L’ONU a mis en garde Israël contre «toute mesure qui vise à étendre son invasion» à la ville de Rafah, frontalière avec l’Egypte, qui abrite plus de deux millions de réfugiés palestiniens. «Les bombardements aveugles de zones densément peuplées peuvent constituer des crimes de guerre», a averti un responsable onusien. Cette escalade de la guerre contre Ghaza intervient au moment où le coordonateur des secours d’urgence à l’Onu, Martin Griffiths, saluait «les premiers signes» de ce qu’il a qualifié d’«avancée potentielle» dans les négociations pour un cessez-le-feu et la libération de tous les otages.
Alors que l’entité sioniste n’a toujours pas présenté de preuves corroborant ses accusations contre 12 fonctionnaires de l’Unrwa, «un groupe d’experts», dirigé par l’ancienne cheffe de la diplomatie française, Catherine Colonna, a été désigné par le chef de l’Onu, pour évaluer le travail de l’agence.
Dans une déclaration conjointe rendue publique jeudi, les experts de l’Onu affirment que la guerre menée par Israël contre Ghaza est devenue «le conflit le plus meurtrier et le plus dangereux de l’histoire récente pour les journalistes».
L’un des six pays voisins du Soudan, l’Ethiopie, a accueilli, depuis avril 2023, plus de 100 000 personnes fuyant les combats, selon l’ONU. Celles-ci s’ajoutent aux quelque 50 000 réfugiés soudanais déjà présents dans le pays.
L'Organisation météorologique mondiale (OMM) a officiellement confirmé mardi le record de température de 48,8°C enregistré le 11 août 2021 en Sicile, après une minutieuse évaluation des données et des instruments de mesure utilisés.
Les Nations unies, par le biais de son secrétaire général, António Guterres, ont exprimé leur «choc» face aux allégations et ont appelé à une enquête approfondie, soulignant l’importance de maintenir l’assistance humanitaire dans la région.
Le Conseil de sécurité, réuni mardi au sujet de la situation en Palestine occupée, a réitéré son appui à la solution à deux Etats pour mettre fin au conflit au Proche-Orient, appelant, à cette occasion, à l’arrêt immédiat de l’agression sioniste contre le peuple palestinien et à l’acheminement de l’aide humanitaire en urgence.
Devant la situation humanitaire dramatique qui sévit dans la Bande de Ghaza, trois agences onusiennes, l’OMS, l’Unicef et le Programme alimentaire mondial (PAM), ont exigé d’Israël d’ouvrir de nouveaux passages pour porter secours à une population menacée par la famine et les épidémies.
Le Haut-Commissaire de l’ONU aux droits de l’homme s’est dit «très préoccupé» hier par les discours de haine à caractère ethnique et l’incitation à la violence en République démocratique du Congo (RDC), dans un communiqué diffusé à Genève, rapporte l’AFP.
L’Organisation des Nations unies prévoit un ralentissement de la croissance économique mondiale pour l’année 2024. Dans un rapport sur la «Situation et perspectives de l’économie mondiale», publié par le département des Affaires économiques et sociales de l’ONU, le taux de croissance, qui a été de 2,7% en 2023, passera à 2,4% en 2024, toujours bien inférieur au niveau d’avant la pandémie de Covid-19 (3%).
En entamant son mandat en tant que membre non permanent du Conseil de sécurité des Nations unies, l’Algérie renoue avec son rôle diplomatique au sein des Nations unies. C'est la quatrième fois que l'Algérie occupe un siège non permanent au Conseil de sécurité. Le tout premier mandat a été entamé en 1968.
Le chef des secours et des affaires humanitaires de l’ONU, Martin Griffiths, a déclaré vendredi que «la guerre à Ghaza doit cesser», alors que l’agression sioniste contre l’enclave palestinienne se poursuit depuis près de trois mois.
Le 6 juin 2023, l’Algérie a été élue membre non permanent du Conseil de sécurité de l’ONU pour une durée de deux ans (2024-2025). Elle entame en ce début d’année son mandat dans un contexte international extrêmement tendu, marqué par les crimes de masse israéliens à Ghaza.
L’Algérie commence, en ce début de 2024, son mandat en tant que membre non permanent du Conseil de sécurité de l’ONU. Ce mandat onusien de deux ans intervient dans un contexte marqué par une communauté internationale montrant au grand jour son impuissance à régler les conflits, avec des Nations unies en déclin d’influence.
Quatre rapporteurs de l'ONU ont exprimé leur inquiétude mercredi quant à l'exécution prévue d'un condamné à mort aux États-Unis par inhalation d'azote, une méthode qui serait une première mondiale, et pour laquelle ils estiment qu'elle pourrait entraîner de «graves souffrances». Dans ce type d'exécution, la mort est provoquée par hypoxie (raréfaction d'oxygène).
Plus de six mois après son élection en qualité de membre non permanent du Conseil de sécurité de l’ONU, l’Algérie a entamé, en ce début d’année, son mandat dans l’espoir de porter la voix de l’Afrique dans cet organe central de l’ONU, selon le vœu du président Tebboune, a rapporté l’APS.
Alors que la population civile qui survit aux bombardements souffre de la famine, l’armée d’occupation israélienne a mitraillé, hier matin, un convoi humanitaire acheminé par l’Unrwa (Office de secours et de travaux des Nations unies pour les réfugiés de Palestine) sur une route qu’elle a elle-même préalablement arrêtée.
Pendant que les bombardements incessants et intensifs ciblaient de nombreux quartiers au sud et au nord de Ghaza, faisant plus d’une centaine de morts, notamment des femmes et des enfants, et poussant des milliers de civils à l’exil, le secrétaire général de l’ONU désignait, mardi dernier, Sigrid Kaag, ministre des Finances et vice-Première ministre des Pays-Bas, au poste de coordinatrice de l’aide humanitaire et de la reconstruction de Ghaza, qui aura pour mission, dès le 8 janvier 2024, de «mettre en place un mécanisme des Nations unies pour accélérer l’acheminement de l’aide humanitaire à Ghaza».
L’ONU s’est dite hier «profondément inquiète» de la poursuite des bombardements israéliens sur le centre de la Bande de Ghaza et a exhorté les forces israéliennes à prendre toutes les mesures possibles pour protéger les civils.
L’aval donné le 18 décembre par le Conseil de sécurité au plan de l’envoyé de l’ONU en Libye, Abdoulaye Bathily, a constitué le tremplin recherché par l’ambassadeur américain, Richard Norland, pour reprendre ses manœuvres en Libye.