Les imprimeries publiques traversent une situation difficile et les journaux doivent régler leurs dettes auprès d’elles dans les plus brefs délais.
Le parquet de la République, près le tribunal de Sidi M’hamed d’Alger, a communiqué, lundi soir, les premiers éléments de l’enquête sur les feux de forêt survenus, le 17 août dernier à l’est du pays.
Le Conseil des ministres, réuni hier sous la présidence du chef de l’Etat, Abdelmadjid Tebboune, décide d’une série de mesures pour lutter contre l’hécatombe routière.
L’emprisonnement, depuis jeudi dernier, du journaliste du quotidien arabophone Echorouk, Belkacem Houam, suscite une vague d’indignation.
Le remaniement ministériel annoncé, il y a quelques semaines, a été opéré jeudi dernier. Le président Abdelmadjid Tebboune a décidé finalement de procéder à un simple lifting de l’Exécutif d’Aïmene Benabderrahmane maintenu, quant à lui, à la tête du gouvernement. En effet, le changement annoncé n’a touché que six départements ministériels.
La visite du rapporteur spécial de l’ONU sur la liberté d’association, de réunions et de manifestations programmée du 12 au 22 septembre en cours vient d’être reportée, à la demande du gouvernement. Elle est renvoyée, selon une source proche du dossier, à l’année 2023, sans pour autant préciser de date.
La vie politique algérienne est carrément à l’arrêt. La rentrée politique, coïncidant habituellement avec le début du mois de septembre et la fin des vacances d’été, est morose. Hormis l’ouverture de la session parlementaire 2022-2023 et des sorties ministérielles, les activités politiques sont quasi inexistantes.
Le Premier ministre, Aïmene Benabderrahmane, présentera sa déclaration de politique générale à l’Assemblée populaire nationale (APN).
La session parlementaire 2022-2023 a été ouverte, depuis hier, avec une interrogation majeure. Il s’agit de savoir si le Premier ministre, Aïmene Benabderrahmane, à la tête du gouvernement depuis le 30 juin 2021, présentera enfin, comme le stipule la Constitution, le bilan de son gouvernement, appelé aussi déclaration de politique générale.
Eté 2021 - été 2022. Une année après les incendies de forêt ayant causé drame et désolation en Kabylie, l’histoire se répète, charriant à nouveau mort d’hommes et destruction de biens et de l’environnement. Cette fois-ci, l’apocalypse s’est produite à l’extrême est du pays, et plus précisément dans les wilayas d’El Tarf et Souk Ahras.
«L’objectif de la participation du FFS est de gagner des espaces dans les Assemblées populaires communales concernées et profiter de ce rendez-vous pour promouvoir son projet politique et plaider en faveur de sa vision de la gestion locale basée sur la démocratie participative et la solidarité locale», lit-on dans un communiqué.
L’avant-projet de loi organique relative à l’information a été, pour la énième fois, au menu de la réunion du gouvernement. Renvoyé à maintes reprises par le Conseil des ministres pour enrichissement, le texte a été examiné à nouveau lors de la réunion hebdomadaire du gouvernement. Présentée par le ministre de la Communication, la nouvelle mouture, telle qu’exposée par le communiqué de l’Exécutif, tend à renforcer le contrôle sur les médias. «Ce projet de texte a pour objectif la mise en place d’un cadre législatif global qui contribuera à consolider la liberté de la presse écrite, audiovisuelle et électronique et à favoriser l’émergence d’un paysage médiatique national ancré dans les réalités nationales, conscient des enjeux nationaux et internationaux et respectueux des chartes de l’éthique et de la déontologie», lit-on dans ce communiqué, qui définit les objectifs visés à travers l’élaboration de cet avant-projet de loi.
Jusqu’à hier soir, les familles des concernés et les défenseurs des droits de l’homme étaient dans l’expectative. Aucune information sur la mise en œuvre des mesures présidentielles n’a filtré.
La présidence de la République a annoncé, lundi soir, une série de mesures de grâce présidentielle en faveur de plusieurs catégories de détenus. Mais la fin du communiqué a suscité des interrogations.
Louisa Dris-Aït Hamadouche, observatrice avisée du hirak et ayant pris part, trois ans durant, aux marches, aux débats et à diverses rencontres organisées par des acteurs politiques, a choisi d’aborder la question de la «représentation dans le mouvement».
Les participants exigent la promulgation rapide d’une loi sur la publicité pour définir les critères commerciaux de sa distribution transparente aux entreprises de presse.
Soixante ans après l’indépendance, la presse algérienne continue de faire du surplace.
La formation dirigée par Louisa Hanoune estime que ce code «va livrer le pays au pillage étranger au profit des multinationales, alors que ces dernières ne cherchent que de nouveaux marchés pour leurs marchandises frappées par l’inflation, la récession et la saturation du marché mondial».
Soixantenaire du système médiatique algérien (1962-2022) : politiques, législation, pratiques et défis». C’est le thème choisi par les organisateurs d’un forum sur la presse algérienne, devant être organisé les 29 et 30 juin à l’initiative de l’université Alger 3, en collaboration avec la revue algérienne de la communication.
L’homme d’affaires le plus riche d’Algérie et fondateur du groupe Cevital, Issad Rebrab, prend sa retraite. La décision, annoncée hier dans une déclaration rendue publique, prendra effet à partir du 30 juin.