Annonçant la participation de son parti à la prochaine présidentielle, Abdelali Hassani Cherif a tenu à préciser que «le dernier mot reviendra au conseil consultatif (Madjlis echoura) qui tranchera sur la forme et la démarche à suivre».
La lutte contre le phénomène de la corruption et la bureaucratie passe par la numérisation. Le chef de l’Etat a ordonné, il y a quelques mois, la mise sur pied d’un projet de numérisation et une banque de données, afin de faciliter aux différents services de l’Etat l’exercice de leurs fonctions et l’accomplissement de leurs devoirs envers leurs administrés de la manière la plus efficace.
Le Parti des travailleurs (PT) milite pour la réunion de toutes les conditions afin que le prochain scrutin se déroule dans les meilleures conditions.
Intervenant devant les députés de l’APN, le ministre du Travail, de l’Emploi et de la Sécurité Sociale, Fayçal Bentaleb, a expliqué que les visites effectuées en 2023 par les services de l’Inspection du travail a démontré que 54 607 travailleurs n’ont pas été déclarés à la Sécurité sociale.
Un record en la matière. Les députés ont proposé 120 amendements au projet de loi portant règlement intérieur de l’Assemblée populaire nationale (APN).
Un symposium, ayant pour thématique principale l’hypertension artérielle, a eu lieu à Alger en présence de près de 200 experts et spécialistes en cardiologie.
Les débats autour du projet de loi portant règlement intérieur de l’Assemblée populaire nationale (APN) ont pris fin hier avec l’intervention de plus de 155 parlementaires.
Le Syndicat national des praticiens spécialistes de la santé publique (SNPSSP) demande au président de la République d’intervenir pour «lever les limitations arbitraires» qui pénalisent le corps des spécialistes et compromet l’avenir de l’hôpital public. «Nous allons, dans les prochains jours, saisir le chef de l’Etat pour qu’il répare certaines injustices.
Dans son allocution prononcée à l’ouverture de la séance plénière, le président de l’APN, Brahim Boughali, a appelé à aborder «sérieusement» la question de l’immunité parlementaire et à l’adapter avec les dispositions et l’esprit de la Constitution.
Les députés approuveront, le 12 février, le projet d’amendement du code pénal, dont les débats ont été achevés ce lundi à l’Assemblée populaire nationale (APN) avec les réponses, tard dans l’après-midi, du ministre de la Justice et garde des Sceaux, Abderrachid Tabi.
Nombreux étaient les parlementaires de différentes obédiences qui ont émis des réserves concernant l’article 149 bis 24, dont les mesures portent sur la légitime défense.
Le ministre de la Communication, Mohamed Laagab, veut «mettre de l’ordre dans le champ médiatique». Il multiplie, ces derniers temps, ses sorties sur le terrain pour rappeler à la corporation «la nécessité de respecter les fondamentaux de l’éthique et de la déontologie professionnelle».
Le projet de loi relatif à la lutte contre le faux et l’usage de faux a eu, hier, le quitus des sénateurs après son approbation par les députés en mois de décembre dernier.
Le ministre de la Justice, Garde des Sceaux, Abderrachid Tabi, a présenté, hier devant les députés, le projet d’amendement du code pénal. Ce texte débattu en plénière a suscité des interrogations et surtout des appréhensions des parlementaires.
Les députés débattront à partir d’aujourd’hui du projet d’amendement du code pénal. Un texte qui a connu plusieurs reports en raison de divergences sur certains articles.
Les sénateurs ont débattu ce jeudi du projet de loi modifiant et complétant la loi 98-06 du 27 juin 1998 fixant les règles générales relatives à l’aviation civile.
Le Président a ordonné d’encourager l’investissement agricole dans le Sud, d’autant qu’il dispose de toutes les conditions et potentialités nécessaires, tout en accélérant la régularisation des cas en suspens depuis des années, au titre du dossier de mise en valeur des terres.
La compagnie aérienne nationale Air Algérie occupe la première position sur le marché aérien international, à l’exception du Maghreb, en raison de la non-exploitation de la ligne de Casablanca (Maroc).
Le phénomène de la migration devient, aujourd’hui, de plus en plus important et complexe, recoupant les inégalités entre les genres, les droits de l’homme, la xénophobie, l’économie, les conflits, la politique et la sécurité. Cette question bouscule les pays des deux rives de la Méditerranée, dès lors que ce fléau engendre de nombreux drames humains.
Le chef de l’Etat a jugé utile, lors de la tenue d’une réunion du Conseil des ministres, fin décembre dernier, d’enrichir les projets de loi relatifs aux statuts et régimes indemnitaires des corps relevant de plusieurs secteurs, notamment celui de la santé, de l’éducation nationale, de l’enseignement supérieur…