Le candidat du FFS promet, s’il arrive à El Mouradia, de «réhabiliter» les classes moyennes et de prendre des «mesures immédiates» pour préserver le pouvoir d’achat des Algériens.
Le candidat du Front des forces socialistes (FFS) à l'élection présidentielle anticipée du 7 septembre, Youcef Aouchiche, ne renoncera pas à son ambition d’arriver au palais d’El Mouradia et d’être président de la République. En dépit de la chaleur caniculaire, de peu de moyens et de critiques de certaines parties, il a confirmé ce jeudi à El Watan qu’il défendra ses chances jusqu’au jour «j».
Youcef Aouchiche, qui se présente comme «la voix des sans-voix», promet «d’impliquer les Algériens dans tous les processus de prise de décision» de «défendre les principes de liberté et de démocratie».
Le parti fondé par Hocine Aït Ahmed a toujours, selon la direction de campagne, puisé l’essentiel de sa doctrine politique de l’appel du 1er Novembre et des recommandations du Congrès de la Soummam.
Le candidat du FFS, Youcef Aouchiche, appelle les Algériens, plus particulièrement les jeunes, à un sursaut pour la réussite de ce rendez-vous électoral.
Le candidat du Front des forces socialistes (FFS) à la présidentielle anticipée du 7 septembre prochain, Youcef Aouchiche, a animé hier son premier meeting de la campagne électorale à Bordj Bou Arréridj. Devant une salle acquise, le premier secrétaire du FFS a livré les grands axes de son programme électoral.
Pour le FFS, cette première sortie de proximité a été un succès total que ce soit sur le plan organisationnel qu’en matière de contact avec la population.
Le Mouvement pour la société et la paix (MSP) participe à l’élection présidentielle anticipée du 7 septembre prochain avec l’ambition de «gagner» le palais d’El Mouradia. Le candidat du mouvement, Abdelaali Hassani Cherif, se dit fin prêt pour se lancer dans la bataille et pense pouvoir concurrencer ses adversaires, en l’occurrence le président sortant, Abdelmadjid Tebboune, et Youcef Aouchiche, candidat du Front des forces socialiste (FFS).
Le Front des forces socialistes (FFS) se lance de plain-pied dans la campagne électorale, dont le coup d’envoi officiel sera donné le 15 août. Le doyen de l’opposition, qui participe à ce scrutin avec son propre candidat, en la personne de son premier secrétaire national Youcef Aouchiche, a installé officiellement hier son directoire national de campagne, composé de Samir Ghazlaoui, Zanabi Walid Hicham et Rachid Chaibi.
L’intrusion de l’argent sale dans le jeu électoral et la jonction entre l’argent et le politique ont pris des dimensions alarmantes cette dernière décennie. En dépit de l’arsenal juridique mis en place par le législateur algérien, ce phénomène revient à chaque échéance électorale.
La liste définitive des prétendants à la magistrature suprême est connue. La Cour constitutionnelle a confirmé, hier, le verdict de l’Autorité nationale indépendante des élections (ANIE) qui a validé, jeudi dernier, de manière « temporaire» les dossiers de trois candidats sur les 16 ayant postulé pour la magistrature suprême.
A la veille de chaque échéance électorale : locale, législative ou présidentielle, la question du financement de la campagne électorale des candidats en lice revient avec acuité. Comment est financée la campagne électorale pour l’élection présidentielle anticipée du 7 septembre prochain et par qui ? L’argent est, certes, le nerf de la guerre et l’intrusion, durant plus d’une décennie, de l’argent sale dans le domaine politique a incité l’Autorité nationale indépendante des élections (ANIE), affirme son président Mohamed Charfi, à sévir pour éviter que soit «entaché la crédibilité des résultats du vote».
En 2021, le ministre de l’Enseignement supérieure et de la Recherche scientifique a décidé de geler l’authentification des diplômes des médecins généralistes et spécialistes. Cette mesure, jamais annoncée officiellement, a été mise en place pour faire face au phénomène de la fuite des compétences médicales vers l’étranger, notamment vers la France.
Pourquoi les médecins algériens généralistes et spécialistes quittent le pays pour s’installer à l’étranger ? Cette question n’est pas à dissocier du phénomène global des flux migratoires Sud-Nord, qui n’épargne pas notre pays et touche, à différents degrés, toutes les couches de la population, notamment de niveau universitaire, bien au-delà du corps médical. Dans le cas spécifique des professions médicales, qui ont connu une explosion démographique ces dernières décennies du fait d’un effort de formation soutenu depuis l’indépendance, les motivations sont d’ordre économique liées à l’évolution des exigences en termes de qualité de vie, conjuguées à un environnement professionnel jugé frustrant et démotivant. Le secteur privé, qui répondait à ces besoins jusque-là, commence à montrer des signes de saturation dans les grandes villes, amenant les nouvelles générations de médecins à opter de plus en plus pour l’étranger.
Sur les 13 prétendants à la candidature à l’élection présidentielle anticipée du 7 septembre prochain et dont les dossiers ont été rejetés par l’Autorité nationale indépendante des élections (ANIE), seulement quatre ont introduit des recours au niveau de la Cour constitutionnelle, et ce, conformément aux dispositions de l’article 252 de la loi relative au régime électorale.
Les noms des postulants sélectionnés pour la course à la présidentielle anticipée du 7 septembre prochain sont connus. L’Autorité nationale indépendante des élections (l’ANIE) a rendu son verdict ce jeudi après l’expiration du délai de 7 jours consacrés à l’examen des dossiers des prétendants à la candidature.
La Cour constitutionnelle a rappelé hier aux citoyennes et citoyens que dans le cas où leur candidature à l’élection présidentielle est rejetée par l’ANIE, ils ont droit d’introduire un recours, conformément à l’article 252 (alinéa 2) de la loi organique relative au régime électoral et à l’article 56 du règlement fixant les règles de fonctionnement de la Cour constitutionnelle.
Six candidats partisans et dix candidats indépendants ont remis leurs dossiers à l’Autorité nationale indépendante des élections (ANIE) et attendent son verdict, qui sera connu dans un délai n’excédant pas sept jours.
Sur les 34 postulants, seuls cinq étaient, hier, fin prêts pour déposer dans les délais leurs dossiers de candidatures avec le nombre requis de signatures.
La secrétaire générale du Parti des travailleurs, Louisa Hanoune, dit «refuser de faire partie d’une opération électorale qui ne consacre pas la liberté totale de candidature sans exclusion»