Les représentants de l’homme d’affaires, Issad Rebrab, et les délégués des salariés du journal Liberté sont parvenus à un accord sur l’indemnisation des travailleurs. Les négociations, lancées au lendemain de l’annonce de la liquidation pour des raisons qui demeurent inconnues de la publication, n’ont pas duré longtemps.
Le dossier de la dissolution de l’association Rassemblement Actions Jeunesse (RAJ) a atterri au Conseil des droits de l’homme (CDH) de l’ONU. Trois rapporteurs de cette instance onusienne ont demandé des explications aux autorités algériennes.
La fermeture, programmée pour la fin de la semaine en cours, du quotidien Liberté continue de susciter des réactions. Outre celles venant des acteurs nationaux, des organisations et institutions internationales ont également exprimé leurs inquiétudes concernant cette fermeture et ses conséquences sur la liberté d’expression en Algérie.
La femme et la mère de l’activiste et blogueur Merzoug Touati lancent un véritable cri d’alarme.
C’est fini ! Le quotidien Liberté cessera de paraître mercredi prochain. La décision, déjà annoncée il y a quelques jours, a été confirmée hier par son propriétaire, Issad Rebrab, mettant ainsi fin à la vie d’un journal qui devait fêter, dans deux mois, son trentième anniversaire.
Le Premier ministre, Aïmene Benabderrahmane, a signé un nouveau décret fixant les conditions et modalités d’octroi des pensions de retraite proportionnelle exceptionnelle aux agents de la garde communale. Publié au Journal officiel n°20 du 20 mars dernier, le texte intervient pour modifier et compléter les dispositions des articles 10 et 10 bis de l’ancien décret daté de 2011.
L’ancien député, Atmane Mazouz, est le premier candidat à la présidence du Rassemblement pour la culture et la démocratie (RCD). «Je me porte candidat pour la présidence du parti», fait-il savoir dans une déclaration rendue publique, hier.
L’ancien député, Atmane Mazouz annonce officiellement sa candidature à la présidence du rassemblement pour la culture et la démocratie (RCD).
Le président du Syndicat national des magistrats (SNM), Yassad Mabrouk, a dénoncé «l’atteinte à l’image de la justice».
Le quotidien francophone Liberté baissera rideau dans les prochains jours. La décision a été confirmée, hier, par le propriétaire du titre aux journalistes et travailleurs lors d’une réunion tenue pour tirer au clair la situation.
Spécialiste de la presse algérienne, Ahcene Djaballah Belkacem, ancien professeur associé à l’université d’Alger, revient ici sur la situation de la presse algérienne. Il explique les raisons ayant conduit les médias à la crise actuelle.
Coopération dans la lutte antiterroriste, échanges diplomatiques, rapports historiques et coopération économique… L’Algérie et les Etats-Unis entretiennent une «relation profonde et durable», comme le souligne un communiqué du gouvernement américain à l’occasion de la visite, hier à Alger, du secrétaire d’Etat, Antony J. Blinken.
Le procès de l’avocat Abderraouf Arslane et ses trois autres codétenus à la prison de Tébessa a été programmé pour le 26 mai prochain, devant la chambre criminelle près le tribunal criminel de la même wilaya.
Le verdict est tombé, hier matin, dans le procès des activistes du hirak, Mohamed Tadjadit et ses compagnons. Le juge près le tribunal de Sidi M’hamed a prononcé de lourdes peines d’emprisonnement à leur encontre.
La scène politique nationale traverse un grand passage à vide. Les partis politiques, toutes tendances confondues, donnent l’impression d’être en grande crise et peinent à gagner la confiance d’une plus grande majorité des Algériens.
Ancien ministre, ex-député et militant politique, Abdesselam Ali-Rachedi analyse, ici, l’état de la classe politique algérienne. Selon lui, «la vie politique est quasiment éteinte» et les différentes formations politiques «ne sont que des appareils déconnectés du réel».
Le président du Rassemblement pour la culture et la démocratie (RCD), Mohcine Belabbas, dresse un tableau des plus sombres de la situation sociale, économique et politique du pays. Intervenant à l’ouverture, hier à Alger, des travaux de la dernière session du conseil national du parti, avant le prochain congrès programmé pour le début du mois de juin prochain, il pointe d’emblée «l’entêtement du pouvoir, à travers ses farces électorales, à reproduire un système en faillite».
Le sixième congrès ordinaire du Rassemblement pour la culture et la démocratie (RCD), se tiendra le 3 et 4 juin prochain.
La loi sur l’exercice syndical en Algérie, adoptée hier par le Conseil de la nation, ouvrira-t-elle la voie à l’émergence d’une nouvelle expérience syndicale ? Loin des travées du Parlement, la question revient avec insistance chez les travailleurs, les syndicalistes et les observateurs qui attendent de voir ses effets sur le terrain.
Haute autorité de transparence, instance d’enquête sur l’enrichissement illicite des fonctionnaires, révision de loi de lutte contre la corruption… Le pouvoir exécutif multiplie, depuis quelques jours, des annonces sur sa volonté de mener «une réelle campagne mains propres».