M. Kaoubi attire l’attention, dans cet entretien, sur l’ampleur du déficit budgétaire en 2025 qui augmente de 17% par rapport à 2024 et prévient contre «le poids des déséquilibres» alors que les finances publiques pourraient connaître des difficultés dans les prochaines années compte tenu des tendances du marché pétrolier.
Effectivement, le président de la République, dès l’entame de son deuxième mandat comme premier magistrat du pays, a installé la commission nationale pour la réforme des codes communal et de wilaya. La cellule est présidée par M. Dahou Ould Kablia qui est bien rodé dans les rouages des collectivités locales.
En ces temps de stress hydrique, la question relative à l’assurance contre les calamités agricoles continue de faire débat. Autant dire que le dossier revêt une importance cruciale. Dans cet entretien, Cherif Benhabiles, directeur général de la Caisse Nationale de Mutualité Agricole (CNMA), revient sur les réponses que préconise son organisme aux différentes préoccupations du monde agricole.
Enseignante à la faculté des sciences de la terre, de la géographie et de l’aménagement du territoire de l’université des Frères Mentouri Constantine 1, le Dr Lamia Bouldjemar aborde dans cet entretien la législation régissant la préservation du patrimoine urbain en Algérie.
La COP29 de Bakou, en Azerbaïdjan, se déroule dans une atmosphère internationale très particulière, marquée par une série d’événements, crises et conflits qui ne manqueront pas de peser sur la qualité des décisions qui en sortiront.
Le e-commerce vient en tête des projets proposés par les étudiants en fin de cycle. Les universités de l’est du pays sont classées premières en nombre d’idées innovantes. Un guichet unique sera prochainement mis en place. Ahmed Mir, président de la Commission nationale de coordination et de suivi de l’innovation et des incubateurs universitaires et aussi directeur des études à la direction générale de la recherche scientifique et le développement technologique au ministère de l’Enseignement supérieur, explique dans cet entretien que la politique «un diplôme/une start-up» connaît une adhésion de la corporation estudiantine.
Des hydrogéologues algériens commencent, depuis ces dernières années, à s’inquiéter sérieusement du contrôle total qu’exerce Tunis sur le fleuve Medjerda, qui prend sa source en Algérie, mais s’écoule sur plus de 460 km, dont 350 en Tunisie. Aussi, l’Institut national de recherche agronomique (INRA) s’était ému des pompages massifs de la détérioration de la nappe albienne du fait des pompages massifs opérés par les Libyens.
Dans le langage commun on la nomme «la mer souterraine du Sahara», une gigantesque nappe d’eau enfouie sous les sables du Sahara, région la plus sèche de la planète où il ne pleut quasiment jamais (2 mm/an).
Les facteurs incitatifs à la spéculation sont, en premier lieu, la forte demande et l’insuffisance de l’offre. La disponibilité des produits, qu’ils soient locaux ou importés, ne parvient pas à satisfaire la demande croissante.
Dans cet entretien, le Professeur Abdelhak Lakehal dresse un état des lieux de l’incidence du carcinome hépatocellulaire (CHC) en Algérie, en examinant les facteurs de risque, ainsi que les méthodes de dépistage du cancer du foie en Algérie. Ce thème constituait l’un des axes centraux du Congrès international de l’Association scientifique des pathologies hépatobiliaires et pancréatiques (ASPHP), qui s’est tenu le 31 octobre à l’hôtel Marriott de Constantine.
Dans cet entretien, Amar Mohand-Amer évoque les évolutions du camp indépendantiste. Pour lui, pendant toute la durée de la guerre et même avant le 1er Novembre 1954, les «tensions, clivages et oppositions sont légion». «Ce furent des confrontations objectives imposées par la guerre et ses nombreux enjeux et défis», souligne-t-il. Le jeune historien, qui est l’un des plus persévérant de sa génération, a une appréhension : «Le risque ou le danger est que notre histoire nationale ne soit plus à l’avenir du ressort de nos jeunes collègues.»
Il faut dire que la Kabylie, particulièrement la région de Tizi Ouzou, était prête pour l’action armée avant même le déclenchement de la guerre de Libération nationale, le 1er novembre 1954, même si elle n’était pas représentée dans la première réunion du Comité révolutionnaire d’unité et d’action (CRUA) créé en mars 1954. Beaucoup de gens de la région, les émigrés surtout, ont rejoint l’Etoile nord-africaine dès 1926, puis le PPA-MTLD
Enseignant-chercheur en géographie et aménagement du territoire et spécialiste en adaptation aux changements climatiques des villes, Azzedine Madani plaide pour la révision de la politique nationale d’aménagement du territoire et d’urbanisme. Les instruments de planification territoriale devraient répondre, selon notre chercheur, à de nouvelles normes avec une amélioration de la qualité de leur contenu.
Dans cet entretien, Nordine Ait Laoussine, expert international et ancien ministre de l’Energie, analyse la situation du marché pétrolier. Une situation qu’il qualifie de «confuse et très incertaine». Il estime que les facteurs géopolitiques n’ont plus le même impact sur les prix du pétrole avec un contexte différent.
Cet entretien croisé associe deux universitaires de la diaspora, Abdeljalil Belarbi, professeur éminent de l’université de Houston, Texas, et Abdelhafid Khelidj, professeur à l’IUT Saint Nazaire, université de Nantes, responsable de la licence professionnelle et en conduite de projets de travaux publics, selon leurs qualifications académiques respectives.
Le Directeur général de l’aménagement du territoire au ministère de l’Intérieur, Madjid Saâda, est catégorique : le Schéma national d’aménagement du territoire (SNAT), adopté en 2010, «forme pour notre pays une ambition à la hauteur des enjeux qui sont devant nous.
Le journalisme est une profession en pleine expansion, notamment avec les nouvelles exigences du numérique qui ont repensé les pratiques informationnelles. Hakim Hamzaoui, docteur en Sciences de l’information et de la communication (SIC) et maître de conférences à l’Ecole nationale supérieure de journalisme et des sciences de l’information (ENSJSI) d’Alger, estime, dans cet entretien, que la formation continue sur les nouvelles pratiques journalistiques est indispensable pour les professionnels des médias. Le même chercheur ajoute que la précarité perdure au sein de la corporation des journalistes. Il souligne, en outre, qu’il est important que les journalistes maîtrisent le procédé de vérification de l’information Fact Checking, étant donné que les fake news circulent abondamment dans la société. Le statut des journalistes facilitera certainement l’organisation de la profession et que «les médias doivent se rattraper pour se positionner comme principaux supports d’information pour les citoyens», préconise le Dr Hamzaoui.
La rénovation de la place de la Solidarité, au centre-ville de Chlef, a donné lieu à un grand espace vert engazonné et la plantation de fleurs et d’arbres d’ornement, doté également de sièges, d’un rafraichisseur d’air et d’un système de jets d’eau moderne. L’ensemble, parfaitement éclairé et entouré de rampes en aluminium, nécessite toutefois d’être entretenu en permanence pour éviter les dégradations liées à la fréquentation en hausse de ce lieu public.
L’Algérie est un pays qui vaccine beaucoup. Nous possédons un des meilleurs programmes de vaccination au monde.
Le docteur Farid Rahal revient dans cet entretien sur l’impact du changement climatique et ses conséquences directes sur notre vie quotidienne et sur l’économie.