quatre coins du globe.
L’agence de notation Standard &Poor’s a mis en lumière le frappant écart entre les hommes et les femmes en matière d’accès aux sources de financement et l’idée collective que l’on se fait, à ce jour, de la femme chef d’entreprise.
L’enjeu majeur pour l’Afrique est de parvenir à atténuer les risques de corruption à travers la chaîne de valeur de l’industrie extractive, donc en rapport avec la lutte contre la grande délinquance économique, de toutes natures, qui caractérise le secteur.
C’est sous le thème de «Musées, durabilité et bien-être» que le monde a célébré, cette année (18 mai), la Journée internationale des musées (JIM). Qu’il s’agisse de soutenir l’action en faveur du climat, de favoriser l’inclusivité, de lutter contre l’isolement social ou d’améliorer la santé mentale, les musées ont un rôle crucial à jouer dans la réalisation des 17 objectifs de développement durable de l’agenda 2030, insiste le Conseil international des musées (ICOM).
Booster les relations de sous-traitance entre les entreprises nationales industrielles, grandes entreprises, PMI et micro entreprises, renforcer le tissu industriel et substituer la production locale aux importations, tel est l’objectif assigné au Salon national inversé de la sous-traitance Sanist, dont la 6e édition devrait se tenir du 22 au 25 mai 2023, à l’initiative de la Chambre algérienne de commerce et d'industrie (Caci), en partenariat avec la Safex.
Déjà bien installée dans nombre de pays et fortement exacerbée par la guerre entre la Russie et l’Ukraine, la précarité énergétique est devenue ce grand problème planétaire auquel il faut remédier en urgence. S’avérera, par conséquent, irréversible la transition vers un monde plus résilient et de moins en moins dépendant des énergies fossiles.
De plus en plus accros au café, les Algériens le sont bel et bien. Si en Europe, la Finlande demeure le premier gros consommateur, l’Algérie est, elle aussi, en voie de trôner sur le marché africain de la consommation. Les données de l’Organisation internationale du café (OIC) le confirment.
Le coton, produit coté en Bourse, nous revient excessivement cher à l’importation. Nous exhortons les pouvoirs publics à penser à relancer la culture de cette matière.
Bien qu’il soit bien loin de refléter la réalité, le nombre des millionnaires algériens est enfin «connu» et c’est toujours de l’étranger qu’en est livré un aperçu.
Venir à bout des inégalités, démesurément aberrantes, entre riches et pauvres, face à l’impôt demeurent au cœur des priorités majeures mondiales. D’où la mobilisation, accrue ces derniers temps, d’ONG internationales militant pour la justice fiscale, dont, entre autres, Oxfam International, basée au Kenya et l’Icrict (Commission indépendante pour la réforme de la fiscalité internationale des entreprises) au Mexique.