«L’objectif de la participation du FFS est de gagner des espaces dans les Assemblées populaires communales concernées et profiter de ce rendez-vous pour promouvoir son projet politique et plaider en faveur de sa vision de la gestion locale basée sur la démocratie participative et la solidarité locale», lit-on dans un communiqué.
L’avant-projet de loi organique relative à l’information a été, pour la énième fois, au menu de la réunion du gouvernement. Renvoyé à maintes reprises par le Conseil des ministres pour enrichissement, le texte a été examiné à nouveau lors de la réunion hebdomadaire du gouvernement. Présentée par le ministre de la Communication, la nouvelle mouture, telle qu’exposée par le communiqué de l’Exécutif, tend à renforcer le contrôle sur les médias. «Ce projet de texte a pour objectif la mise en place d’un cadre législatif global qui contribuera à consolider la liberté de la presse écrite, audiovisuelle et électronique et à favoriser l’émergence d’un paysage médiatique national ancré dans les réalités nationales, conscient des enjeux nationaux et internationaux et respectueux des chartes de l’éthique et de la déontologie», lit-on dans ce communiqué, qui définit les objectifs visés à travers l’élaboration de cet avant-projet de loi.
Jusqu’à hier soir, les familles des concernés et les défenseurs des droits de l’homme étaient dans l’expectative. Aucune information sur la mise en œuvre des mesures présidentielles n’a filtré.
La présidence de la République a annoncé, lundi soir, une série de mesures de grâce présidentielle en faveur de plusieurs catégories de détenus. Mais la fin du communiqué a suscité des interrogations.
Louisa Dris-Aït Hamadouche, observatrice avisée du hirak et ayant pris part, trois ans durant, aux marches, aux débats et à diverses rencontres organisées par des acteurs politiques, a choisi d’aborder la question de la «représentation dans le mouvement».
Les participants exigent la promulgation rapide d’une loi sur la publicité pour définir les critères commerciaux de sa distribution transparente aux entreprises de presse.
Soixante ans après l’indépendance, la presse algérienne continue de faire du surplace.
La formation dirigée par Louisa Hanoune estime que ce code «va livrer le pays au pillage étranger au profit des multinationales, alors que ces dernières ne cherchent que de nouveaux marchés pour leurs marchandises frappées par l’inflation, la récession et la saturation du marché mondial».
Soixantenaire du système médiatique algérien (1962-2022) : politiques, législation, pratiques et défis». C’est le thème choisi par les organisateurs d’un forum sur la presse algérienne, devant être organisé les 29 et 30 juin à l’initiative de l’université Alger 3, en collaboration avec la revue algérienne de la communication.
L’homme d’affaires le plus riche d’Algérie et fondateur du groupe Cevital, Issad Rebrab, prend sa retraite. La décision, annoncée hier dans une déclaration rendue publique, prendra effet à partir du 30 juin.
L’écrivain et journaliste Abdelaziz Boubakir tire sa révérence, il s’est éteint hier à l’âge de 65 ans.
S’adressant aux 348 membres du CSJ, dont 232 élus, le chef de l’Etat met l’accent sur le rôle que «pourraient accomplir les jeunes Algériens dans la consolidation de la cohésion nationale et le renforcement du front interne».
Le nouveau leader du RCD a critiqué le processus politiques tel qu’il est lancé par le pouvoir en place. «Si le pouvoir attend des consultations ciblées qu’il a entreprises, l’établissement de la confiance entre les citoyens et les institutions du pays squattées par des procédés frauduleux, il se trompe lourdement», a-t-il affirmé.
L’Algérie a réagi officiellement aux déclarations des responsables espagnols concernant l’implication de la Russie dans la brouille entre Alger et Madrid. La réaction est venue de l’envoyé spécial pour le Sahara occidental et les pays du Maghreb au ministère algérien des Affaires étrangères, Amar Belani.
Le ministre des Finances, Abderrahmane Raouya, a été limogé. La décision a été annoncée hier après-midi par la présidence de la République, dans un communiqué posté sur sa page Facebook, sans donner plus de détails.
En quête d’avions bombardiers d’eau depuis la catastrophe causée par les feux de forêt durant l’été 2021, l’Algérie sollicite officiellement un fabricant américain. Une commande «urgente» a été, en effet, passée par le chef de l’Etat lui-même.
L’examen de fin de cycle primaire, appelé «5e», ne sera finalement pas rétabli. Le ministre de l’Education nationale, Abdelhakim Belabed, est revenu sur sa décision annoncée la semaine dernière. S’exprimant hier, en marge de la cérémonie du coup d’envoi des épreuves du baccalauréat (session 2022), il a affirmé que cet examen «est abandonné».
Le projet de révision de la loi sur l’audiovisuel a été une nouvelle au menu du Conseil des ministres, réuni dimanche dernier sous la présidence du chef de l’Etat, Abdelmadjid Tebboune.
Le Rassemblement pour la culture et la démocratie (RCD) a élu son troisième président depuis sa création, le 9 février 1989. Il s’agit de Atmane Mazouz, 52 ans, qui succède au président sortant, Mohcine Belabbas, qui a décidé de céder, volontairement, la tête du parti après deux mandats.
Vous venez d’être élu pour être le troisième président du RCD. Quelles sont vos impressions ? L’élection d’hier est une victoire du RCD et de ses militants. C’est la première fois dans l’histoire du parti, mais également dans l’histoire de l’Algérie depuis l’avènement du pluralisme politique, qu’une compétition est organisée au sein d’une formation politique et que ce sont les militants qui ont tranché. C’est donc une fierté pour un parti comme le RCD, qui est une vraie forteresse démocratique.