Le front contre la répression et pour les libertés est né. En préparation depuis des mois à l’initiative des forces du pacte pour l’alternative démocratique (PAD), cette structure a été proclamée, ce samedi 5 mars, lors d’une conférence organisée au siège du Mouvement démocratique et social (MDS), dont le coordinateur, Fethi Ghares, figure par les détenus politique et d’opinion.
Le procureur de la République près le tribunal de Bir Mourad Raïs, à Alger, a requis une peine d’emprisonnement contre le journaliste du quotidien El Khabar, Hamid Goumrassa, poursuivi pour un article de presse.
L’audition sur le fond du journaliste et militant Abdelkrim Zeghileche, prévue hier devant le juge d’instruction près le tribunal d’El Ziadia, à Constantine, a été reportée. Elle aura lieu dimanche 6 mars, selon le Comité national pour la libération des détenus d’opinion (CNLD). La même source rappelle que Abdelkrim Zeghileche a été placé sous mandat de dépôt depuis le 24 janvier 2022.
Le journaliste et militant Abdelkrim Zeghileche, ainsi que l’étudiant Benchabane Ahmed-Saïd seront auditionnés, aujourd’hui, par le juge d’instruction près le tribunal de Constantine.
Le journaliste d’El Watan, Nourredine Nesrouche, a été auditionné, hier, par le juge d’instruction près la 4e chambre du tribunal de Constantine.
Les avant-projets de loi sur l’information et sur l’audiovisuel, présentés dimanche en Conseil des ministres, n’ont finalement pas été adoptés. Le chef de l’Etat, selon un communiqué de la Présidence, «a demandé l’enrichissement de ces textes».
Les projets de loi sur l’information et l’audiovisuel ont été, hier, au menu de la réunion du Conseil des ministres. Les deux textes, programmés et déprogrammés à plusieurs reprises, suscitent toujours des interrogations et des craintes chez les professionnels de la presse.
Le journaliste d’El Watan Nourredine Nesrouche sera entendu, mardi 1er mars, par le juge d’instruction près le tribunal de Constantine. C’est ce que nous avons appris, hier, auprès de l’un de ses avocats, Boudjemaa Ghechir.
Les Algériens établis en Ukraine multiplient, depuis jeudi dernier, les appels à leur évacuation. Ces cris de détresse, émanant notamment des étudiants algériens inscrits dans des universités ukrainiennes, sont relayés sur les réseaux sociaux.
Les assises de la naissance du Front contre la répression et pour les libertés se tiendront le 5 mars prochain. C’est ce qu’a annoncé la coordination chargée de la préparation de cette structure, dans un communiqué rendu public hier. «La coordination pour un ‘‘Front contre la répression et pour les libertés’’ informe que les assises pour la proclamation de ce front qui ont été retardées en raison de l’aggravation de la pandémie, des entraves juridico-répressives qui touchent plusieurs organisations politiques parties prenantes de l’appel et de l’obstruction administrative à obtenir un lieu public de réunion, se tiendront le 5 mars 2022», lit-on dans ce document.
Mahmoud Rechidi rappelle au ministère de l’Intérieur que sa procédure de suspendre les activités du parti, engagée auprès du Conseil d’Etat, n’est qu’un acharnement.
Des personnalités nationales, des acteurs du mouvement citoyen, des militants de la société civile et des intellectuels lancent une nouvelle initiative politique pour la concrétisation des revendications du hirak.
Plusieurs partis de l’opposition alertent sur l’ampleur de la crise politique qui dure dans le pays et dénoncent les fuites en avant du pouvoir en place et sa politique du tout-répressif. Ils appellent, à l’occasion de la célébration du 3e anniversaire du hirak du 22 février 2019, à revenir, tant qu’il est encore temps, à la solution politique qui «est toujours possible».
Le politologue Mohamed Hennad revient dans cet entretien sur la célébration du 3e anniversaire du hirak pacifique du 22 février 2019. Il rappelle ses origines et analyse son évolution et l’attitude du pouvoir en place à son égard. Selon lui, «le hirak a, certes, réalisé peu de choses dans l’immédiat», mais il «a réussi à éveiller la conscience collective».
A Bouira, Skikda, M’sila, Mostaganem, Mila… et dans d’autres wilayas du pays, des centaines de jeunes se sont amassés devants les sièges des annexes de l’ANEM dans l’espoir de déposer leurs dossiers de «candidature» à cette allocation.
Le chef de l’Etat, Abdelmadjid Tebboune, a entamé, hier, une visite d’Etat de deux jours au Qatar, à l’invitation de l’émir cheikh Tamim Ben Hamad Al Thani. «Cette visite s’inscrit dans le cadre du renforcement des relations fraternelles entre les deux peuples frères et de la promotion de la coopération bilatérale, en consécration des relations solides et séculaires unissant les deux peuples et les dirigeants des deux pays», indique la présidence de la République dans un communiqué. Lors de cette visite, ajoute la même source, le président Tebboune participera au 6e sommet des chefs d’Etat et de gouvernement du Forum des pays exportateurs de gaz (GECF).
Dans une récente déclaration, le directeur général de l’ANEM avait donné le chiffre de 800 000 chômeurs concernés par cette allocation.
Gel de taxes et impôts, suppression d’autres et suspension de mesures prévues par des textes de loi… L’Exécutif multiplie depuis quelques semaines ce genre de décisions qui suscitent, au-delà de leur utilité, moult interrogations sur l’état de la gouvernance du pays.
L’Union nationale des Ordres des avocats (UNOA) maintient sa position concernant le rejet du nouveau régime fiscal imposé par la loi de finances 2022 aux professions libérales.
La situation des détenus d’opinion ayant entamé, depuis plus de 15 jours, une grève de la faim inquiète. Les avocats de la défense donnent l’alerte et dénoncent le silence des autorités judiciaires depuis le début de cette action et le transfert de certains d’entre eux vers les prisons de Bouira et de Berrouaghia.