L’écrivain et journaliste Abdelaziz Boubakir tire sa révérence, il s’est éteint hier à l’âge de 65 ans.
S’adressant aux 348 membres du CSJ, dont 232 élus, le chef de l’Etat met l’accent sur le rôle que «pourraient accomplir les jeunes Algériens dans la consolidation de la cohésion nationale et le renforcement du front interne».
Le nouveau leader du RCD a critiqué le processus politiques tel qu’il est lancé par le pouvoir en place. «Si le pouvoir attend des consultations ciblées qu’il a entreprises, l’établissement de la confiance entre les citoyens et les institutions du pays squattées par des procédés frauduleux, il se trompe lourdement», a-t-il affirmé.
L’Algérie a réagi officiellement aux déclarations des responsables espagnols concernant l’implication de la Russie dans la brouille entre Alger et Madrid. La réaction est venue de l’envoyé spécial pour le Sahara occidental et les pays du Maghreb au ministère algérien des Affaires étrangères, Amar Belani.
Le ministre des Finances, Abderrahmane Raouya, a été limogé. La décision a été annoncée hier après-midi par la présidence de la République, dans un communiqué posté sur sa page Facebook, sans donner plus de détails.
En quête d’avions bombardiers d’eau depuis la catastrophe causée par les feux de forêt durant l’été 2021, l’Algérie sollicite officiellement un fabricant américain. Une commande «urgente» a été, en effet, passée par le chef de l’Etat lui-même.
L’examen de fin de cycle primaire, appelé «5e», ne sera finalement pas rétabli. Le ministre de l’Education nationale, Abdelhakim Belabed, est revenu sur sa décision annoncée la semaine dernière. S’exprimant hier, en marge de la cérémonie du coup d’envoi des épreuves du baccalauréat (session 2022), il a affirmé que cet examen «est abandonné».
Le projet de révision de la loi sur l’audiovisuel a été une nouvelle au menu du Conseil des ministres, réuni dimanche dernier sous la présidence du chef de l’Etat, Abdelmadjid Tebboune.
Le Rassemblement pour la culture et la démocratie (RCD) a élu son troisième président depuis sa création, le 9 février 1989. Il s’agit de Atmane Mazouz, 52 ans, qui succède au président sortant, Mohcine Belabbas, qui a décidé de céder, volontairement, la tête du parti après deux mandats.
Vous venez d’être élu pour être le troisième président du RCD. Quelles sont vos impressions ? L’élection d’hier est une victoire du RCD et de ses militants. C’est la première fois dans l’histoire du parti, mais également dans l’histoire de l’Algérie depuis l’avènement du pluralisme politique, qu’une compétition est organisée au sein d’une formation politique et que ce sont les militants qui ont tranché. C’est donc une fierté pour un parti comme le RCD, qui est une vraie forteresse démocratique.
Ce rendez-vous, qui a regroupé, certes, plus de 600 militants-congressistes, a été aussi un lieu pour une rencontre des acteurs politiques et sociaux de la mouvance démocratique avides d’espace de débats libres et ouverts.
L'ancien député de Bejaia, Atmane Mazouz est le nouveau président du RCD. Il a été élu, tard dans la nuit de vendredi, à la majorité des voix des congressistes.
L’instance présidentielle du Front des forces socialistes (FFS) a dévoilé, lundi, la composante du nouveau secrétariat. Le nouveau staff est composé d’une cinquantaine de membres, une première dans l’histoire du parti.
Ambassadeur pour la Méditerranée, l’écrivain franco-algérien Karim Amellal effectue depuis quelques jours une visite à Alger qui rentre dans le cadre de la mise en œuvre des décisions du Forum des mondes méditerranéens, tenu à Marseille en février dernier. Il explique ici l’objectif des décisions prises lors de ce rendez-vous par le président français, Emmanuel Macron. Ami et proche du chef de l’Etat français, Karim Amellal est revenu aussi sur la situation des relations politiques entre l’Algérie et la France, qu’il qualifie de «bonnes», comme il exprime son avis sur la question de la mémoire, qui a tant miné les rapports entre les deux pays.
Le Parti socialiste des travailleurs (PST) a reçu officiellement la notification judiciaire portant suspension de ses activités et fermeture de ses locaux.
Le journaliste algérien et ancien correspondant du quotidien Liberté à Tamanrasset, Rabah Karèche, a obtenu, vendredi dernier, le Prix Najiba Hamrouni de la déontologie journalistique 2022. Cette distinction lui a été attribuée par l’Association tunisienne Vigilance pour la Démocratie et l’Etat civique.
Le Conseil des opérateurs des équipements médicaux (CNOEM) saisit officiellement le ministre de l’Industrie pharmaceutique sur les contraintes juridiques auxquelles fait face leur activité.
Amnesty International Algérie réitère à nouveau son appel aux autorités algériennes à franchir le dernier pas vers l’abolition de la peine capitale. «Après avoir raté, encore une fois, l’occasion d’abolir la peine de mort lors de la dernière révision de la Constitution en novembre 2020, nous appelons les autorités algériennes à adopter une position cohérente au niveau national et international en franchissant le dernier pas vers l’abolition de la peine capitale en Algérie. Nous allons continuer à nous mobiliser pour que l’Algérie devienne le premier pays de la région à abolir cette peine cruelle et inhumaine», déclare Hassina Oussedik, directrice d’Amnesty International Algérie, citée dans un communiqué rendu public hier, à l’occasion de la publication du rapport annuel de l’ONG sur cette sentence infamante dans le monde.
L’Algérie dément officiellement l’existence d’une «médiation saoudienne» pour résoudre la crise diplomatique avec le Maroc.
Trente-huit ONG algériennes et internationales ont lancé, du 19 au 28 mai en cours, une campagne virtuelle «#PasUnCrime» contre «la répression croissante des droits humaines en Algérie».