L’Assemblée populaire nationale (APN) n’aura pas son règlement intérieur cette année. Il faut attendre au moins jusqu’à février 2025 pour voir ce projet, qui a fait couler beaucoup d’encre, finalisé.
L’historien Mohamed El Korso revient sur la polémique suscitée par les propos de l’écrivain Boualem Sansal, concernant les frontières ouest de l’Algérie. Citant des faits historiques, notre interlocuteur a déconstruit cette contrevérité, entretenue, notamment, par le royaume marocain, sur la question des frontières qui a été, selon lui, tranchée définitivement depuis 1972.
Le dossier du foncier agricole, hérité depuis l’indépendance du pays, sera définitivement clos avant la fin de l’année 2025.» C’est ce qu’a promis, hier, le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, dans son discours prononcé à l’ouverture de la cérémonie de célébration du 50e anniversaire de la création de l’union nationale des paysans algériens (UNPA).
Le Premier ministre, Nadir Larbaoui, passera-t-il devant le Parlement ? La Constitution l’oblige en tout cas. Installé à la tête du gouvernement le 11 novembre 2023, l’homme a été a été reconduit dans ses fonctions une année plus tard, soit le 8 novembre 2024, à l’issue d’un remaniement ministériel.
Les Algériens à l’étranger vont-ils finalement être autorisés à importer des véhicules de moins de trois ans ? La question sera tranchée par la Cour constitutionnelle. Mercredi dernier, 47 députés ont saisi cette institution pour se pencher sur ce dossier.
Le parti Jil Jadid, dirigé par Soufiane Djilali, a dressé un tableau peu reluisant de la situation politique qui prévaut dans le pays. Dans la résolution finale de son conseil national, réuni le week-end dernier en session ordinaire, le parti propose d’entamer «un débat sérieux» pour aboutir à une vision d’avenir qui pourrait être défendue collectivement auprès des institutions nationales en vue d’un renouveau démocratique.
La Cour constitutionnelle a rendu, avant-hier, son verdict concernant les deux saisines déposées par le président du Conseil de la nation, Salah Goudjil, et le Premier ministre, Nadir Larbaoui, dans lesquelles ils contestent la conformité des articles 23, 29, 33 et 55 du projet de loi de finance (PLF) 2025 avec l’article 147 de la Constitution.
L’ambassadeur de France en Algérie, Stéphane Romatet, s’est rendu, mardi, au cimetière El Alia pour se recueillir sur la tombe de Larbi Ben M’hidi, héros de la lutte pour l’indépendance de l’Algérie et membre des Six ayant déclenché la Guerre de Libération nationale. Une gerbe de fleurs a été déposée, à la demande du président français et en son nom, sur la tombe du martyr.
Peu de femmes sont présentes dans le nouveau gouvernement, nommé lundi par le président de la République. Une équipe gouvernementale composée, pourtant, d’un nombre plus important de portefeuilles ministériels que la précédente.
La gestion, le tri, la valorisation et le prétraitement des déchets ont de tout temps constitué un casse-tête pour les pouvoirs publics.
Une première dans les annales du Parlement algérien. Le président du Conseil de la nation, Salah Goudjil, et le Premier ministre, Nadir Larbaoui, ont saisi officiellement samedi la Cour constitutionnelle pour un avis sur l’inconstitutionnalité de quatre amendements du projet de loi de finance (PLF) pour l’exercice 2025 adopté, mercredi dernier, par l’Assemblée populaire nationale (APN) et avant-hier par les membres du Conseil de la nation.
Les sénateurs, selon nos sources, ont reçu des instructions, faute de temps, «de ne pas activer le mécanisme de réserve sur ces articles».
Le PLF-2025 sera soumis au vote des sénateurs, aujourd’hui dans la matinée, alors que son adoption au niveau de l’Assemblée populaire nationale (APN) a eu lieu mercredi dernier à l’issue d’une plénière de plusieurs heures, qui s’est déroulée dans un climat très tendu.
A l’exception des députés du Mouvement de la société pour la paix (MSP), qui ont voté «contre le texte», les autres membres de l’Assemblée, soit la majorité, ont donné leur quitus pour ce texte de loi qui trace la trajectoire budgétaire pour l’année prochaine.
Les plus grandes puissances étaient absentes à ce rendez-vous. Cette absence a suscité des interrogations sur leur volonté d’affronter leurs responsabilités en tant que principaux pollueurs.
Le vote autour du projet de loi de finances (PLF) 2025 est prévu pour demain à l’Assemblée populaire nationale (APN). Après trois jours de débats en plénière, les membres de la commission des finances et du budget de l’APN ont entamé, samedi dernier, l’examen des propositions d’amendement émises par les députés.
Le ministre de l’Industrie et de la Production pharmaceutique, Ali Aoun, un des importants départements ministériel, est dans la tourmente. Il fait l’objet, non seulement de critiques acerbes des députés au niveau de la Chambre basse du Parlement, à l’occasion du débat autour du projet de loi de finances (PLF) 2025, mais aussi d’une campagne sur les réseaux sociaux, liée à l’arrestation de son fils.
Louisa Hanoune à l’issue des travaux du conseil national du parti, réuni en session ordinaire. Dans sa missive, le PT a abordé les revendications et les préoccupations des citoyens.
Le ministre de l'Intérieur et des Collectivités locales a accusé certains cercles de «vouloir provoquer le désordre». «Ceux qui colportent ces rumeurs veulent semer la confusion et le chaos», a-t-il indiqué.
Au troisième et dernier jour des débats autour du projet de loi de finances (PLF) pour l’année 2025 à l’Assemblée populaire nationale (APN), les membres de cette institution toutes tendances confondues ont appelé à des «réformes approfondies» incluant la «numérisation» des services financiers, tels que les services fiscaux, douaniers, les biens de l’Etat, et à conférer une plus grande transparence à la gestion des recettes et des dépenses.