Le président américain ne fait pas mystère de sa volonté de s’attaquer aux excédents commerciaux de l’UE en taxant les importations de produits européens.
Le ministère américain de l’agriculture (USDA) a revu en baisse ce 8 novembre ses estimations de production de maïs et de soja aux Etats-Unis, à cause d’une baisse des rendements, alors que la récolte américaine arrive à sa fin.
Les tenors de la première administration Trump ne feront pas partie du prochain gouvernement américain malgré des rumeurs qui allouaient déjà le Pentagone à Mike Pompeo, ex-directeur de la CIA.
Très mauvaise nouvelle pour le peuple palestinien, son ennemi mortel vient d’entrer à la Maison-Blanche. Le psychopathe Benyamin Netanyahu a tout fait pour prolonger la guerre, engageant l’armée israélienne dans la pire campagne de massacres et de destructions depuis la création d’Israël.
Insensible à l’élection de Donald Trump, la Banque centrale américaine a abaissé son principal taux directeur d’un quart de point de pourcentage jeudi.
Durant son premier mandat présidentiel (2016-2020), Donald Trump avait multiplié les gestes de soutien à Israël aux dépens des Palestiniens. L’un des plus décriés était la proclamation unilatérale, en décembre 2017, de Jérusalem comme capitale éternelle et indivisible d’Israël. En mai 2018, il avait ordonné le transfert de l’ambassade des Etats-Unis de Tel-Aviv à la ville sainte palestinienne. En août de la même année, Washington coupait les vivres à l’UNRWA.
Le républicain a su incarner la revanche des Américains se sentant déclassés, le conservatisme moral rassurant des millions d’Américains redoutant un progressisme caricaturé associé au «wokisme». Ces Américains qui ne croient pas à une mission particulière des Etats-Unis dans le monde, mais à la nécessité de se recentrer sur la sécurité et la prospérité du peuple américain.
Un retour stupéfiant» et «un choix périlleux» : la presse américaine a décrypté hier la victoire de Donald Trump face à la démocrate Kamala Harris et se projette déjà dans un nouveau mandat du républicain. Après une campagne «improbable et historique», Donald Trump a réalisé «l’un des retours les plus remarquables de l’histoire politique», assure le quotidien américain USA Today.
Les républicains ont repris hier le contrôle du Sénat des Etats-Unis, un organe crucial du pouvoir fédéral, cette victoire permettant au parti de Donald Trump de dominer au moins l’une des deux chambres du Congrès.
Les conséquences économiques de l’élection de Donald Trump seront, selon les observateurs de la chose économique, «profondes et immédiates».
Les républicains reviennent au pouvoir aux Etats-Unis et leur politique ne manquera pas d’affecter le reste du monde. En plus de l’élection du prochain président et de son vice-président, le scrutin de ce 5 novembre 2024 devait renouveler la totalité des membres du Congrès et 1/3 des membres du Sénat.
Donald Trump a battu la vice-présidente Kamala Harris dans un retour politique historique, en reprenant la Maison Blanche après une défaite électorale en 2020, selon les prévisions de CNN.
Le FBI a indiqué que les menaces «n’étaient pas crédibles». Plusieurs élus pointent la responsabilité de la Russie.
Qui remportera la présidentielle américaine, la vice-présidente démocrate Kamala Harris ou l’ancien chef d’Etat républicain Donald Trump ? Quelque 244 millions d'Américains sont appelés hier pour trancher sur cette question, dont plus de 80 millions ont déjà voté par anticipation, soit par correspondance ou en personne.
Donald Trump ne se conformera pas aux résultats du scrutin présidentiel, et cela, il l’a annoncé dès le départ, martelant qu’il ira et restera à la Maison-Blanche coûte que coûte, élu ou pas élu.
Ce mardi 5 novembre, les Américains vont élire un nouveau Président. Et comme le veut la tradition, ils devront départager les candidats républicain et démocrate, autrement dit choisir entre Kamala Harris et Donald Trump.
Qui succédera à Joe Biden et deviendra ainsi le 47e président des Etats-Unis ? Après plusieurs mois de campagne, l’élection présidentielle américaine se tient aujourd’hui. Elle opposera deux candidats qui symbolisent la fracture de l’Amérique.
Quelque 244 millions d’Américains sont appelés demain aux urnes pour élire leur président. Ils ont à choisir entre le républicain Donald Trump, président de 2016 à 2020, et Kamala Harris, vice-présidente de Joe Biden, dans un pays profondément polarisé et au climat politique tendu, illustré notamment par la tentative d’assassinat de Donald Trump le 13 juillet, lors d’un meeting en Pennsylvanie.
Pour Israël, les Etats-Unis n’hésitent pas à se transformer en pyromanes, à se transformer en ennemis de la paix et de la justice, en violation de leurs obligations internationales en tant que membres du Conseil de sécurité de l’ONU.
Pour des raisons multiples, des présidents américains n’ont pas fait de second mandat.