L’autorisation donnée à Kiev par Joe Biden, pour utiliser des missiles américains à longue portée sur le territoire russe, est de nature à «jeter de l’huile sur le feu» dans le conflit en Ukraine.
Le Premier ministre indien, Narendra Modi, a rencontré hier le président nigérian, Bola Tinubu, pour sceller un «partenariat stratégique» entre les deux géants démographiques de l’Asie et de l’Afrique qui souhaitent jouer un rôle plus important dans le monde, rapporte l’AFP.
Quelque 860 mille électeurs sont convoqués hier aux urnes au Gabon pour se prononcer sur le projet de nouvelle Constitution, présentée par le régime du général Brice Oligui Nguema comme «un tournant majeur» après le putsch d'août 2023, rapporte l’AFP.
Sahara occidental, dernière colonie en Afrique», tel est le thème de la conférence tenue mercredi à «l’Espace Afrique» dans le cadre du programme culturel de la 27e édition du Salon international du livre à Alger (SILA).
Donald Trump a prévu de nommer des proches à des postes-clés de sa future administration, avec notamment des tenants d’une ligne dure face à la Chine, à l’image de l’influent sénateur de Floride, Marco Rubio, pressenti comme prochain chef de la diplomatie américaine.
Le président russe, Vladimir Poutine, a promis hier un «soutien total» de Moscou aux pays africains, à l'occasion d'une conférence ministérielle Russie-Afrique à Sotchi (sud-ouest), rapporte l’AFP. «Notre pays va continuer d'apporter son soutien total à nos amis africains dans différents domaines», a-t-il déclaré dans une déclaration, lue par son chef de la diplomatie, Sergueï Lavrov, devant les participants à la conférence.
L'Allemagne a célébré hier la chute du mur de Berlin tombé il y a 35 ans. Un événement historique, intervenu le 9 novembre 1989 qui marque un tournant important dans les relations Est-Ouest et la géopolitique mondiale.
Le républicain a su incarner la revanche des Américains se sentant déclassés, le conservatisme moral rassurant des millions d’Américains redoutant un progressisme caricaturé associé au «wokisme». Ces Américains qui ne croient pas à une mission particulière des Etats-Unis dans le monde, mais à la nécessité de se recentrer sur la sécurité et la prospérité du peuple américain.
Qui remportera la présidentielle américaine, la vice-présidente démocrate Kamala Harris ou l’ancien chef d’Etat républicain Donald Trump ? Quelque 244 millions d'Américains sont appelés hier pour trancher sur cette question, dont plus de 80 millions ont déjà voté par anticipation, soit par correspondance ou en personne.
Qui succédera à Joe Biden et deviendra ainsi le 47e président des Etats-Unis ? Après plusieurs mois de campagne, l’élection présidentielle américaine se tient aujourd’hui. Elle opposera deux candidats qui symbolisent la fracture de l’Amérique.
Quelque 244 millions d’Américains sont appelés demain aux urnes pour élire leur président. Ils ont à choisir entre le républicain Donald Trump, président de 2016 à 2020, et Kamala Harris, vice-présidente de Joe Biden, dans un pays profondément polarisé et au climat politique tendu, illustré notamment par la tentative d’assassinat de Donald Trump le 13 juillet, lors d’un meeting en Pennsylvanie.
Pour des raisons multiples, des présidents américains n’ont pas fait de second mandat.
Le ministre des Affaires étrangères Hakan Fidan participe depuis hier à Djibouti à la réunion du Partenariat Turquie-Afrique, un organisme de coopération établi en 2008. Rencontre de deux jours qui permettra une fois de plus à Ankara de renforcer sa présence sur le continent aux côtés d’ex-tutelles coloniales (France, Royaume-Uni) et d’autres puissances comme la Chine, la Russie, les États-Unis, l’Inde et le Japon entre autres.
A une semaine de l'élection présidentielle américaine mardi 5 novembre, la vice-Présidente démocrate Kamala Harris et le républicain Donald Trump sont au coude-à-coude dans les sept Etats qui détermineront le résultat du scrutin, tenu au suffrage indirect. L'arrivée de Kamala Harris en campagne en juillet, après le retrait du président Joe Biden, n'a pas permis à Trump de prendre de l’ascendant sur son rival. Et les deux tentatives d'assassinat l'ayant visé ont certes galvanisé son électorat, mais sans lui permettre d'élargir réellement cette base.
L’Inde a déclaré hier avoir conclu un accord avec la Chine sur des patrouilles dans des zones frontalières disputées, au point mort depuis un affrontement au corps-à-corps entre soldats des deux pays en 2020, selon l’AFP citant la diplomatie indienne.
Le président chinois, Xi Jinping, a appelé cette semaine les troupes à renforcer leur préparation à la guerre, ont rapporté hier les médias d’Etat, relayés par l’AFP. Le président chinois a fait ces commentaires jeudi alors qu’il visitait une brigade de la Force des roquettes de l’armée, selon la chaîne de télévision publique CCTV.
Le ministre britannique des Affaires étrangères, David Lammy, a déclaré, hier à Pékin à son homologue chinois, Wang Yi, qu’il espère que les deux pays puissent discuter de leurs différends «de manière constructive», rapporte l’AFP.
e mouvement du Hezbollah libanais choisira un successeur à Hassan Nasrallah, tué vendredi dans un bombardement israélien, «à la première occasion», a déclaré hier dans un discours télévisé son numéro deux, Naïm Qassem. Et malgré une intense campagne de frappes aériennes menée depuis une semaine par Israël et la mort de plusieurs chefs du mouvement, il a affirmé que le Hezbollah est «prêt» à repousser une offensive terrestre israélienne.
Après l’assassinat du chef du mouvement libanais Hezbollah, Israël poursuit ses attaques contre le Liban. Hier, l’armée israélienne a indiqué que plus de 20 autres éléments du Hezbollah libanais ont péri dans la frappe vendredi sur le QG central de l’organisation dans la banlieue sud de Beyrouth, qui a tué son chef, Hassan Nasrallah.
Le mouvement libanais Hezbollah a confirmé hier la mort de son leader Hassan Nasrallah, tué vendredi dans une frappe israélienne près de Beyrouth. «Sayed Hassan Nasrallah a rejoint ses compagnons martyrs (…) dont il a conduit la marche pendant près de 30 ans», a annoncé un communiqué de la formation pro-iranienne.