De nouvelles perspectives s’ouvrent pour la coopération économique entre l’Algérie et l’Italie. Les deux pays cherchent, en effet, à consolider leurs relations sur ce plan. La visite hier en Algérie du vice-président du Conseil des ministres italien, ministre des Affaires étrangères et de la Coopération internationale, Antonio Tajani entre dans ce cadre.
Rachida Dati fait, surtout, partie de ce contingent politique qui a toujours œuvré à arrimer le président Emmanuel Macron au Makhzen. Sa visite résonne comme un acte qui vise à empêcher toute possibilité de retour en arrière dans la situation de crise que connaissent les relations bilatérales.
Les relations stratégiques entre l’Algérie et l’Inde sont en plein développement, ancrées dans des intérêts communs. Les deux pays coopèrent déjà dans plusieurs domaines et aspirent aujourd’hui à renforcer davantage leurs partenariats et leurs échanges commerciaux.
Le sénateur français d’origine algérienne, Rachid Temal, livre une nouvelle réalité concernant les relations algéro-françaises. Ayant effectué une visite de deux jours, les 8 et 9 février courant, à Alger à l’invitation de la Chambre de commerce algéro-français (CCIAF-CCI), le parlementaire, loin du brouhaha politico-médiatique dans l’Hexagone, fait un constat qui tranche avec le discours actuel des officiels et des politiques de la droite et de l’extrême droite en France.
«Le climat est délétère, nous perdons du temps avec le président (Emmanuel) Macron. Nous avions beaucoup d’espoirs de dépasser le contentieux mémoriel», a déclaré le chef de l’Etat à l’Opinion.
Le ministre de l’Intérieur, Brahim Merad, a affirmé que les relations algéro-italiennes connaissaient une «dynamique remarquable», traduisant la volonté politique du président de la République, Abdelmadjid Tebboune, et de son homologue italien, Sergio Mattarella, a indique hier un communiqué du ministère.
Le ministre d’Etat, ministre des Affaires étrangères, de la Communauté nationale à l’étranger et des Affaires africaines, Ahmed Attaf, a reçu, hier, un appel téléphonique du secrétaire d’Etat américain, Marco Rubio, a annoncé un communiqué du ministère.
Les relations économiques entre l’Algérie et les Etats-Unis ont-elles évolué différemment sous le premier mandat de Donald Trump et celui de Joe Biden ? Durant son premier mandat (2017-2021), Trump, connu pour son approche transactionnelle, n’a pas mis en place de grands projets économiques avec l’Algérie.
Le général d’armée Saïd Chanegriha, ministre délégué auprès du ministre de la Défense nationale et chef d’état-major de l’Armée nationale populaire (ANP), a reçu, hier, le général d’armée Michael Langley, commandant du Commandement militaire américain pour l’Afrique (Africom), indique un communiqué du ministère de la Défense nationale (MDN).
Le nouveau dirigeant syrien Ahmad Al Charaa et le Premier ministre libanais, Najib Mikati, ont affirmé, avant-hier à Damas, l’engagement des deux pays à construire des liens stratégiques durables, après des décennies de relations ambiguës, a rapporté l’agence AFP.
Cette dynamique diplomatique se veut multilatérale. L’idée, pour Alger, est de se positionner comme un défenseur des intérêts africains, en s’appuyant sur des partenariats solides.
Dans une interview au Figaro Magazine, l’ancien diplomate, et un des idéologues attitrés de l’extrême droite en France, suggère ce qu’il pense être des mesures pour faire pression sur l’Algérie.
L’Algérie œuvre à combler le vide laissé par la paralysie de l’Union du Maghreb arabe (UMA), une des huit communautés régionales sur lesquelles est bâtie l’Union africaine.
La secrétaire générale du ministère français de l’Europe et des Affaires étrangères, Anne-Marie Descôtes, est arrivée hier à Alger dans le cadre d’une visite officielle.
Les relations commerciales entre l’Algérie et l’Espagne tendent petit à petit vers la normalisation. Ce retour progressif à la normale s’est traduit par l’envoi d’un nouvel ambassadeur algérien à Madrid et la libéralisation de l’importation de certains produits espagnols.
Le ministre espagnol des Affaires étrangères, José Manuel Albares, effectuera, demain, une visite officielle en Algérie.Première du genre depuis le début de la crise diplomatique entre Alger et Madrid, cette visite vient confirmer le retour à la normale dans les relations entre les deux pays.
Ce réchauffement entre Alger et Madrid est favorisé, rappelons-le, par le changement de la position espagnole concernant la question du Sahara occidental. C’est ce qu’a laissé entendre le ministre des Affaires étrangères, Ahmed Attaf, dans une interview accordée, le 28 décembre dernier, à la chaîne qatarie Al Jazeera.
Dans une déclaration à la presse, le ministre nigérien des Affaires étrangères, Bakary Yaou Sangaré, qui était en visite mardi à Alger, a salué le rôle de l’Algérie dans le règlement des crises que le Niger a eu à affronter par le passé.
Le froid qui caractérise les relations diplomatiques algéro-espagnoles et son impact sur le volet économique poussent de nombreuses entreprises espagnoles à contourner les obstacles d’exportation de leurs produits, en passant par des entreprises intermédiaires au Portugal, et en y créant des filiales.
Depuis quelques mois, et encore plus ces dernières semaines, partis, personnalités politiques et médias montent au créneau pour dénoncer des prétendus avantages algériens en matière d’immigration.