Le litige opposant depuis 2018 le Groupe industriel Asmidal, filiale à 100% de Sonatrach et le groupe espagnol Grupo Villar Mir (GVM), autour de Fertial, société de droit algérien, Fertial qui est spécialisée dans la production d’engrais et d’ammoniac, est désormais un vieux souvenir.
Les Rencontres multisectorielles franco-algériennes se tiendront, ce jeudi 6 juin, au complexe hôtelier Sabri (Annaba), à l’initiative du consulat général de France à Annaba et Constantine, en partenariat avec la Chambre de commerce et d’industrie algéro-française (CCIAF), l’Association de développement et de promotion des entreprises (ADPE), l’association des femmes algériennes chefs d’entreprise SEVE (Savoir et vouloir entreprendre) et les cabinets de conseil Transition conseil et Global Assistance Codes.
Des témoignages de médecins ayant pu avoir accès aux détenus et des lanceurs d’alerte y décrivent, preuves à l’appui, ce qui s’apparente à une structure de supplices opérant dans l’ombre et dont la finalité étant la souffrance, très souvent jusqu’à la toute fin, et l’humiliation des prisonniers plus que la recherche de renseignements.
Ce nouveau pacte entre l’Algérie et ExxonMobil devrait permettre d’«améliorer l’efficacité de l’exploration, optimiser les processus de production, garantir des pratiques d’utilisation durable des ressources et tirer parti de la vaste expérience de la société et de ses antécédents en matière de gestion de projets énergétiques complexes dans toute l’Afrique».
Aujourd’hui, des secteurs stratégiques, comme l’énergie et la pétrochimie, commencent à lâcher du lest, nombre de boîtes privées qui se livraient bataille, cherchant chacune à être la plus prompte à y déployer son influence, sont appelées à «rendre les armes».
De par ses multiples avantages, notamment en termes de taux d’intérêt et autres facilités, comparativement à la finance classique ou conventionnelle, la finance islamique connaît ces derniers temps un engouement sans cesse croissant un peu partout dans le monde, un encours de plus de 6000 milliards de dollars, confirmant le caractère attrayant du concept.
L’Algérie, de par sa position géostratégique au carrefour de l’Europe et de la Méditerranée et considérant les flux migratoires à destination de l’Europe y transitant, avait signé des accords bilatéraux de réadmission avec certains pays européens.
epuis près une semaine, le monde entier a les yeux rivés sur le Panama, ce petit Etat de l’Amérique centrale, où se tient depuis lundi 8 avril, dans un tribunal pénal, le procès des Panama Papers. Accusées d’avoir orchestré l’un des plus grands scandales financiers de l’histoire, plus d’une vingtaine de personnes, à leur tête Jürgen Mossack et Ramon Fonseca Mora, les deux fondateurs du cabinet Mossack Fonseca, épicentre du séisme fiscal qui a frappé toute la planète en avril 2016, devraient répondre des charges d’«atteinte à l’ordre économique» et de «blanchiment d’argent».
Bien qu’abritant plus de 1,4 milliard d’habitants, soit environ 18% de la population mondiale, l’Afrique dispose d’à peine 34,6% de médecins, infirmières et sages-femmes nécessaires. On prévoit que d’ici 2030, le continent aura besoin de 6,1 millions de médecins, d’infirmières et de sages-femmes supplémentaires.
Au plan international, l’engagement de l’Algérie en faveur de la préservation des ressources récifales en Méditerranée est perceptible.
Jusqu’en 2030, des financements annuels d’au moins 200 milliards de dollars devraient être mobilisés par l’Afrique afin qu’elle puisse être en mesure d’atteindre les objectifs énergétiques et climatiques du «Scénario pour l’Afrique durable».
Remis en exploitation il y a quelques jours, cet imposant établissement entame une ère nouvelle où l’excellence et l’innovation sont les maîtres-mots.
Strident coup de gueule de la Chambre africaine de l’énergie (AEC) : à peine quelques jours après la clôture de la 30e édition de l’Investing in African Mining Indaba qui s’est tenue du 5 au 8 février au Cap (Afrique du Sud), cette instance représentant la voix du secteur de l’énergie du Continent africain s’est fendue d’un sévère communiqué où elle «rejette avec véhémence la notion et l’état d’esprit selon lesquels les Africains ne sont en quelque sorte pas qualifiés pour diriger et accueillir des événements importants tels que Investing in African Mining Indaba sur leur propre territoire».
Il s’agit de «concrétiser le potentiel minier en véritable levier de développement pérenne, tout en préservant les intérêts des Etats face aux investisseurs étrangers. A cet effet, l’Afrique doit naviguer avec un mélange de prudence et d’audace entre aspiration légitime à un meilleur partage des revenus miniers et nécessité de maintenir un climat favorable aux investissements étrangers».
L’ICOM réitère son appel à «la cessation immédiate de toute action mettant les civils en danger et exposant leur patrimoine culturel à des risques de dommages, de destruction, de vol, de pillage ou de trafic illicite».
L’Algérie vient enfin de s’offrir l’un des trophées les plus convoités mondialement, à savoir Les Stevie Awards, programme de récompenses reconnaissant les professionnels des ressources humaines et les meilleurs employeurs au monde.
Avec en moyenne plus de 8 milliards de mètres cubes de gaz torchés chaque année, l’Algérie occupe le quatrième rang mondial en matière de volumes de gaz brûlé sur les sites de production pétrolière.
Comme si les carnages perpétrés contre les populations civiles de Ghaza ne lui suffisaient pas, l’armée sioniste est déterminée à laisser l’enclave exsangue de son patrimoine archéologique et historique. Depuis le début de cette guerre barbare, plusieurs monuments et sites culturels ont été ciblés par les bombardements aveugles, suscitant l’inquiétude de nombre d’organisations internationales des droits de l’homme mais aussi et surtout celles œuvrant pour la protection du patrimoine mondial.
D’après nombre de plateformes spécialisées dans l’aéronautique, comme le FlightAware, citées par la presse internationale, pas moins de 1000 vols ont déjà été annulés après que plusieurs compagnies aient décidé de clouer au sol des dizaines de Max 9 en exploitation.
Seulement 2% des recherches mondiales sur les nouvelles infections sont conduites en Afrique alors que le continent a, à son sinistre actif, plus du quart de la morbidité globale mondiale. Moins de 10 universités proposent des cours de vaccinologie et seules deux universités mènent des études précliniques liées aux vaccins.