En Algérie, les prévisions de croissance portent sur un taux de 3,4% en 2025 et de 3,3% en 2026. Au cours des deux prochaines années, l’économie mondiale «se stabilisera», alors que dans la région MENA, la croissance devrait «s’accélérer» pour s’établir à 3,4% en 2025, puis 4,1% en 2026.
L’arrivée de Donald Trump à la Maison-Blanche, avec son lot de menaces et de mesures protectionnistes, mettra sans nul doute l’économie mondiale à rude épreuve. Une économie déjà fragilisée par les tensions géopolitiques, dont les défis à relever sont des plus importants à l’ère des changements climatiques.
Le ministère du Commerce intérieur et de la Régulation du marché affirme avoir effectué beaucoup de saisies, des fermetures administratives de locaux pour défaut d’hygiène ou exercice d’activité commerciales sans détention des titres légaux, les agréments requis ou les autorisations requises, l’extrait du registre du commerce.
«En 2024, le montant des exportations chinoises a dépassé pour la première fois les 25 000 milliards de yuans pour atteindre 25 450 milliards de yuans (environ 3400 milliards d’euros), en augmentation de 7,1% par rapport à l’année précédente», a déclaré, selon l’AFP, Lu Daliang, un porte-parole des Douanes chinoises.
L’assurance des investissements nationaux à l’étranger viendra renforcer et diversifier la gamme de produits de la Cagex. Jusqu’ici, cet organisme offrait l’assurance-crédit à l’exportation, qui couvre les exportateurs contre les risques d’insolvabilité des acheteurs.
Le financement du crédit agricole ne sera plus désormais du seul ressort de la Banque de l’agriculture et du développement rural (BADR), puisque toutes les banques publiques devront s’impliquer dès 2025 dans le financement des projets du secteur de l’agriculture. C’est ce qu’a révélé en tous cas, selon l’APS, le ministre des Finances, Laâziz Faïd, jeudi dernier à Alger, lors d’une séance plénière consacrée aux questions orales au Conseil de la nation.
La Cour des comptes a précisé dans ce rapport que «le système éducatif en Algérie bénéficie d’une priorité absolue de la part de l’Etat à travers les ressources qui lui sont allouées, notamment financières».
Les pays en développement ont dépensé un montant inédit de 1400 milliards de dollars au titre du service de leur dette extérieure, la charge des intérêts ayant atteint en 2023 son niveau le plus élevé depuis 20 ans», selon la dernière édition du Rapport sur la dette internationale de la Banque mondiale (BM) de décembre 2024.
Le ministre des Finances, Laaziz Faid, a souligné l’importance de renforcer la coordination entre les secteurs ministériels pour réaliser la justice fiscale et restaurer la confiance dans le système économique.
Selon Osmane Dione, vice-président de la Banque mondiale pour la région MENA, la banque est «prête à renforcer le partenariat avec l’Algérie». Objectif : parvenir à des résultats concrets, à même d’«accélérer la dynamique positive dans laquelle l’Algérie s’est engagée».
Le Mercosur (Brésil, Argentine, Uruguay, Paraguay) et l’Union européenne ont conclu «les négociations en vue d’un accord» de libre-échange, a annoncé hier à Montevideo la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen. «Nous avons conclu les négociations pour l’accord UE-Mercosur.
Selon les chiffres fournis sur la ville d’Alger pour le mois d’octobre 2024, les prix du café ont reculé de -16,5%. En revanche, ceux des produits agricoles frais affichent une variation de +1,2%, traduisant une hausse des prix des légumes (+6,8%), des fruits (+2,1%) et à un degré moindre de la viande et des abats de mouton (+1,3%). En outre, les prix du poulet et de la pomme de terre affichent respectivement des baisses de 6,3% et 10,2%.
Le Système intégré de gestion budgétaire (SIGB) permettra une meilleure gestion des budgets publics, basée sur les droits constatés, une sécurisation des données financières face aux menaces de plus en plus sophistiquées…
Ali Benouari, ancien ministre sous le gouvernement Ghozali dans les années 1990 et expert en finances, s’est singularisé ces dernières semaines par des sorties médiatiques pour le moins remarquées sur le très hermétique sujet des Brics qui continue de susciter en Algérie – quoiqu’on puisse dire - un intérêt grandissant.
L es pays en développement ont affiché leur déception hier à l’issue des travaux de la conférence de l’ONU en Azerbaïdjan. Le chef des négociateurs du groupe africain, le Kenyan Ali Mohamed, a regretté un engagement financier «trop faible» et «trop tardif» après l’accord prévoyant que les pays riches fournissent 300 milliards de dollars par an de financement climatique aux pays en développement.
Aussitôt le nouveau gouvernement installé, le président Tebboune a organisé, jeudi, une réunion de travail dédiée à l’importante question des exportations hors hydrocarbures.
Vingt-cinq pays, riches pour la plupart, se sont engagés hier à la COP29 à ne plus ouvrir de centrales au charbon, tout en espérant que d’autres pays les suivront. Le Royaume-Uni, qui vient de fermer sa dernière centrale au charbon, le Canada, la France, l'Allemagne et l'Australie, très gros producteurs de charbon, ont, selon l’AFP, signé cet appel volontaire pendant la Conférence sur le climat de l'ONU en Azerbaïdjan.
M. Kaoubi attire l’attention, dans cet entretien, sur l’ampleur du déficit budgétaire en 2025 qui augmente de 17% par rapport à 2024 et prévient contre «le poids des déséquilibres» alors que les finances publiques pourraient connaître des difficultés dans les prochaines années compte tenu des tendances du marché pétrolier.
L’Algérie a-t-elle franchi le premier pas dans le cadre des velléités de démantèlement de son large et névralgique système de subventions ? La question, n’étant pas unique bien sûr, mérite en tout cas d’être posée, puisque le gouvernement vient de décider, contre toute attente, de supprimer la subvention systématique et généralisée des prix du gaz naturel cédé aux industriels, qu’ils soient nationaux ou étrangers.
Le Fonds monétaire international, qui s’est intéressé à la contribution de l’emploi à la croissance du PIB par habitant, a recensé «une baisse» dans de nombreux pays. La part de la population en âge de travailler a crû moins vite, ce que les augmentations du taux d’activité et de la part des actifs ayant un emploi n’ont pu entièrement compenser.