Les efforts entrepris pour tenter de résoudre la crise de la dette des pays pauvres sont insuffisants, face à l’ampleur et l’urgence du problème, a jugé, hier, la cheffe de la Conférence des Nations unies sur le commerce et le développement.
Vente du pétrole en contrebande, contournement de l’embargo onusien sur les armes, compromission dans les réseaux de migration clandestine et trafic de drogue. Les groupes armés, en Libye, sont derrière toutes les décisions politiques, selon un rapport d’experts de l’ONU sur les activités illégales entre les 25 avril 2022 et 17 juillet 2023.
Entre le 1er janvier et le 24 septembre 2023, 186 000 migrants sont arrivés dans le sud de l’Europe (Italie, Grèce, Chypre et Malte), dont 130 000 en Italie, «soit une augmentation de 83% par rapport à la même période de 2022».
Le ministère des Affaires étrangères (MAE) est revenu sur la visite en Algérie du rapporteur spécial des Nations unies en charge des droits à la liberté de réunion et à la liberté d’association. Une visite dix jours, qui s’est achevée le 26 septembre.
Le rapporteur de l’ONU sur les libertés d’association et de réunion, Clément Nyaletsossi Voule, présente ses observations préliminaires sur la situation et ses recommandations.
Le ministre des Affaires étrangères, Ahmed Attaf, a relevé «le besoin urgent de faire entendre la voix africaine, sage et engagée, dans le contexte mondial actuel pour passer outre les divisions et surmonter l’état de polarisation qui altère l’efficacité du Conseil de sécurité de l’ONU».
L’ouverture de la 78e Assemblée générale de l’ONU a ressemblé à de nombreuses sessions qui l’ont précédée : le constat d’un monde marqué par les inégalités, la persistance de foyers de conflits armés, le statu quo et la controverse sur les dernières colonies, l’accumulation des défis qui s’imposent à la communauté humaine et des appels à réagir solidairement pour y faire face.
Les appels pour la réforme du Conseil de sécurité retentissent à nouveau au sein de l’Assemblée générale des Nations unies. A l’ouverture, mardi, du débat général, António Guterres, secrétaire général de l’ONU, a appelé à une refonte urgente de l’organisation, estimant que les instituions «ne reflètent pas le monde tel qu’il est aujourd’hui».
Le président de la République a réaffirmé, mardi, la position immuable de l’Algérie en faveur des causes justes et en soutien aux peuples opprimés qui luttent pour la liberté, en tête desquelles les questions palestinienne et sahraouie.
Le président Abdelmadjid Tebboune a rencontré, avant-hier à New York, ses homologues iranien, Ebrahim Raïssi, ghanéen, Nana Akufo-Addo, palestinien, Mahmoud Abbas, et suisse, Alain Berse, avec lesquels il a abordé des questions d’ordre bilatéral mais aussi les dossiers régionaux et internationaux.
Le secrétaire général de l’Organisation des Nations unies (ONU), António Guterres, appelle à un renouvellement des institutions multilatérales pour relever les défis du XXIe siècle.
Le secrétaire général de l’ONU appelle à «l’intensification des efforts» pour «sauver» les Objectifs du développement durable (ODD).
Ce dimanche 17 septembre, le Croissant-Rouge libyen a vivement contesté le bilan de 11 300 décès dans les inondations de la ville de Derna, à l'est du pays, attribué par le Bureau de coordination des affaires humanitaires de l'ONU.
La 78e session ordinaire de l’ONU a été déclarée ouverte le 5 septembre dernier par le nouveau président de l’Assemblée générale, le Trinidadien Dennis Francis. Elue le 6 juin dernier comme membre non permanent au Conseil de sécurité, l’Algérie compte bien défendre les valeurs et les principes fondamentaux de sa politique étrangère.
Le président de la République arabe sahraouie démocratique (RASD), Brahim Ghali, s’est entretenu, hier à New York, avec le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, dans le cadre du dialogue permanent entre la partie sahraouie et le secrétariat général de l’instance onusienne.
Le chef des droits de l'homme de l'ONU a exprimé lundi sa préoccupation face à l'impact dévastateur du changement climatique, qui provoque des incendies, des inondations et des vagues de chaleur meurtrières tout en poussant un nombre croissant de migrants à fuir leurs foyers.
L’envoyé spécial du secrétaire général de l’ONU pour la Libye, Abdoulaye Bathily, a multiplié les rencontres, ces dernières 72 heures, avec les divers acteurs de la scène libyenne.
La grave situation sécuritaire, qui prévaut au Mali, Niger et Libye, avec lesquels l’Algérie partage plusieurs milliers de kilomètres de frontière, transforme peu à peu la région en véritable poudrière. Les experts de l’ONU alertent sur «l’expansion des groupes djihadistes» au nord du Mali, une «crise humanitaire» au Niger et une situation «désastreuse» en Libye. L’Algérie craint le pire, mais segarde de freiner toutes ces menaces.
Pyongyang s’en est pris hier à l’ONU, après avoir été accusé devant le Conseil de sécurité de «violations atroces» des droits humains contre sa population, et a qualifié les transfuges nord-coréens de «racailles», selon l’agence officielle KCNA, relayée par l’AFP.
Le jeudi 17 août, devant le Conseil de sécurité des Nations unies, la Corée du Nord a été accusée de commettre des violations "atroces" et "inimaginables" des droits humains envers sa population dans le but de soutenir le développement de ses programmes d'armements nucléaires et balistiques, malgré les sanctions internationales.