L’art et l’économie du partage». Tel est le thème de la conférence animée lundi à la médiathèque d’Alger Noureddine Benamara, ancien juriste qui s’intéresse aussi à la culture et à l’histoire, et auteur de plusieurs ouvrages, entre autres Les Meknassas de l’Ouarsenis et Le manager et le droit.
Un des premiers témoignages sur la torture en Algérie a été publié récemment par les éditions Koukou. Dans un style simple, il relate les exactions des forces coloniales dans une guerre où les rapports de force sont disproportionnés.
Les deux artistes présentent des toiles riches et variées en couleurs.
De nombreux artistes ont obtenu des bourses après concours pour séjourner à la Villa Abdeltif au Hamma (Alger), dont une partie a choisi de s’installer en Algérie.
L’artiste peintre s’inspire directement des paysages pastoraux, marins, de leurs couleurs et leur lumière pour transposer sur la toile sa composition avec la technique de l’huile. Il s’intéresse aussi à la nature morte.
L’artiste n’a pas utilisé de perspective ni de figuratif. Elle s’est fixée sur l’expression de sentiments et d’émotions, les couleurs et les textures plutôt que la représentation réaliste de sujets concrets. Un art «non-objectif», «non représentatif», où aucun sujet concret n’est visible.
Outre le vécu personnel, l’auteur de Mes pierres blanches revisite une partie des événements qu’a connus le pays et dont il était pour plusieurs d’entre eux témoin.
Lancé le 10 mai à Alger, Béjaïa et Oran, le festival du film européen s’est achevé, lundi. A la Cinémathèque d’Alger est présentée lors de cette dernière journée de l’événement la projection de deux films.
Organisé depuis 2009, en partenariat entre les Etats membres de l’UE, le ministère de la Culture et des Arts et du Centre national de la cinématographie (CAC),ce festival (10-19 mai) présente au public algérien aux cinémathèques d’Alger, de Béjaïa et d’Oran des films de fiction et d’animation…
L’artiste s’intéresse en premier lieu à la forme d’animation des couleurs. La couleur prime sur le dessin et sur la réalité de la représentation. Elle privilégie la sensation visuelle au réalisme représentatif et au souci du détail. Les formes sont simplifiées et l’objet est reconnaissable.
Deux films sont présentés mardi à la Cinémathèque d’Alger dans le cadre Festival du film européen (10-19 mai), journée consacrée aux enfants et adolescents. Le premier est un film d’animation français pour enfants Linda veut du poulet, réalisé par Ciara Malta et Sébastien Laudenbach.
Dans le cadre du Festival du film européen (du 10 au 19 mai à Alger, Oran et Béjaïa), la Cinémathèque d’Alger a diffusé lundi deux films. Le premier est The man without gult du réalisateur slovène Ivan Gergolet. Il s’agit de l’histoire d’Angela, une veuve ayant perdu son mari suite à un cancer causé par l’inhalation d’amiante.
Transmise oralement de génération en génération, l’histoire de la princesse Lalla M’lawa a résisté aux vicissitudes du temps. Les pierres du palais où elle a vécu et la tenue traditionnelle des femmes d’une partie de la région de Bouira constituent les vestiges d’une princesse qui a marqué les habitants qui lui ont donné hospitalité.
Depuis le 21 avril, l’Institut français d’Alger abrite une exposition d’art contemporain intitulée : «L’éternel éphémère».
Usant du flashback, l’auteur offre une perspective permettant au lecteur de remonter le cours du temps et d’explorer les événements passés qui ont façonné ses personnages.
A travers la photo, l’artiste met en lumière une partie de la mémoire de la cité, une mémoire qui continue à résister aux aléas du temps.
Après l’attaque menée le 22 avril par des hommes armés à Pahalgam, au Cachemire indien, qui a fait 26 victimes, la tension est à son comble entre New Delhi et Islamabad.
L’explosion de samedi s’est produite au moment où des pourparlers cruciaux sur le nucléaire entre l’Iran et les Etats-Unis se déroulaient à Oman.
Depuis l’Inde, le vice-président américain a appelé la Russie et l’Ukraine à trouver une issue à leur conflit. Dans le cas contraire, l’administration de Trump se retirera des pourparlers où elle assume un rôle d’intermédiaire. Un appel lancé déjà la semaine dernière par le chef de la diplomatie américaine, Marco Rubio.
Il est le premier pape originaire des Amériques ou de l’hémisphère sud. Il est également le premier jésuite à être élu sur le trône de Saint-Pierre, les jésuites étant historiquement considérés avec suspicion par Rome.